samedi 13 février 2021

la cinquième et la dernière loi de la lecture biologique

 Cinquième loi : la quintessence 


La quintessence signifie « ce en quoi se résume l'essentiel et le plus pur de quelque chose ». La quintessence est l'aboutissement ultime de la mutation. Quintessence, l'essence des cinq, la perception globale de nos sens ou bien pour certains, la perception au-delà de nos cinq sens. Comme dit Patrick Burensteinas : « persévérer, percez et vous verrez ». En effet, la 5ème loi s'approche de la recherche de la pierre philosophale de l'alchimiste. Pour ainsi dire, j'aime l'appeler la quête de sens.Trouver un sens à la maladie, comprendre un sens logique au-delà du voile du pathologique. A travers cette loi, Hamer nous invite à changer nos paradigmes du rapport à la maladie et tente de nous apporter une corrélation logique entre nos symptômes, nos ressentis et notre psychisme. 


Cette loi nous ouvre, en effet, sur une nouvelle compréhension de la maladie et du monde du vivant. Cette dernière loi apparaît plus tardivement dans les écrits de Hamer, même si bien qu'informelle, elle fut en arrière plan de tous ses travaux. L'idée que pratiquement toutes les maladies, ne sont pas dues au hasard, mais l'expression de l'effet d'un programme ordinateur bien spécifique est déjà inscrite dans la thèse présentée en 1981. Il faudra cependant attendre 1994 pour que Hamer publie un ouvrage sur cette cinquième loi.

Pour lui, il s'agit de la clef de voute de toute sa thèse. Elle est l'articulation logique des quatre lois précédentes. Cette cinquième loi nous amène à devoir regarder la maladie sous un angle nouveau, logique, et sans état d’âme. L'approche n'est donc ni psychologique, ni émotionnelle, ni symbolique. Ne cherchons pas non plus, dans le symptôme, un quelconque sens moral, punitif ou autre. Il nous faut redescendre des sphères intellectuelles, religieuses et culturelles et être le plus très terre à terre possible. La Nature n'a pas d'état d’âme, Si la Vie a toujours pu s'adapter, il ne semblerait pas que le hasard y soit pour quelque chose. Elle s'articule par des phénomènes de causes et d'effets. La maladie n'échappe ainsi pas à cette règle. Ainsi, s'il faut sacrifier un membre du clan pour que la tribu survive, pour la Nature cela est tout à fait juste et justifié. De même, un symptôme peut permettre de la mise en sécurité d'une personne. Nous parlerons de bénéfices secondaires. Si la paraplégie protège un individu, alors cela est nécessaire. 



Hamer formule sa cinquième loi ainsi : 

« Toute maladie doit se comprendre comme étant une partie d'un programme spécial de survie, soit un gain de temps, plein de sens, et mis en place par la nature tout au long de l'Evolution ». 



Hamer rajoutera que « cette loi est en quelque sorte la quintessence des quatre précédentes, elle nous ouvre aussi une nouvelle dimension dans notre compréhension de la maladie, nous reliant à l'ensemble du monde vivant dont nous participons.»


L'idée de cette cinquième loi est que pratiquement toutes les maladies, et pas seulement cancéreuses, ne sont ni fortuites, ni accidentelles. Elles sont l'expression de l'effet d'un programme ordinateur en réponse un sur-stress. Il n'y a plus de fatalité, et les programmes peuvent être stopper ou supprimer du moment que le conflit ait trouvé une résolution. 

Cette loi ne peut que nous amener à rechercher le sens biologique intelligent, au delà des apparences, des symptômes inhérents à chaque maladie. La maladie sera donc divisée en deux phases avec pour chacune des programmes spécifiques, tissu par tissu. Elle permet de mettre en relation avec eux des nombreuses pathologies qui en sont autant d'expression de programmes archaïques de survie, selon la phase considérée. Nous devrons alors rechercher l'avantage que provoque le symptôme en prenant en compte sa fonction, dans un contexte large de survie. Ainsi, par exemple, une douleur durable, nous empêchera de maintenir un combat trop épuisant. Nous chercherons toujours ce que l'invariant biologique apporte comme avantage momentané. Rappelons nous que l'a plus part du temps, l'avantage sera dans la phase active. La plus part des douleurs forcerons seulement le repos pour récupérer plus vite. Une diarrhée n'a pas d'avantage en soit, il s'agit d'une libération après avoir tenu le coup. Le programme est mis en place par notre inconscient au moment du DHS, commun avec tous les êtres vivants en fonction d'une perception.

Cette théorie sera appuyée en 1999 par le professeur Israel, lorsqu'il évoque qu'il est convaincu que le cancer ne serait pas une pathologie en soit, mais plutôt un processus biologique inextricable à l'apparition de la vie sur terre, un programme génétique hérité des premières bactéries apparues à la surface du monde. Le cancer est un programme SOS, un mode turbo de divisions cellulaires pour s'adapter à l’environnement. Le cancer ne serait qu'un programme de survie, un mode turbo pour trouver une solution logique à un problème environnemental. Les symptômes sont donc des invariants biologiques en rapport direct et constant entre le ressenti archaïque du patient ou de l'animal et l'expression du programme biologique archaïque correspondant au tissu de l'organe qui l'exprime. L'une des questions à se poser pour comprendre l'invariant biologique est de déterminer quel avantage momentané en terme de survie, le fonctionnement de la pathologie apporte à l'organisme.

La prise de conscience par le patient du fonctionnement de ces programmes biologiques en rapport avec la maladie est un élément important pour sa guérison. Son adhésion à l'évidence de ces liens aux niveaux psychique-cerveau-organe, bien au-delà de la simple compréhension intellectuelle l'aidera à oser vivre autrement que dans l'impuissance la plus totale face à sa maladie. La pathologie ne sera plus vécue comme une malédiction fataliste. Et il pourra reprendre le contrôle des peurs liées à cette dernière. Pour cela, le malade devra alors changer ses croyances, son rapport au monde afin que son organisme ne soit plus obliger de s'adapter à une réalité vécue comme hostile. 



En résumé : 

le cancer et toutes tuméfactions ne seraient que l'expression de programme de survie, un mode turbo, pour trouver une solution logique à un problème environnemental appelé sur-stress. Par rapport à une même pathologie (modification du fonctionnement d'un organe), ce sont toujours les mêmes zones du cerveau qui sont impliquées par un même ressenti : c'est que l'on appelle un invariant biologique. La maladie évolue alors de manière pré-programmer suivant deux phases décrite par la seconde loi. En fonction de la classification des tissus nous pouvons comprendre l'évolution du tissu concerné en fonction de la troisième loi. Enfin la quatrième loi nous propose une autre vision du monde microbien, sort de symbiose synergique à la réparation de l'organisme. 



jeudi 11 février 2021

éthique thérapeutique

 L'Ethique thérapeutique


Un jour un de mes maitres m'a dit : « arrête de faire un soin. Sois le soin. »


Bonjour, je vous propose une dissertation de deux heures, et de deux copies doubles sur ces quelques mots. Il m'a fallu quelques heures, quelques jours ou en réalité plusieurs mois ou années pour comprendre ces quelques mots qui ont souvent raisonnés dans ma tête. C'est quoi le mode d'emploi ? Comment peut-on être quelque chose que l'on est censé réaliser... commettre être et ne pas faire ? Suis-je « censé » ou bien « sensé » ou bien « sans ai » ou encore « sens est » être le soin ?

On repart sur 4 heures de dissertations et autant de pages. Oui, mais si je suis,qui fait ? Cela vient d'où ? Mais alors il y a un truc plus grand ? On ne voit pas les petits cailloux laisser sur le sentier comme un post qui dit : « le thérapeute ne guérit pas, il « prend soin ». c'est le vivant qui guérit. Le thérapeute n'est là que pour mettre le patient dans les meilleures conditions possibles pour que le vivant agisse et que la guérison advienne »

Trois années et et quatre mois et d'innombrables questions intermédiaires, aucune réponse ne semblait germer...Voilà ce qu'est le chemin de l'initiation... une phrase, une ouverture, le néant, et tu te démerdes. « Vincent quand tu penses, tu n'es pas... tu refroidis » mais Merde putain ! T'es chiant à la fin ! ça veut dire quoi ça encore ???! Alors on cherche... et plus on cherche, plus on se pose des questions, plus on peur et plus.... non non on n'avance pas. Alors on réfute. On oublie ou du moins on veut oublier. Et un jour, alors que la phrase est perdue dans la tête, elle revient mais d'une autre manière. Elle ne fait pas évidence... Elle est l'Evidence. Ne fais pas un soin, sois un soin . « Sois un soi Un ». Merci, mes recherches diverses qui ne semblent pas faire de sens de Spinoza à Tolle, en passant par Dispenza et Matthieu Ricard avec un détour par Patrick Burensteinas. Ces auteurs n'ont rien à voir, en parfois. Et puis, j'oublie ce qu'ils m'ont enseigné. Et un jour, alors que je peins, que je cours en forêt,que je suis simplement à ce que je fais, née l'Evidence. Soin = Sois un. Sois un avec quoi ? Sois Un avec ton patient ? Alors j'ai essayé mais comment faire quand il était volatil... la langue des oiseaux ne suffit pas alors. Peut-être que faire Un c'est avec moi même... quelques années pour unir les parties de moi semble facile dans le milieu professionnel. Cela ne suffit pas pour autant. L'Ego, le Mental est encore là. Je veux encore bien faire. Je veux encore faire pour être et je ne comprends toujours pas comment Etre pour faire. Sois Un, merci Don Miguel Ruiz, Annick de Suzenelle pour l'enseignement dont je n'ai pas été assidu. Sois Un avec la Vie. Sois Un avec la Lumière (merci Lucile). J'ai eu du mal à comprendre que la Lumière, la Vie, Dieu c'est l'Amour.... Merde encore un grand concept. L'Amour de moi, de l'Autre, de la Vie. Sois Un c'est ne plus être là et Etre dans Tout. C'est écrouler l'Ego, ne plus vouloir, ni pour moi, ni pour l'autre et gouter à la Sagesse de la Vie, à sa Justesse. Comment savons-nous que nous sommes dans l'Amour ? Uniquement lorsque nous n'avons plus de jugement. Le jugement nous sépare, le Juge-ment tout le temps car il vient de notre mental. Il nous individualise. C'est normal, le jugement vient de l'Ego. L'Ego c'est notre mental, nos conditionnements, nos enfermements, ce que nous pensons de nous et du monde avec des oeillères. L'Ego nous divise et on en oublie que nous appartenons tous à un grand tout, que nous avons toujours été connectés. L'Ego c'est le « Moi je suis mieux ». Et j'en oublie que j'ai les mêmes besoins que mon voisin car je suis... pareil. En réalité, je suis lui. Je ne fais qu'un. Si chaque atome garde la trace, la liaison de tous ses contacts, et que nous venons tous de cette incroyable explosion de la création de l'univers... le Big bang... ba alors je suis relié par tous mes atomes, à tous les atomes de mon voisins et de l'Univers. Je ne suis pas séparé. je suis connecté à lui... et si j'appartiens à une grande matrice comme veut nous le faire croire la physique quantique alors je suis lui. Je vibre avec lui, je danse avec lui. Comme je l'ai déjà verbalisé, je suis une cellule du monde comme un hépatocyte de mon foie, et bien qu’éloigné d'une cellule musculaire du pied, je fais partie d'un même ensemble. Alors si je ne pense qu'à ma fonction de stoker du sucre sans penser au besoin de la cellule musculaire à l'autre bout de l’organisme, je fais bugger le système... Si je ne pense qu'à moi alors le système du voisinage, ou de l'humanité, ou de l'écosystème terrestre, risque de dysfonctionner... être le « soi un », c'est donc taire mon Ego, le mettre à bas. Mon avis, mon identité, mes enjeux s’effondrent... nous rentrons dans une autre dimension, améliorer l'humanité... en toute modestie, certes, mais cela nécessite de prendre part à des jeux plus grands que nous, au delà de moi, de mon patient. L’impact est plus large... Matthieu Ricard appelle cela l'Amour Altruiste.

Le Soi Un nécessite aussi de contacter les fores de Vie, celles qui ont toujours su s'adapter, évoluer et trouver toujours plus de ressource. Alors non, je ne fais rien quand je pratique. Maintenant je l'avoue, je suis un ; Un avec la personne en fasse, Un avec son bourreau, Un avec contexte sociétal, l'environnement familiale de chacun, Un avec la Nature qui me recharge, Un avec le Vie. Merci Amaho, j'ai détesté ton livre... du moins au départ. Je ne suis ni bon, ni mauvais, ni intelligent ni bête, ni joyeux, ni triste, je suis la Vie. Je me laisse juste transpercer par Elle. Cela vous paraît bizarre ? Génial à moi aussi au départ. Cela attisera votre curiosité comme la mienne a pu être piquée. Il ne faut pas le mentaliser, L'Ego n'aime pas ces principes. Il faut le vivre. 

Il y a peu, j'ai assisté à la cérémonie de crémation de ma Maman bis, ma collègue. Son gendre m'a appris ce qu'est un « Soi Un » dans un moment de douleur. Son gendre est chanteur. Il arrive devant le cercueil de sa belle Maman, et quand il ouvre la bouche pour chanter, il rentre dans une transe. Il est Un avec la musique, l'art, sa belle Maman et la douleur de tout le monde. Il est là, en étant ailleurs. Il transcende ce qu'il vit en se connectant à la Vie. Il transe-cendre (au delà des cendre) Alors il danse, il chante, il tape dans les mains. Que c'est beau, émouvant. Ce n'est plus lui... c'est la Vie qui le traverse. Il est « Soi Un » avec Elle.... Puis la musique s'arrête. Et il regarde le cercueil. L'Ego revient, la douleur, la souffrance aussi. Alors, il pleure...

Soi Un avec la Vie pour te Gai Rire. Connecte toi à la vie pour sentir la Vie. Alors comment on fait pour se soigner. Ba encore une fois la langue des oiseaux a tout prévu. Pour Gai Rire, il faut se Soi Nier. Oublie qui tu es, comment tu te définis. Tu n'es pas tes croyances, pas ce qu'on t'a dit, tu n'es pas ton boulot, ton rôle social ou ton identité familiale. Tu n'es rien en soit, même pas un minuscule gain de sable au milieu d'une plage. Effondre ton Ego, tes enjeux (jeu – en, le Je à l'intérieur de moi, si c'est pas l'Ego ça!!!). Alors seulement tu seras la plage, l'Océan le Ciel et tout le reste. Et tu verras, la Vie est simple. Ainsi tu pourras revenir sur le présent et rire ni de ton passé, ni de ton futur seulement de ton présent. La Vie est (un) Présent. Le Soi Nier ce n'est pas s'oublier complément. Il s'agit de prendre conscience que nous appartenons à un Grand Tout. C'est se connecter aux autres. C'est s'ouvrir au changement et changer. C'est s'offrir à l'Inconnu. Soi nier c'est faire les choses avec le Coeur dans l'interêt des autres et d'expérimenter que le don nous permet de récupérer au centuple (C'était marqué dans la Bible). L'effondrement de l'Ego permet de souhaiter le meilleur à notre ennemi. L'Amour altruiste bouddhiste nous invite à souhaiter que tout le monde trouve son antidote à sa souffrance dans l’intérêt que l’humanité. C'est ainsi que je vois l'action de Soi nier. Mon avis n'importe pas, il faut que chacun trouve son antidote à sa douleur.... c'est le renoncement de l’imposition. C'est une proposition, un don de la Vie par soi... sans volonté. 

Lorsque le patient sort de son tumulte et sort de son Ego et qu'il peut de connecter à la Vie alors on sent un changement énorme. Il n'est plus lui, il est juste « ni est ». Alors il renait avec la conscience que ce qu'il a vécu est connecté à plus grand que lui. Son égo s'effondre aussi. Un sens jailli. Alors souvent il « sous ri » - le rire du dessous. Il ne manque alors pas grand chose pour gai rire. Il faut juste le gonfler, trouver du positif à tout cela. Et comme dit Coluche, on peut rire de tout mais... on peut rire de tout quand la Vie danse avec nous.


Pour revenir, l'Ego nous fait penser qu'il faut faire. Que c'est moi et le moi qui doit « fer » fini en prison des fers. L'égo nous « en- fer-me ». L'égo me ferme à l’intérieur de moi. Je suis alors brancher sur la souffrance de mon égo. Je l’alimente en permanence, le nourrir et lui donne raison. Tout l'art de notre « guerre is on » et de faire la guerre à ce dernier. La guerre unissons. Il faut alors sortir de la dualité à l'unité rentrer dans le divin, le Di qui devient Un. La personne qui me fait du mal à la même violence que j'ai en moi. L'un en mode positif : vers l’extérieur, l'autre en mode négatif : vers l’intérieur. Alors elles se confrontent et se confortent mutuellement (une lettre change fortement le sens). Et cela fait mal. Je reproche alors à l'autre la violence que je m'inflige. Quand nous arrivons à reconnaître que nous portons la même souffrance alors un point d'union se crée. 

L'analyse des interactions comportementales nous permet alors de comprendre les comportements qui engendrent ces interactions pour en prendre une responsabilité et ainsi, il n'y a plus de dualité. Juste un lien de causalité . On rentre dans l'union même avec notre bourreau. (je sais que cela peut être difficile à entendre, cf chapitre sur le Pardon). C'est ce moment d'union qui permet le pardon... uniquement celui là. Et ainsi, si nous le voulons chacun reprend sa part - sa part de responsabilité, de fierté ou de honte, s'il le souhaite. 

Se Soi nier, c'est aussi considérer que ma petite souffrance à surement déjà été visitée et dépassée par d'autres avant moi. Je pourrai alors m'unir à eux pour obtenir le consulatum – seul dans la solitude, et en trouvant mon antitode. Si certains en ont trouver la force de dépasser alors pourquoi pas moi ? 


Pour moi, un soin passe par la prise en compte de l'individualité, celle ci met en avant une douleur, une souffrance et des larmes. Il nous faudra alors recueillir cette pluie de larmes, pour arroser le composte de nos vie et planter de nouvelles graines. La Vie fera le reste et de jolies fleurs jaillir bientôt. Nous prendrons alors conscience que tout est Juste. Guérir c'est à dire être heureux et rire avec le cœur de ce que nous avons vécu, participe à l'améliorer de ma vie, de mon avenir, de ma progéniture, et de l'humanité (si si, un petit peu) car si je parvient à accepter mon offenseur avec l'amour, la vibration de l'humanité augmente. Si je continue à lui en vouloir, j'entretiens la colère en moi, qui rejaillira sur mes proche (cf article sur pardon). Guérir est alors un acte altruiste. 


Maintenant vous savez pourquoi quand vous me dites  « Merci pour ce que vous avez fait », je vous réponds « moi ? J'ai rien fait, merci ». Car ce n'est ni moi, ni vous qui avons fait quoi que ce soit. Nous avons mis juste les conditions nécessaires pour observer les miracles de la Vie, l'Amour, la Lumière. Mon rôle est juste de vous montrer la fenêtre, le votre de l'ouvrir... Le reste se fait tout seul... Là et le miracle 



dimanche 17 janvier 2021

couvre feu et séance

malgré le couvre feu les séances font parties des dérogations. Les créneaux 18h et 19h sont maintenus

vendredi 1 janvier 2021

la microkiné : pour qui ? pourquoi?

       L'une des questions récurrentes est : "j'ai une personne dans mon entourage qui vient de faire de la micro kiné, mais est-ce-que cela peut m'aider dans mes problèmes?"

Ma première réponse avant de savoir  est toujours : "oui, même si vous n'avez rien cela fait toujours du bien qu'on prenne soin de vous".

Qu'est ce que la microkiné 



La microkinésithérapie est une méthode de soin manuel qui se pratique sans instrument. Le praticien va rechercher la présence ou l’absence de micromouvements, soit la présence ou non de fautes d’orthographe. 
L’absence de micromouvement apparaît dans trois situations. Elle est toujours due à un traumatisme qu’il soit physique (accident de voiture, chute), chimique (intoxication alimentaire, toxine) ou émotionnel.







pour qui ?



 L'une des questions récurrentes est : "j'ai une personne dans mon entourage qui vient de faire de la micro kiné, mais est-ce-que cela peut m'aider dans mes problèmes?"
Ma première réponse avant de savoir  est toujours : "oui, même si vous n'avez rien cela fait toujours du bien qu'on prenne soin de vous".
pour qui ?
la microkinésithérapie peut être exercée sans risque sur des patients de 0 à 100 ans. Il n'existe d'autre part aucune contre indication.
Ma plus jeune patiente avait quelques jours,  ma plus âgée approchée du centenaire.
Etant une technique extrêmement douce, sans déplacement articulaire, elle s'applique à tout le monde. Dans la pratique, amusé, je constate que je vois d'abord les enfants ou leurs mères avant de voir débarquer, plusieurs mois plus tard, Monsieur complètement bloqué par un lumbago en faisant une drôle de mou en arrivant sur la table maugréant que ce n'est pas avec mes caresses que je lui ferai du bien. 




Pour quoi ?
La liste est longue, très longue des pathologies que la microkinésithérapie peut soulager. 
Loin de s’arrêter aux pathologies purement musculo-squelettique elle a de très bons résultats sur les pathologies fonctionnelles, émotionnelles. Je vais donc vous donner les pathologies ou dérèglements que je rencontre le plus
souvent : 
  • rhumatismales : 
      • spondylarthrite
      • fibromyalgie
      • polyarthrite rhumatoïde
      • lumbago
      • sciatique
      • NBC
      • coiffe des rotateurs
  • digestives : 
      • colopathie fonctionnelle
      • douleur abdominale non expliquée
      • constipation
      • ballonnement, aigreur digestive
      • nausée
      • Reflux
      • maladie de Crohn
  • ORL : 
      • vertiges 
      • acouphènes
      • migraines
      • troubles du langage
      • allergies, rhinites 
  • dermatologique : 
      • eczéma
      • acné
  • Émotionnelles : 
      • dépression majeure
      • troubles du sommeil
      • stress
      • troubles du comportement de l'enfant
      • TOC
  • urinaires : 
      • cystite récidivante
      • fuite urinaire
        énurésie de l'enfant (même si à l'heure actuelle les résultats sont en dessous de nos attentes)
      • trouble de la miction
  • gynéco, obstétrique : 
      • rigidité / trouble de l’érection chez l'homme
      • mycose
      • trouble de fertilité (bon appui avec ou sans FIV)
  • traumatiques: 
  • entorses récidivantes
  • douleurs à distance
  • endocrinologiques
      La microkiné est une technique complémentaire de la médecine allopathique. L'un ne va pas à l'encontre de l'autre. Elle peut très bien accompagner une chimiothérapie. Nous n'aurons probablement pas d'effet direct sur un cancer, mais nous pouvons être une béquille émotionnelle non négligeable et diminuer les effets secondaires des traitements lourds et contraignants. La microkiné peut aussi être pratiquée en parallèle d'un suivi homéopathique, d’acupuncture, d'ostéopathie...
    Je tiens à rappeler que la microkiné n'est pas une thérapie d'urgence. Je me souviens encore de ma première rencontre avec Patrice Bennini qui nous disait en début de formation : "si je fais un infarctus du myocarde devant vous, par pitié, n'essayez pas de faire ce que je vous apprends, appelez le SAMU". Ne sortons pas de notre rôle, et soyons conscient des limites de la méthode. Si parfois les résultats sont surprenants, même pour le thérapeute, nous ne faisons pas des miracles. Méconnues nous sommes souvent la dernière roue du carrosse. Il n'est pas rare que nos patients, après être passés par maintes et maintes spécialistes, puis par le cursus habituel des thérapies alternatives, sans résultats, finissent chez nous. Quand nous apportons du mieux à ces patients cela est extrêmement valorisants. Restons les pieds sur terre, nous avons aussi des échecs, des loupés et des déçus.
      Nous ne soignerons pas un cancer avec la microkiné, nous l'aiderons à avancer. Nous ne changerons pas du tout au tout une personne dépressive depuis des dizaines d'années, nous lui permettrons de se sentir mieux. Nous ne ferons pas revenir un mort, nous vous aiderons dans votre processus de deuil.
    De grâce, restons humbles. Nous n'avons pas cent pour cent de résultat positif et la microkiné à ses limites



la microkiné : ça vient d'où?

 Science occulte emprunte de magie noire, où les Gourous rentrent en trance pour enrôler dans leurs sectes tous patients désabusés et un peu faibles psychologiquement? une pure connerie, blague charlatanesque pour simple d'esprit qui ont envie d'entendre que leurs maux sont guérissable par imposition des mains? Non.


 Une méthode miracle de papouilles venues de l'autre bout du monde qui permet de soigner la famine, la guerre et le virus Ebola? malheureusement non plus...

 Nous ne sommes ni des charlatans, ni des magiciens, nous prenons juste le temps d'écouter ce que votre corps a à vous dire.

 Origine de la Micro kiné : 

     La microkiné ne nous vient pas des fins fonds d'une caverne Tibétaine, d'un savoir ancestral enseigné par le Bouddha lui-même, à une poignée élitiste de moines bouddhistes il y a 50 millions d'années. Elle n'est pas apparue, non plus, dans la case d'une Chamane africain dans une brousse hostile, ni même, d'un guérisseur aborigène d'Amazonie. Désolé de vous décevoir, La microkiné est bien moins exotique que cela.

     La Micro kiné est une technique FRANCAISE , cocorico !!! En effet, cette méthode a été crée dans le début des années 1980 par deux masseurs kinésithérapeutes, ostéopathes français, Daniel GROS-JEAN et Patrice Bénnini du coté de Metz dont le premier ouvrage date de 1984. C'est donc une technique très jeune, et peu (re)connue. En comparaison, la première école d'ostéopathie remonte à 1882 aux Etats-Unis, et fut importée en France dans l'après guerre, pour commencer à percée dans les années 80.
La microkinésithérapie est dans un premier temps issue de l'ostéopathie crânienne. Comme leurs traitements n’aboutissaient pas en fonction de leurs attentes et que chaque méthode avait ses lacunes, ils décidèrent de se lancer dans de longue recherche en particulier sur le MRP "Mouvement Rythmique Primaire" "Mouvement Respiratoire Primaire" pour les ostéos. Car c'est bien de mouvement, de micro mouvements qu'il s'agit.

     Microkinésithérapie vient de 3 mots et contrairement aux blagues d'un humour douteux de mon entourage, il ne s'agit pas de kiné pour les personnes de petites tailles :
              - Micro signifie petit, infime
              - kiné vient du grec kinésis qui signifie mouvement.
              - thérapie : du grec thérapein : soigner, porter soin.
Le rôle de la microkiné est donc d'aller à la recherche des zones où le mouvement rythmique primaire est absent.
Le choix du nom évoque clairement la kinésithérapie, volonté évidente des auteurs car ils considèrent " que par leur formation et la méthode de travail [...] les kinésithérapeutes sont les plus aptes à pratiquer cette méthode."
En effet, tous les micro-kinés sont avant tout, des KINES, à l'exception de quelques médecins et vétérinaires.
il y a une volonté évidente d'avoir un cadre médical, une formation de thérapeute avant d'être microkiné.




En résumé :
- méthode de soin française 
- jeune : 1984
- abordable pour tout le monde

lundi 14 décembre 2020

L’âme et le corps, Le thé et la tasse (ébauche)

  L’âme et le corps, Le thé et la tasse 


Un jour nous échangions, un ami et moi, sur un sujet épineux ; comment expliquer la mort aux enfants ? Ce n'est jamais un sujet simple, car il contact nos peurs les plus archaïques. En effet, dans le monde animal, la seule odeur qui répugne un prédateur est celle de la mort. Les proies sont toujours sur le qui vive, à chaque fois qu'ils se sentent dans un environnement insécure. Cela paraît normal car l'inconnu dont elle doit prêter l'attention est rarement une marguerite d'une blancheur immaculée dont la splendeur de la géométrie des pétales la remplirait d'émoi. Non, non, la rencontre impromptue aux coins des fourrés est plutôt une lionne qui pourrait bondir sur la gazelle. Nos réflexes biologiques sont donc souvent tournés dans une notion de survie. Comme la Nature fonctionne souvent par antagonisme, nous comprenons bien que l'opposer de la survie est la …. mort. La mort est donc la peur fondamentale de tout être humain. Elle est appréhendait de manière diverse en fonction des cultures. Si beaucoup de religions pensent en la réincarnation, la culture judéo-chrétienne aurait oublié ce volet au IV siècle par l'Eglise la transformant en résurrection. Depuis l'aire industrielle, notre société consumériste et matérialiste c'est peut à peu déconnecté de la Nature pour prêter attention à l'observable, à la matière. Ce n'est pas étonnant que nos sociétés modernes pensent que quand nous mourrons, notre corps se décompose et puis plus rien. Du temps des animistes, tout objet, tout corps, est investie d'une âme, du caillou au chevreuil. Dieu merci, les thèses sur la physique quantique tendent à nous rapprocher de ces visions ci. Notre Conscience ou Ame, serait alors en perpétuelle connexion à ce que certains appellent la matrice divine, le Champs Quantique, Dieu. La conscience serait alors un champs où il n'y a plus de temps, plus d'espace. Tout est alors connecté relié. C'est un monde d'informations, de fréquence sans matière. L'ame individuelle serait alors une vaguelette de cette grande mer que nous pouvons nommer Conscience Universelle



Donc, nous discutions au sujet de ce moment fatidique qui nous concerne tous : la mort. « sur un intervalle de temps suffisamment long, l'espérance de chacun est réduite à zéro ». Mon ami m'expliqua qu'il racontait aux enfants une courte une parabole . Si vous me le permettez, je vous la livre de suite : 

« Tu sais, mon gamin, la mort, c'est facile à comprendre. Imagine une tasse de thé. Une simple tasse avec des motifs et des couleurs, si tu veux. La tasse représente le corps physique. Sans rien à l’intérieur, sans contenu, ce n'est qu'un objet sans grand intérêt que nous réservons au placard. Elle est donc inanimé et n'a pas de fonction, donc on la range et on ne s'en soucis guère. Maintenant, imagine que dans cette tasse nous y versions du thé. Cette tasse prend alors tout son sens. Elle a une fonction, elle s'anime. Le thé nous l’appellerons l'Ame. L'Ame, c'est ce qui nous anime, c'est l'essence de l'Être. Comme le thé, l'Ame est chaud, pleins de parfum de saveur, de couleur. Tout au long de la Vie, le thé reste dans cette tasse. Et un beau jour, la tasse se brise en mille morceau. La tasse est cassée. C'est ce que les adultes appellent la mort. Mais pose toi alors la question : où est le thé ?? … Oui... le thé s'est répandu sur la table, sur le carrelage partout.... En réalité bien que la tasse soit cassée, le thé est toujours présent. Il n'est juste plus contenu par un contenant. Ainsi la mort est donc le fait que la tasse soit cassée, mais l'âme quant à elle, elle s'est répandue partout, libérée de la matière. Ce que nous apprécions, tu sais, chez nos proche, ce n'est pas la tasse, c'est leurs âmes. Alors rassure toi gamin, bien que la tasse soit brisée, sois certain que l’âme bien que volatile, soit encore à tes cotés. Nous ne pouvons pas la voir car nous regardons le monde avec les yeux de la tasse, cependant nous pouvons parfois sentir les âmes de nos proches décédés ». 




Personnellement, j'ai adoré cette métaphore tellement simple à comprendre. 


Cependant, je me permettrai alors plusieurs nuances. Si la création de la tasse serait la conception physique d'un embryon, son remplissage serait l'incarnation. Pour beaucoup de cultures, le corps n'est qu'un véhicule où s'incarne une âme dans les premières semaines de grossesses. Nous pourrions alors nous interroger sur le fait que, parfois, une âme, peu ne pas remplir complètement la tasse. Il resterait alors une partie du thé dans la théière tandis que la récipient en contient l'autre partie. Que ce passerait-il alors si une partie de notre âme ne serait pas dans notre corps ? Nous sentirions probablement des grands manques, des vides existentielles. Peut-être alors, serions-nous plus triste, plus nostalgique. Souvent alors nous aspirions à un autre monde. Nous pourrions penser qu'un autre Ailleurs existe. Les émotions se feront fades. Peut-être que notre partie d’âme incarnée sentira un manque que nous chercherions à combler dans des dépendances qu'elles soient alors affectives et ces relations fusionnelles, que par des substances afin de voyager dans des paradis artificiels. Notre rapport à la Vie est terne, comme passé à travers de multiples filtres. La perception globale de la Vie sera comme un jus de chaussette. La mélancolie s'installera peut être avec l'âge car quoique nous fassions, nous sentirions toujours une part vide que rien ne peut accompagner. L'envie de rejoindre cette ailleurs se fera alors parfois plus grande. Cette lassitude de vivre, se retrouve des fois chez des enfants que nous rencontrons. Souvent, des phrases du genre,  « je n'ai pas choisi de venir ou de vivre » se feront entendre. Cependant, si tu penses n'avoir jamais choisi de t'incarner... Sache qu'à tout moment, n'ayant pas opté pour la mort, tu as valide le choix de vivre. 

Il faudra peut être un peu de temps pour la tasse de s'apercevoir qu'elle n'est pas pleine et de redemander le reste du breuvage à la théière, la grande Conscience. La tasse se sentira maintenant plus complète, plus chaude plus entière. 




Si nous poussons la métaphore plus loin. Nous allons maintenant imaginer que cette tasse est bien pleine. L’âme, le corps, l'esprit sont alignés en connexion. Brusquement arrive un choc émotionnel. Vous savez ? comme un tremblement de terre dans votre vie. Comment réagit la serveur du café qui prend un coup de coude alors qu'il porte un plateau dans lequel il y a la dite tasse ? Il va probablement tout faire pour que rien ne tombe. Il va s’accrocher à garder un équilibre et limiter la casse. La tasse va vivre un fort déplacement peut être même se cogner contre la bouteille de bière d'à coté, n'est ce pas ? Et le thé ? Quant à lui ne va-t-il pas voler le temps d'un instant et sortir de la tasse ? Puis par la gravité ne retombera-t-il pas ? Dans notre vie nous avons tous été confrontés un événement tellement fort, où nous nous sommes sentis déconnectés de nous. Nous avons alors vécu la scène en spectateurs. Certains décrivent même s'être perçus en dehors d'eux mêmes. Ne ressemblerait ce pas à ces moments où lors d'un choc le thé quitte la tasse l'espace d'un instant ? L'instabilité de la tasse ne permet pas au thé de rester dedans. L'âme se protègerait alors de la souffrance du corps. 



Un autre cas aurait peut être eu le mérite d'être aborder. Nous pourrions aussi imaginer qu'un copain mal attention, insatiable puisse boire dans votre tasse. Cette tasse qui était pleine se vide sans que le thé ne comprenne ce qui lui arrive. La chaleur part alors progressivement de la tasse et elle sent comme un vide s'installer. Je pense ici à toutes les personnes en burn out, en dépressions, qui se sentent vampiriser par un de leurs proche. Notre tasse est sacré, nous devons en prendre soin comme de l'objet le plus précieux. Car si ce n'est qu'un véhicule, ma voiture ne me sert à rien quand elle est en panne. De plus, il est important que notre thé ait un rapport privilégié avec son contenue, qu'ils puissent échanger ensemble. Il est important aussi que notre thé ne soit pas frelater par des eaux croupies. Nous devons veiller à cette équilibre.



Puis, lorsque vient un drame encore plus fort, ne serais pas logique d'aborder cette métaphore encore plus loin ? Je pense à tout ceux qui sont dans le coma, ou avec des séquelles neurologiques, les démences, et l’Alzheimer ou tout simplement la vieillesse. Pouvons nous penser alors que cette tasse ait été ébréchée et qu'une quantité plus ou moins importante de l'âme se serait écoulée progressivement en dehors. Si une intervention humaine ne serait pas intervenue, la tasse se serait alors complètement vidée. Si nous prenions ce cas ci, alors il est facile de comprendre les malades d’Alzheimer, certaines psychoses etc. Car une partie de leurs âmes et dedans, une autre est dehors. La communication entre les deux est rompue. Ils sont à la fois dedans et dehors, à la fois dans se monde et ailleurs. Cela pose la question de certaines fin de vie alors, ne trouvez vous pas ? Je ne pose qu'une question, sans forcément avoir la possibilité d'avoir une réponse notamment sur les traitements invasifs etc, car nous ne savons jamais quelle quantité d'âme est restée présente dans la tasse. 

En tant que soignants, nous voyons souvent le monde au travers des yeux de la tasse. De tasse à tasse nous voulons souvent réparer la tasse de l'autre sans se soucier de la qualité du thé, de sa quantité. Nous n'abordons que rarement si le thé est encore chaud, s'il n'est pas oxydé, s'il a encore sa saveur, ou ses essences se sont évaporées. Nous voyons alors une tasse à réparer, alors nous le faisons. Si l’âme s'est déjà répandue dans un espace plus grand que la tasse, et qu'une toute petit partie du thé est encore présente, comment l’âme peut alors présente dans le monde matériel ? Comme cette âme peu réchauffer la tasse. Comment le thé peut encore animer le corps, et percevoir son environnement ? Cela pose donc le questionnement des souffrances que nous projetons sur nos proches qui présentent ce type de pathologie.



Cette métaphore est par son contenu confrontante, cependant elle nous offre une autre perception de la Vie et de la mort. Elle met en perspective une vision novatrice de la maladie psychiatrique et des patients qui ont perdu une part de leurs identités dans leurs handicaps. Nous pouvons alors penser que l'autre partie de l'identité est dans un plan plus subtile. Elle est toujours présente mais nos yeux de tasse, d'être matériel ne la voit pas. Elle n’interfère plus de la même manière avec notre monde car les (en)jeux ne sont plus compatible. L’âme alors ne souffre plus car il n'y a que dans le corps matériel que la douleur existe. 


de tout mon coeur, Maman Bis 

mardi 10 novembre 2020

le cabinet reste ouvert

 contrairement au mois de mars, les cabinets de soins ont l'autorisation de continuer leurs exercices. Je serai donc présent pour vous accueillir et vous soutenir en cette période  difficile.