mardi 31 mars 2020

l'oeil et la vision en lecture biologique

L’œil


Classification des différents tissus :


Le globe oculaire a un diamètre de 2,5 cm. Seulement 1/6 de de la surface est apparente. Le reste est caché dans l'orbite. Sur le plan anatomique, on décrit l’œil en 3 parties : 
  • La tunique fibreuse : enveloppe superficielle. Elle est composée par la cornée.
  • La tunique vasculaire : elle se compose de la choroïde, du corps ciliaire et de l'iris.
  • La rétine. 
Un ensemble de structures annexes viennent compléter le système de la vision : 
  • Les glandes lacrymales et leurs canaux
  • La paupière 
  • Les muscles intrinsèques de l’œil. 



Dans les systèmes du docteur Hamer, ces tissus sont classés ainsi : 

  • Dans l'endoderme, il y place  :
  • La chambre archaïque de l’œil
  • L'iris
  • Les glandes lacrymales
  • Dans l'ectoderme , on y retrouve :
  • La cornée
  • Le corps vitré
  • La paupière est associée à l'épiderme
  • Les canaux lacrymaux
  • La rétine 

  • Dans le mésoderme nouveau :
    • Les muscles intrinsèques et extrinsèques de l’œil


Nous allons décrire successivement les organes un par un :

Dans les structures de l'endoderme :

  1. Les glandes lacrymales :

Anatomie :

Les glandes lacrymales sont situées sur la partie supéro-latérale des orbites. Elles ont la taille et la forme d'une amande. Elles produisent les larmes. Les larmes sont une solution aqueuse et saline contenant un peu de mucus et du lysozyme, une enzyme bactéricide. Une fois libérée, la sécrétion lacrymale se répand à la surface de l’œil puis s'évacue par clignement des paupières vers le nez. 
Les larmes permettent de rendre les yeux plus brillants. 

Le conflit :

Pour l’œil droit, le sens biologique du conflit est de voir plus facilement quelque chose que l'on aurait voulu voir. Tout cela avec une intention de rendre plus absorbable le morceau qui n'a pas été capté par l’œil. 
Pour l’œil gauche, le conflit est de ne pas pouvoir se débarrasser de quelque chose qui n'a pas été vu au moment opportun.
Nous pouvons reprendre l'exemple de Guinée pour illustrer le conflit : « J'aurai du voir cette information et je ne supporte plus voir ça : j'aurai dû voir mon fils se droguer et je ne supporte plus le voir ainsi. »

Emmanuel Corbeel nous rappelle que les yeux brillants augmentent le « sex appeal ». C'est une manifestation archaïque. Cela permet d'attirer le regard, un peu comme un joli papillon. En effet, dans la nature, quand une femelle perd son petit, ses yeux deviendront plus brillant pour attirer le mâle. 
Le conflit de conjonction d'une femme ayant les yeux brillants, tout en s'habillant avec des vêtements sombres, peut signer un reliquat avec un mari jaloux. Par exemple : « soit belle mais pas trop . » Elle ne veut pas être trop attirante pour les hommes car il y a un ressenti de se sentir menacée en lien avec des hommes. Il n'en reste pas moins ce besoin d'être vu quand même. Cette personne est alors complètement écartelée dans ce qu'elle souhaite. 

En phase active :

Il y a une prolifération cellulaire.

En PCL :

On observe une nécrose de la masse formée. En cas de récidive trop fréquente du conflit, on peut observer une destruction de la glande.

  1. L'iris

Anatomie :

L'iris appartient à la tunique vasculaire. C'est la partie colorée du globe oculaire à la forme d'un beignet aplati. Elle est suspendue entre la cornée et le cristallin.
L'iris est une membrane circulaire et contractile de la face antérieure de l’œil. Il est composé par des mélanocytes. C'est la quantité de mélanocytes qui détermine la couleur de l’œil. Il est percé en son centre par un orifice appelé pupille. Sa principale fonction est de moduler la quantité de lumière qui entre dans le globe oculaire.

Le conflit :

Le conflit pour l'iris de l’œil droit est de ne pas pouvoir attraper le morceau de lumière visuelle convoité. Pour l’œil gauche, c'est de ne pas pouvoir recracher le morceau de visuel. Cela peut être l'attente du retour d'un être cher, pour l'iris droit, le dernier adieu pour l’œil gauche, ou un sale texto. 

En phase active :

La prolifération cellulaire forme ainsi un adénocarcinome de l'iris qui renforce la musculature lisse de l'iris. Cette contraction du sphincter provoque une mydriase. 

  1. La chambre archaïque de l’œil : la choroïde

Anatomie :

La choroïde constitue la partie postérieure de la tunique vasculaire. Elle est fortement vascularisée. Ces nombreux vaisseaux sanguins fournissent les nutriments à la face postérieure de la rétine. La choroïde renferme également des mélanocytes. La fonction est d'absorber les différents rayons lumineux permettant ainsi une bonne définition de l'image projetée. Dans la partie antérieure, se situent les corps ciliaires qui sécrètent l'humeur aqueuse de l’œil. 

Le conflit :

Le morceau de lumière a déjà passé la cornée. On ne peut plus s'en séparer (cornée : être séparé, vouloir être séparé d'une information visuelle.). Le conflit touchera une information visuelle que l'on a pas vue ou que l'on aurait pas voulu voir dans un contexte de drame ou d'horreur qu'on ne parvient pas à éliminer.

En PCL :

Le processus inflammatoire peut amener un glaucome (augmentation de la pression oculaire).



Dans les structures de l'ectoderme :

  1. les voies lacrymales

Anatomie :

Nous allons distinguer les voies lacrymales supérieures des voies lacrymales inférieures. Les voies lacrymales supérieures sont composées de 6 à 12 ductules excréteurs. Elles amènent les larmes des glandes lacrymales à l’œil. Ensuite, les larmes s’écoulent de l’œil dans les canalicules lacrymaux puis le sac lacrymal. Enfin elles rentrent dans le conduit lacrymal et se déversent dans le nez. 
Les voies lacrymales permettent :
  • Soit d’amener les larmes aux yeux, et rendre ainsi les yeux brillants.
  • Soit de permettre d'évacuer les larmes et rendre ainsi les yeux plus ternes. 


Le conflit :

Le conflit est soit celui de vouloir être vu si les yeux sont brillants ou soit au contraire ne pas vouloir être vu si les yeux sont ternes.
On parle ici de la peur du regard des autres avec une consonance de jugement. Autrement dit, on peut aussi le formuler ainsi : ne pas se situer dans le regard de l'autre et celadans un grand sentiment d'insécurité.
  1. L'épithélium de la paupière et la conjonctive. 

Anatomie :

La conjonctive se compose de 2 feuillets :
  • Une conjonctive bulbaire
  • Une palpébrale 
Elle est richement innervée.

Le conflit :

Le conflit concerne une séparation d'ordre visuel. On parle ici de choses insupportables ou alors la perte de vue d'un objet, d'un être cher. On peut penser à un fauteuil vide, l'absence de quelqu'un. Dans une thématique de vision cela peut être un message reçu par mail, Sms etc. de nos jours, nos yeux sont de plus en plus sollicités.

En phase active :

En phase active, l'apparition de squames accompagne une ulcération indolore de la conjonctive ou de la paupière. On constate une perte de sensibilité et une amnésie des faits. 

En PCL:

La phase PCL se caractérise par une inflammation de la conjonctive de la paupière ou du bord libre de la paupière. Cette rougeur peut être de nature inflammatoire, infectieuse ou allergique. Lors de la crise épileptoïde, il y a apparition de trouble de la sensibilité – hyperesthésie.
L'inconfort vécu souvent comme une brûlure, une douleur, peut être vécu comme la sensation de corps étranger. 

  1. La cornée

Anatomie :

La cornée appartient à la tunique fibreuse. La cornée est une membrane transparente qui laisse passer la lumière. Grâce à sa forme incurvée, elle contribue à focaliser la lumière sur la rétine. 
La cornée est le premier élément réfractant de l’œil. 
La cornée est la partie antérieure, transparente du globe oculaire en forme de calotte sphérique.
l'innervation est assurée par la branche ophtalmique du trijumeau. 

Le conflit :

Le conflit renvoie encore une fois à une perte de contact visuel ou à vouloir me séparer d'une information visuelle. On a perdu quelqu'un de vue. On ne supporte plus de voir quelqu'un ou quelque chose.
Il s'agit d'un fort conflit de séparation.

En phase active :

On remarque l’apparition de micro-ulcérations et une accélération de la desquamation antérieure de la cornée. Le phénomène s'accompagne d'une perte de mémoire des événements concernés. 

Le sens biologique :

Il permet plus facilement l'oubli de la personne, de la situation, que l'on a vu en détruisant la cornée. 

En PCL:

Il y a une inflammation au niveau de la cornée. Un œdème inflammatoire, un trouble la vision 
La deuxième partie de la PCL aboutie, le plus souvent, à la restitution dans l’intégrité de la transparence de la cornée. 
Si la masse de conflit est trop importante, il peut y rester une taie.

  1. Le cristallin

Anatomie :

Le cristallin est la deuxième lentille convergente de l’œil après la cornée. Cette membrane est biconvexe liée avec des muscles ciliaires. Le muscle ciliaire est un anneau de myocytes dont la contraction et le relâchement modifie la rigidité du cristallin.
Il permet le phénomène d’accommodation. Il va y avoir une modification de la courbure du cristallin pour permettre la mise au point de l'image nette au niveau de la rétine.

Le conflit :
Encore une fois, il s'agit d'un conflit de séparation faisant intervenir la vue. L’information est plus profonde que pour la cornée.
Pour Kromer, le conflit est de ne pas vouloir voir, ne plus voir, ou de ne plus vouloir être vu. « ne pas pénétrer dans mon regard, dans mon âme »

En Phase active :

Pour Hamer, il y a nécrose du cristallin.
Pour Kromer, le cristallin s’opacifie, et il se forme une cataracte en phase active. Elle le justifie par le fait que les corticoïdes augmentent la cataracte. Il s'agirait donc d'une phase active (cf. l'action sympathicotonie des corticoïdes).

En PCL :

Pour Hamer, il y a une tuméfaction inflammatoire. En fin de PCL, l’opacification du cristallin peut provoquer une cataracte.
Pour Kromer et Guinée, le retour de la transparence initiale est possible. 
En cas de récidive trop régulière, il peut y avoir une perte de plasticité du cristallin.

  1. Le corps vitré :

Anatomie :

Le corps vitré est une substance aqueuse, gélatineuse situé derrière le cristallin. Il permet de maintenir la rétine contre la choroïde. Il contient des phagocytes pour éliminer les déchets afin que rien n’obstrue la vision. Il peut arriver que des accumulations de débris projettent une ombre sur la rétine et fassent apparaître des taches. 


Le conflit :

Le conflit est d'être poursuivi par quelque chose de vivant, archaïquement un prédateur. C'est la sensation d'avoir toujours quelqu'un derrière soi.
On retrouve dans les conflits : 
  • Être frappé par derrière
  • Être impacté par une voiture derrière 
  • Toutes les notions de me faire poursuivre virtuellement : diagnostic, mort, URSSAF,... 
  • Piqûre

On peut retrouver les programmants, premiers conflits, chez les enfants opérés, les violences à la maison,...
Toutes les phobies des animaux sont sur le corps vitré.

Phase active :

En phase active, le rétrécissement du champ visuel mime le fait de mettre des œillères pour aller droit devant.
Les proies dans la nature ont des yeux périphériques pour voir d'où vient le danger. Les prédateurs quant à eux, ont le regard frontal pour avoir une vision 3D et une meilleure estimation des distances.

En PCL:

En phase PCL, il y a une inflammation du corps vitré. 
Si l’œdème pousse vers l'arrière sur la rétine, les troubles visuels sont importants. Vers l'avant, il y a formation d'un glaucome. 

  1. La rétine

Anatomie :

La rétine est l'enveloppe la plus interne de l’œil. Elle tapisse les trois quarts postérieurs du globe oculaire. La rétine est formée :
  • D'une partie pigmentaire qui permet de filtrer, comme la choroïde, la lumière diffuse.
  • D'une partie nerveuse qui traite les données visuelles avant de les transmettre par influx nerveux au nerf optique. 
    Elle se compose de 3 couches : les photorécepteurs, les neurones bipolaires et les cellules ganglionnaires. 
      Les photorécepteurs permettent la conversion de la lumière en influx électriques. Ils se divisent en deux types : les cônes et les bâtonnets. Les 120 millions de bâtonnets permettent de voir dans la pénombre. Les 6 millions de cônes sont responsables de la vision colorée.
La rétine agit comme le film de la caméra.

Le conflit :

Il s'agit d'une peur dans la nuque. C'est à dire quelque chose que tu n'as pas vu venir, qui était hors chez de la vision. Autrement dit, il s'agit d'une grande insécurité par rapport à des choses qui te tombent dessus :
  • Une branche d'arbre
  • Un accident de vélo 
  • Une claque en pleine gueule que tu n'as pas vu venir 
  • Vision insupportable d'autant plus pour la macula et la fovéa. Elles renvoient très souvent à une thématique de jugements très forts. Rappelons que les animaux se toisent par le regard.

Dans ce conflit, on retrouve souvent les gens qui se comportent comme des victimes. 

En phase active :

Il va y avoir apparition de taches sombres appelées scotomes. Les scotomes vont entraîner des déformation de la vue. Très souvent, un conflit de conjonction est associé celui de la nuque qui oriente le regard.

En PCL :

Il y a formation d'un œdème qui peut amener à la décollement de la rétine. Si l’œdème est à l'arrière, alors la vision chute brutalement. il va y avoir une diplopie et parfois un strabisme. 
Une douleur de névrite optique à « se taper la tête contre les murs » peut être associée.
La crise épileptoïde se manifeste par l'apparition de scotomes brillants.

Si le conflit est récidivant, un rétrécissement soit antéro-postérieur, soit latéro-latéral survient entraînant des troubles de la vision..


Formation des images

A certains égards, l’œil est semblable à un appareil photographique, quoi qu'en réalité ce soit plutôt l'inverse... L'ensemble des éléments de l’œil permettent de focaliser l'image d'un objet sur une « pellicule », la rétine. L'exposition lumineuse est quant à elle assurée par les muscles de la pupille. La mise au point se fait par la cornée et le cristallin. Pour comprendre la manière dont l’œil forme une image nette, il faut étudier trois processus : 

  1. la réfraction des rayons lumineux :

La réfraction est le processus de changement de direction des rayons lumineux lorsqu'ils passent d'un milieu transparent comme l'air à un autre milieu transparent comme l'eau. Les rayons lumineux qui pénètrent dans l’œil sont réfractés sur les deux surfaces de la cornée, puis les deux faces du cristallin, de sorte qu'ils se focalisent précisément sur la rétine. Nous rappellerons que l'image est inversée sur la rétine. Notre cerveau apprend à convertir l'image dès nos premiers mois de vie pour ne pas voir le monde s'en dessus dessous. La cornée assure 75 % de la réfraction, le cristallin les 25 % restants.

  1. l’accommodation

L’accommodation permet d'assurer la netteté des images pour des distances différentes. Afin d'avoir une image nette pour des objets rapprochés, le cristallin va augmenter sa courbure. Il augmente ainsi son pouvoir de réfraction. Cela est rendu possible par les deux faces convexes, c'est à dire bombées sur l’extérieur, du cristallin. La courbure du cristallin se fait sous l'influence des muscles ciliaires.

  1. la constriction de la pupille

La constriction de la pupille est le rétrécissement du diamètre de l'orifice par lequel la lumière pénètre dans l’œil. Elle se fait sous la contraction du muscle sphincter de la pupille. Il s'agit d'un réflexe autonome et permet de limiter la quantité de lumière qui arrive à la rétine. Sans ce mécanisme les rayons entreraient par l’œil aussi par la périphérie du cristallin. Ils ne pourraient pas se focaliser sur la rétine et l'image serait floue. 
Les défauts de la vision 

Pour Hamer les troubles de la vision arrivent en PCL.

  • La myopie : La myopie apparaît lorsque le globe oculaire est trop long relativement à la capacité de focalisation de l’œil. Le cristallinest plus épais qu'il ne devrait l'être ce qui fait que la convergence des rayons se fait devant la rétine. L'image va se faire devant la rétine. Le sens biologique permet de voir très bien de près : l'avantage est de pouvoir voir ce qui va arriver proche de moi. Le ressenti du conflit correspond à des situations qui te tombent dessus de coté, à des informations qui arrivent de coté. 
    Les conflits assez fréquents dans la myopie sont, par exemple : les professeurs qui circulent, les claques, les difficultés d'apprentissage, les attaques médicales,etc...

  • l'hypermétropie : L’hypermétropie apparaît lorsque le longueur du globe oculaire est trop faible relativement à la puissance de focalisation de la cornée et du cristallin. Le cristallinest plus mince que ce qu'il devrait être normalement. L'image converge alors derrière la rétine. La vision de loin reste conservée. Le sens biologique est de favoriser la vision au loin. On retrouve comme conflit la peur du jugement, les anticipations excessives, je regarde au loin le danger.

  • l’astigmatisme : Il s'agit d'une irrégularité de la courbure soit de la cornée,soit du cristallin. Elle se traduit par une vision floue, brouillée ou déformée. Le conflit associé est donc une notion de séparation d'ordre visuel. Exemple : La mort du petit chat écrasé sur la route, le décès de papy, papa et maman qui se disputent devant moi, etc,... peuvent être autant d'exemples de conflits. Le sens biologique est de diminuer la netteté d'une image trop forte pour moi. 

  • La presbytie : elle est autrement appelée la maladie des bras trop court. Il s'agit d'une perte d'élasticité du cristallin. De ce fait, l’œil perd sa capacité d’accommodation des objets rapprochés. Elle fait appelle à des situations où tu perds des gens proches. Tu peux commencer à avoir des difficultés à devoir allonger les bras. Elle apparaît vers 40- 45 ans, c'est l'âge où on retrouve les premières grosses fortes séparations par la mort. Parfois les images restent gravées et reviennent en rêves. 



Autres pathologies du système oculaire :

  • La mucoviscidose des glandes lacrymales : c'est la destruction des glandes lacrymalesque l'on retrouve dans Syndrome de Gougerot-Sjögren. Il s'agit d'une PCL en balance. Le conflit s’énonce alors de la manière suivante : «  je ne pleurerai plus jamais comme cela car pleurer est inutile ou finit par aggraver la situation. ». un type de conflit prend souvent source dans l'enfance : « si tu ne sais pas pourquoi tu pleures, la gifle te donnera une bonne raison ».
  • la sécheresse oculaire : on peut y voir deux conflits soit une PCL sur les glandes lacrymales, soit une PCL sur les canaux lacrymaux. Les conflits sont de ne pas avoir vu quelque chose, ou devoir cacher mon regard, mon âme des jugements. 
  • Le larmoiement : il s'agit d'une PCL sur les voies lacrymales. Le sens biologique est d'attirer le regard. Il faut du coup être vu.
  • lespleurs : les pleurs font parties des résolutions. On les couplera aux conflits des canaux collecteurs des reins (tout s'écroule autour de moi). Le ressenti est de devoir évacuer quelques chose de visuel dans un contexte d'écroulement d'existence. Les larmes apparaissent quand on commence à digérer un événement compliqué.
Les pathologie de lapaupière :la thématique du ressenti est toujours une séparation visuelle : avoir perdu devue, neplus vouloir voir. Toutes les pathologies suivantes sont en phase de résolution :

  • L'eczéma palpébral :

  • La conjonctivite :

  • La blépharite :il s'agit d'une infection du revêtement cutané.Il s'agit d'une phase PCL lorsque l'on résout une problématique de séparation visuelle.

  • L'orgelet :ilse situe entre la peau et la conjonctive. Il concerne les glandes de Meibomius qui sont des glandes sébacées. Le conflit est l'atteinte àintégritédans une consonance de souillure par rapport à quelque chose de visuel. Le sens biologique est de laver l’œil de ce qui à porté atteinte à intégrité et souillé dans ce qui a été vu. 

  • Les taches de sang :dans la conjonctive ce sont des crises épileptoïdes dans des choses visuelles et des combats dans les liens de sang. 
Les pathologies de la cornée :

  • La kératite de la cornée :elleestcaractérisée par un larmoiement, une photophobie et des spasmes de la paupière.Il s'agit d'une phase PCL, sur un ressenti de forte perte de vue de quelqu'un ou de quelque chose. 

  • Le kératocône :en PCL, c'est la formation d'un cône qui réduit symboliquement au minimum ce que les autres peuvent voir à l'intérieur de moi même, dans mon intimité la plus secrète.

Pathologie du cristallin : 

  • La cataracte :il s'agit d'une opacification ducristallin. Les auteurs ne sont pas tous d'accord pour la situer dans la seconde loi. 
    En effet, Hamer pense que la cataracte est une phase de PCL en lien avec la théorie.
    Pour Guinée et Kromer, la cataracte serait une phase active, car en pratique, les corticoïdes ont une action sur la cataracte.
    Quoiqu'il en soit, il s'agit toujours de conflit de séparation visuelle répétée et plus profonde que pour le conflit de la cornée. Les rails de conflit peuvent être la lecture, l'écran d'ordinateur,etc...

Pathologies de la rétine :

  • Le glaucome :le glaucome est principalement une phase de résolution sur le corps vitré. Cependant il peut s'agir d'un conflit touchant le choroïde de l’œil. Il s'agit d'une inflammation qui empêchera l'humeur acquise de s’évacuer provoquant une hypertension intra-oculaire. Le glaucome intervient après une forte peur d'avoir été poursuivi. 
  • Les scotomes :les scotomes sont des taches sombres dans la vision. Ils apparaissent en phase active sur la rétine. Il s'agit donc de forte insécurité par rapport à quelques choses qui nous tombe dessus. 
  • Larétinitepigmentaire :il s'agit d'une destruction des cônes et des bâtonnets. Au vue des lois, il s'agit d'une phase active sur des choses insupportables, insoutenables que je ne veux plus voir. 
S'il y a deux conflits en sympathicotonie, c'est à dire en phase active, soit sur la rétine ou soit sur le corps vitré à droite et à gauche, le cerveau entre en paranoïa. Le sens biologique est la pré-vision voir avant. Cette Constellation schizophrénique entraîne l'apparition de flash, de rêves prémonitoires, d'impressions de déjà vu.

  • La dégénérescence maculaire de l’œil (DLMA) : est une affection dégénérative de la rétineque l'on observe chez les personne de plus de 50 ans. Il s'agit d'une destruction de la macula où normalement l’acuité est maximale. La vision centrale diminue graduellement. Il s'agit donc d'une phase active d'un conflit sur la rétine. Le ressenti est une forte insécurité visuelle, des situations insupportables à voir qui te tombent dessus. Les exemples que nous pouvons évoquer sont de devoir enterrer son enfant, voir son conjoint grabataire, etc...
  • La cécité : elle renvoie au même type de conflit en phase active que la DLMA. 

  • Le daltonisme ou dyschromatopsie : c'est une anomalie de la vision affectant la perception des couleurs. L’origine est généralement génétique. Elle est due à une déficience d'un ou de plusieurs types de cônes de larétine. Nous irons chercher une origine transgénérationnelle concernant des visions insupportables en lien avec la couleur disparue. Si la couleurs rouge est affectée nous pourrions penser à des problématiques sur le sang par exemple : meurtre, guerre, accident, hémorragie, etc...

lundi 30 mars 2020

le triangle de Karpman

je vous invite en cette période de confinement à jeter un oeil sur notre dernier article sur le triangle dramatique de Karpman. le fameux triangle sauveur, bourreau, victime. n'attendons pas de l'extérieur la paix dont nous avons besoin prenons nos responsabilités dans cette période compliquée...


jeudi 26 mars 2020

la latéralité

L'importance de la latéralité



La latéralité, est souvent reconnue comme la propension de chacun à utiliser une main plutôt que l’autre pour faire des taches manuelles. 
En lecture biologique, la latéralité n'a rien à voir avec celle de l’écriture. 
En effet, la main d'écriture est une acquisition faite par l'éducation scolaire et familiale. Elle est issue d'un apprentissage. 
Nous parlons alors d'une latéralité acquise ou usuelle. Il n'y a pas si longtemps on attachait la main des élèves pour qu'ils ne puissent pas user de leur main gauche. 
Dans certaines cultures d’Afrique, il n'y a donc pas de gaucher usuel car la main gauche est la main du Diable, elle est utilisée pour toutes les activités.
Pour des soucis de compréhension, il m'arrive de parler de polarité.

D'où vient la latéralité ?

La latéralité, au sens biologique, est innée. 
Elle se met en place dès la première division mitotique : dès la première division cellulaire de l’œuf. La latéralité est présente aussi chez les animaux. 

Comment déterminer la latéralité ?

La latéralité se détermine de deux façons :
  • La première est le test d'applaudissement
Il suffit de mettre en évidence la main dynamique et la main de réception. En général, la main dynamique, celle qui détermine la latéralité, est au-dessus. 
  • Le second test est la façon de porter un enfant. 
La main forte sera celle qui soutiendra l'enfant. N'ayant pas toujours un nourrisson sous l'aile, le test d'applaudissement reste le plus facile à mettre en place. 




Et alors ?

La latéralité est un filtre, elle teinte la réalité perçue. 
Un(e) droitier(e) et un(e) gaucher(e) ont une vision différente de la réalité, leur latéralité leur donne un spectre, un angle de perception différent.
La latéralité jour un rôle dans la perception de chacun face à un évènement vécu. 
La latéralité influence nos ressentis par notre fonctionnement biologique, ainsi le gaucher fonctionne plutôt avec l’hémi-cortex droit quand c’est l’inverse pour le droitier. Donc, si on reste sur la Lecture biologique et le rapport entre conflit et maladie, nous pouvons aussi constater que la latéralité peut nous apporter une fragilité sur tel ou tel organe.
Ex : pour un conflit de territoire comme une perte d'emploi.
  • Le droitier risque un infarctus du myocarde.
  • Le gaucher fera un angor de poitrine.

On peut alors déterminer un mode de fonctionnement inné en fonction de la latéralité mais aussi en fonction du genre : 
La présentation qui suit contient des généralisations qui peuvent parfois tenir lieu de caricature. Or, nous sommes évidemment conscients qu’il y a des différences entre les individus et que l’individu est plus complexe que cela. Ici, nous vous exposons un type de fonctionnement en fonction d’un filtre (la latéralité innée) mais les filtres sont très nombreux (culture, rang de fratrie, éducation…) donc restez calmes, nous faisons ces généralisations dans un soucis pédagogique de découpage des informations pour en simplifier la compréhension.
De plus, certains individus peuvent fonctionner à l’inverse de leur latéralité de base dans une stratégie de survie, donc il est possible que vous ne vous reconnaissiez pas dans votre genre et otre latéralité.




Les droitiers (70% de la population environ)

L’homme droitier : Le roi, le coq.
La conquête de territoire. 
Plutôt extérieur au foyer, il sait se mettre en avant pour prendre sa place dans le monde extérieur. Il se présente plutôt dans une énergie d'opposition, de rivalité. Il est plutôt sur une énergie de commandement. Il n'aime pas qu'on lui impose des contraintes. C'est lui qui décide. L'homme droitier n'a pas de peurs, ni d'impuissance, lorsqu’il n’y arrive pas c’est que cela ne fonctionne pas comme il le souhaite.
L'énergie première de l'homme droitier est la dissuasion, l'attaque.
Il est protecteur de sa famille et est davantage à poser les limites du territoire, aux frontières de la maison. Il veille à acquérir suffisamment de richesse pour son royaume (oui tout est relatif). Pour lui, prendre soin des siens, c’est les mettre en sécurité. Il n'est pas rare de le voir travailler plus lorsqu'il devint papa pour mettre sa famille à l'abris du besoin.  Dans l’éducation des petits, l'homme droitier intervient pour protéger sa femme. 
L'homme droit est mono-tâche. Cela s'explique biologiquement par un souci de performance. En effet, dans la nature ce sont plutôt les mâles qui chassent (enfin sauf chez les felins). Ils ont besoin de toute leur attention sur la saisie de leurs proies. 
Ex : Quand on demande à l’homme droitier de ramener la corbeille de linge, il ne prendra pas en compte le linge qui traine par terre car on lui a demandé une action précise.
Une demande = une action. 
Si votre homme droitier regarde la télévision, et que vous lui parlez, il ne vous entend pas. Il a besoin de vous regarder pour vous écouter. 

L'homme droitier est plutôt pragmatique, il ne s’intéresse ni au détail ni à l'esthétisme. Il faut que les choses soit utiles, dans la performance. Le cliché de la montre du droitier est un gros cadran avec 8 chronomètres qui ne serviront jamais.
Enfant, le droitier est plutôt enclin à la compétition avec les autres, il veut montrer que c'est lui le plus fort ! Souvent, il a une énergie bagarreuse, et est en rivalité avec les autres. Il est plutôt attiré par le sport. Potentiellement à la maison, quand papa n'est pas là, il peut devenir autoritaire avec les plus petits ou même avec sa maman.
Post andropause, le mâle droitier change d'énergie. Il fonctionne sur une énergie plus féminine. Alors qu'il trainait à l'extérieur en permanence, quand l'homme droitier passe à la retraite, il se rapproche du nid. Il devient plus casanier. 
Le cliché : on le retrouve à jardiner. Il s'occupe de ses petits-enfants alors que souvent, il s'est occupé plutôt de loin à l’éducation de ses enfants.
Les organes les plus fragiles de l'homme droitier sont, le cœur, les bronches, l'estomac.

La femme droitière :la Mama Poule

Energie féminine. Il s'agit d'une énergie de réception, de douceur.
En règle générale, la femme droitière ne conquière pas sa place, elle la reçoit. Elle est plutôt douce, dans la sensualité et l'attirance. Elle sait proposer ses influences sans les imposer. Elle sait être pertinente pour convaincre son interlocuteur. La femme droitière fonctionne en priorité sur la communication et le partage.
Elle est plutôt attachée aux détails des choses, au côté esthétique.
Messieurs, sachez que votre femme adore les petites attentions du quotidien plutôt qu’un gros cadeau bling-bling qui manifesterait votre toute puissance phallique.
Dans la maison, elle arrondit les angles dans l’intérêt premier de sa progéniture. Proche du foyer, elle fait passer ses enfants avant tout. Gare à celui qui s'en approche de trop près. Elle gère l'essentiel de la vie de son nid, même si un peu de soutien lui fait du bien. Elle aime recevoir sa famille, ses amis dans le nid. C'est une énergie de partage et d'altruisme.
En couple, elle séduit son homme mais ce n'est pas elle qui fait le premier pas. Elle l'attend. Elle attend de lui qu'il mette des limites pour protéger le nid. 
La femme droitière est multitâche. Encore une fois biologiquement cela s’explique par le fait que dans la nature, les femelles nourrissent les petits quand il faut surveiller les plus grands tout en ayant les sens en éveil en cas d'une éventuelle attaque de prédateur.
Enfant, c'est une petite fille très proche des plus petits. Elle aime s'occuper, guider les plus jeunes qu'elle. Dans la cour de récréation alors qu'elle est en CM2, elle aime guider les maternelles. Parfois elle peut devenir trop présente et anticiper les besoins de la maman dans la maison, d'autant plus si elle est ainée.
Post ménopause, la femme droitière passe sur une énergie plus masculine. 
Le cliché :  elle attendait son mari pour faire des choses à la maison, passé la ménopause elle devient plus autonome, et tournée vers l'extérieur. Elle veut voyager et penser à elle. Elle peut être aussi un peu plus agressive. 
Les organes en fragilité sont : le colon, la thyroïde, l'utérus, les canaux galactophores.

  • L’homme gaucher : le loup qui dort, la force tranquille.
Energie féminine. Il est de nature calme et tranquille. 
Il agit plutôt par la séduction. Le gaucher est plutôt dans une énergie de création. Il traite les choses de manière plus globale que le droitier qui est plus perfectionniste. Le gaucher est donc multitâche.
De manière générale, il est dans une énergie de communication, de bonnes idées et de bons conseils. Il propose ses idées et les laisse germer dans la pensée de son interlocuteur. Il est agréable à vivre, proche du foyer. Il fait passer ses enfants en premier lieu. Il est doué d'une énergie de réception, c'est un très bon confident. Le gaucher arrondit les angles et à plutôt tendance à prendre la fuite. Cependant, s’il est bloqué, il rentre dans une énergie d'hyper-combativité. S’il ne peut plus fuir, il va jusqu'au bout ne lâchant plus rien. Imaginez une gazelle coursée par le lion arrivant au bord d'un précipice, elle n'aura plus le choix que d’affronter jusqu'à la mort. Si le gaucher est très calme et doux, il peut surprendre par la violence de ses colères. 
L'homme gaucher est proche de sa famille. Sa fragilité est souvent d'être coupé entre sa femme et son nid d'un côté et sa mère de l'autre. Il veille à une bonne entente entre tous ces membres et parfois ne réussit pas à poser de limites.
L'homme gaucher est séduisant, apprêté. Il fait attention aux détails, aime l'harmonie et l'aspect esthétiques des choses. Son choix de voiture se fera principalement sur le design da la voiture, des surpiqures de cuire des sièges plus que pour un gros moteur performant.
On parle souvent de l'homme gaucher comme du second loup. Il s'agit du loup qui se soumet facilement au mâle alpha, sans rentrer en compétition avec lui, acceptant facilement les ordres. Le jour où le mâle alpha disparaît, le second loup prend facilement la place de chef dans l’intérêt de la meute. En gros c'est un très bon premier ministre.
Le sens biologique, pour Josy Kromer est d'avoir des hommes, des maris, des papas doux. Pour elle, cela signerait que chez les ascendants, il y ait eu des hommes violents, ou absent, ou mort jeune. Bref on fait des hommes dévoués au foyer.
Enfant, le gaucher est plutôt entouré de filles. Il a tendance à fuir la violence. Cependant, il faut se méfier de ces coups de colère où il peut tout envoyer valser. A la maison, il aime bien donner un coup de main dans les tâches ménagères. Il est souvent très possessif avec sa maman.
A l'andropause, l'homme gaucher ne change que très peu. Il reste proche de ses enfants et de ses petits-enfants.
Les organes les plus impactés chez l'homme gaucher sont la prostate, le larynx et la vessie.

La femme gauchère :la lionne, celle qui ne lâche rien.
Energie masculine. 
Elle est donc dans la conquête et l'opposition. La gauchère est mono-tache.
Elle est brute de décoffrage, sans détour. Elle est directe et entrepreneuse. Elle n'a pas peur de rentrer dans les conflits et de prendre position. Elle fait tout pour changer une situation et prend la fuite en dernier recours. Proche de ses enfants, elle aura plaisir à s'en détacher pour les rendre autonomes. 
La difficulté de la femme gauchère est de surprendre par son énergie masculine. On lui demande souvent de s'adapter, de jouer le rôle de la petite fille sage. On essaye de la refréner sur son énergie de chef, ou sur sa façon de parler.
Sa manière de s'habiller, de s’apprêter doit être efficace – plutôt jeans, que robe, baskets que talons... Les maîtres mots sont « PRATIQUE et EFFICACE ».
En couple, c'est elle qui décide, elle ne plie pas et a du mal à supporter les contraintes. Lorsqu'elle jette son dévolue sur un homme, c'est elle qui part à la chasse. Gare aux copines droitières si elles avaient des vu sur le même homme, car la gauchère n'attend pas. Elle réforme son homme si besoin. Si elle n'y arrive plus, elle prend la décision de la séparation. Il n'y a rien de pire pour la gauchère que de se faire quitter.
Au travail, la femme gauchère fonctionne sur une énergie extérieure au nid et est plutôt carriériste. Elle est exigeante et perfectionniste avec elle-même et souvent avec les autres. Elle peut passer pour quelqu'un d’autoritaire. Elle préfère principalement les ambiances masculines : plus franches et plus directes.
Le sens biologique de la gauchère répond au besoin d’une femme à fort caractère qui puisse prendre les rênes du foyer si le mari meure ou s’il est brutal. Il y aurait aussi une incidence du clan chez les ascendants.
La petite fille gauchère est sur une énergie de garçon manqué. Elle a tendance à jouer plus avec les garçons, ne comprenant pas toujours comment les autres filles fonctionnent. Elle se tourne vers des jeux plus comme le foot, le rugby, délaissant les poupées.
A la ménopause, la femme gauchère ne change pas trop d’énergie.

Les organes plutôt impactés sont les artères coronaires, les bronches, le centre de régulation de la glycémie.

La polarité décrit une tendance, pas un impératif comportemental.
Même si la latéralité donne une indication sur notre personnalité, une nuance de couleur, rien n’est figé. Cela serait trop simple !
En effet, il faut rajouter toutes les teintes associées à notre couleur. Pour reprendre la métaphore si je suis le bleu, en fonction des contextes je peux me rapprocher du vert ou virer au violet. 
Certaines personnes fonctionnent à l'opposé de leurs énergies innées. Nous parlons alors de gaucher like pour un droitier qui agit comme un gaucher ou de droitier like pour un gaucher qui agit comme un droitier.

Cela n’est pas négatif, c'est ADAPTATIF !
C’est une nécessité pour s'adapter au mieux à un environnement. 
Il serait idiot de dire à la gazelle : aujourd'hui tu arrêtes de fuir, tu affrontes le lion... 
En fonction de notre mode éducatif, notre place dans la fratrie, nous n'affirmons pas forcément notre énergie de base. Imaginez, un droitier, 3eme de fratrie, avec 2 grands frères et une maman autoritaire. Il serait compliqué pour lui de s'affirmer en permanence avec ses petits poings musclés, pour s’adapter il passe donc en énergie de gaucher. A l'inverse, l'ainée droitière qui doit gérer ses petits frères et sœurs, si elle n'a pas la poigne, risque d’être vite dépassée et doit donc, pour s’adapter passer en énergie de gauchère.

Quand nous n'exprimons pas notre énergie de base, nous sommes en « pat ».
Il faut un temps infime pour switcher d'une énergie à l'autre. 
Ex : Un homme droitier qui se fait engueuler par son patron se soumet. Puis, l'instant d'après, il convoque tous ses salariés pour passer ses nerfs, du moins communiquer les nouvelles directives et il retourne sur son énergie de base, l’énergie du droitier.

L'énergie exprimée est dépendante de niveau d'hormones sexuelles. Ainsi l'homme droitier et la femme gauchère sont sous influence de la testostérone. La femme droitière et l'homme gaucher sont plus sous influence des androgènes. Avec les perturbateurs endocriniens, nous observons un lissage des personnalités féminines et masculines. Les femmes se masculinisent sous l'effet des hormones de synthèse et autres produits types pilules et chimiothérapie. Les hommes se féminisent sous l’influences des pesticides.
De plus les rôles sont moins catégorisés depuis 70 ans par la professionnalisation des femmes, et l'augmentation de la place des papas dans les foyers.

Dans le cas des jumeaux monozygotes, comme la polarité vient de la première division mitotique on retrouve systématiquement un droitier et un gaucher. Pour Kromer, les jumeaux signent toujours une perte d'enfant chez les ascendants. 
La nature est bien faite et vient offrir deux enfants pour prévenir la disparition éventuelle de l’un des enfants. Le sens biologique est de maintenir la progéniture et la descendance. Les deux jumeaux fonctionneront donc sur une énergie différente : l'un plus dans la conquête, l'autre plus dans la soumission. L'autre avantage d'avoir un droitier et un gaucher d’un point de vue de la biologie se pose en termes de survie car pour un même conflit les deux enfants ne mourront pas : leur ressentis et leurs réactions étant différents, la gestion du conflit le sera aussi ce qui implique qu’au moins l’un des deux pourra survivre.
Il est possible que nous puissions extrapoler ce principe à tous les jumeaux du même sexe.

Enfin, la latéralité permet de déterminer un côté symbolique et d’associer le côté touché par les symptômes et maladies :
  • Pour les droitiers et droitières, le côté droit est en relation avec les partenaires alors que le côté gauche est en lien avec la mère ou les enfants. 
  • C’est l’inverse pour les gauchers et gauchères. 


Pour résumer, la latéralité selon la lecture biologique : 


  • Est innée et n'a rien avoir avec notre main d'écriture.
  • Influence la perception que nous avons de notre environnement. 
  • Permet de déterminer une énergie de base. 
  • Détient un côté symbolique d’interprétation des symptômes et maladies.