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mardi 18 janvier 2022

carte heuristique

  La carte mentale



Je vous présente un outil simple d'une efficacité remarquable : la carte mentale. Cette outil a été développé par Tony Buzan dans les années 1990 d'après ses observations sur le fonctionnement du cerveau. Les pensées arrivent de manière irradiante, on parle alors de pensées arborescentes. Un mot apporte plusieurs idées sur lesquelles vont se raccrocher d'autres concepts. 

La carte mentale est appelée dans la littérature de multiples façons :

  • mind map,

  • carte mentale 

  • carte heuristique

  • carte cognitive.

La carte mentale est une manière de représenter le fonctionnement mental. C'est donc une représentation de la création des pensées. Il s'agit au départ de présenter, visualiser le cheminement de la pensée. En pédagogie, elle est utilisée :

  • dans la recherche d'idées,

  • l’affinage de réflexion,

  • organiser de façon logique les informations (1)



Comment fonctionne une carte mentale ?

Une carte heuristique s'organise autour d'un nœud central. Il s'agit du point de départ de la réflexion. Dans notre cas, nous placerons dans ce nœud central notre problématique, le point de souffrance. Ensuite nous allons construire une arborescence autour de ce nœud. En quelque sorte, nous allons noter les sous problématiques. Elles seront alors appelées nœuds secondaires. Ils seront reliés par un trait au nœud principal. Depuis chaque sous nœud, partent de nouvelles branches qui à leurs tours apporteront de nouveaux mots, images, idées. 


La carte mentale dans les soins.

la carte cognitive par sa simplicité vous aidera à clarifier, décortiquer un événement douloureux, une situation trop complexe. Je rappelle que comme notre cerveau conscient est vite saturable, il fonctionne par généralisation et raccourcis, perdant ainsi la notion du détail. Or, pour appréhender une méta-émotion (l'émotion représentant l'iceberg), nous allons devoir fragmenter l’Iceberg. Le cas contraire, nous pourrions nous y heurter et nous noyer fasse à l'immensité de l'évènement créant ainsi des confusions. Lors d'un décès par exemple, nous pouvons vivre une forte colère, savons nous toujours à ce moment ce qui la procure ? Notre empan cérébral ne peut pas gérer un événement tel un deuil, un accident de la circulation en présence des enfants, une séparation familiale dans son ensemble. Il va être dépassé, saturé. Une sorte de pelote de fils va donc naitre d'un tel drame. Afin de pouvoir déterminer toutes les émotions, tous les conflits biologiques d'un un tel événement, le mind mapping va nous aider. Il va nous permettre depuis ce tas de fils, de les tirer un à un afin de définir : 

  • émotions,

  • échos dans la vie,

  • sentiments,

  • les rails de conflit.

  • etc.

Prenons l'exemple du deuil d'une personne proche. 



Nous placerons donc en nœud central : le mot « deuil ». Puis nous allons faire venir les premières idées.

Plusieurs éléments vont apparaître : 

  • la mort

  • la séparation

  • le rassemblement familial

  • l'héritage

  • la souffrance des membres de la famille

Nous nous arrêterons là pour l'exemple, qui est bien sûr non exhaustif. Ces 5 points sont les nœuds secondaires. De chaque nœud secondaire, nous allons faire venir d'autres ramifications. Prenons la mort par exemple. Nous allons chercher les croyances sur l'après vie. Y-a-t il eu d'autres décès avant (échos) ? Le sens de la vie. Comment le contact avec le corps sans vie à été perçu. Quel est mon rapport au froid ? Quelle est la cause du décès ? Ai je pu lui dire au revoir ? On va drainer les émotions liées à la mort, les comportements que nous avons eu ou non, les pensées liées à celle-ci.



Apparaissent alors les nœuds tertiaires. Notre perception de l'évènement s'affine. Nous classons les fils les uns à coté des autres. Parfois les nœuds se délient tout seul par le simple fait de les avoir identifiés. Si cela ne suffit pas, l'identification du nœud peut nous amener à plusieurs actions pour traiter les problèmes. Cela va du recadrage à l'acte symbolique en passant par la prise de conscience. 




Si par exemple, je n'ai aucune croyance de la vie après la vie, il sera important d'aller chercher ce que disent les différentes religions et spiritualités. Certains de mes patients font appellent à des médiums. Si je suis très ancré dans les études scientifiques, je me renseignerai surement plus sur les phénomènes de morts imminentes et ce que soupçonnent certains scientifiques de la vie après la mort (2-3). Une autre manière d'envisager la vie après la vie est de faire vivre la mémoire de nos défunts par nos actes, dans nos cœurs, et nos souvenirs. 

En ce qui concernent les autres décès, les échos vont être forts. Bien sur que la mort d'une personne âgée est probablement plus acceptable que celle d'un enfant. Si dans l'historie de la personne, il y a le vécu d'une mort dramatique, la charge émotionnelle va être d'autant plus forte. Nous appelons cela écho ou événement programmant. Le jour de l'annonce d'un autre décès, le cerveau va rechercher tout ce qu'il a déjà vécu dans le même domaine. Il sera donc important de traiter ces échos en psychothérapie, en microkiné, en EMDR et autres. 


Lors des obsèques d'une personne, nous avons pour coutume de retracer la vie du défunt. Il est tout à fait normal, que nous nous questionnons sur le sens de notre propre vie. Si alors, une sentiment de détresse apparaît, il nous sera primordial de questionner ce qui ne fait pas sens dans notre vie et de prendre des décisions. Je ne serai que vous inviter à mettre en place de nouveaux projets qui amènerons à votre réalisation. 

Ai je pu lui dire au revoir ? Cette question est récurrente. Suivant les conditions du décès (soudaineté, distance, COVID etc), se rendre au chevet du mourant peut être impossible. Il naitra alors une série de coulabilités que nous questionnerons. Quelles ont été mes dernières paroles ? Y-a-t il une culpabilité sur des actes que je regrette ? Que ne lui ai-je pas dit ? L'un des actes symboliques que je recommande est d’écrire une lettre au défunt pour exprimer tout ce qui n'a été dit. 


Pour résumer, lors d'un événement terrassant, l'objectif de créer une mind map est de dégager les traumatismes secondaires, les émotions associées et de trouver une action de réparation, de compréhension ou de recadrage. 

Une fois que nous avons déterminé l'ensemble des émotions et des idées principales, la situation nous paraît plus claire, explicite. En soi, la vision plus harmoniser d'un événement est déjà un soin. 



La carte cognitive peut être utilisée dans bien d'autres cas. Si par exemple, vous avez le projet de monter une entreprise de macarons salés, la carte heuristique vous permettra de coucher toutes les idées, et tous les éléments nécessaires à la création de votre macaronnerie. Ensuite, il vous suffira de les classer de manière chronologique pour vous guider dans la marche à suivre du développement de votre nouvelle activité. 


La carte heuristique au-delà de l'outil pédagogique puis diagnostique, est un outil de soin. Le Dr Huba, psychologue et chercheur, a développé l’utilisation du mind mapping dans la gestion des pathologies touchant la mémoire afin de maintenir une activité cognitive stimulante (4).

Il recense les effets suivants : 

  • amélioration de la mémoire

  • aide à la planification

  • clarification de la pensée

  • aide à la décision

  • diminution de l'anxiété


La carte heuristique est donc un outil formidable par sa simplicité qui permet de clarifier les pensées de les organiser afin de mieux se comprendre et se faire comprendre. 


  1. apports pédagogiques de l'utilisation de la carte heuristique en classe, Delphine Régnard, Ela. Etudes linguistique appliquée 2010/2 (n)158) pages 215 à 222

  1. La Preuve du Paradis par le Dr. Eben Alexander

  2. Coma dépassé, Jean Jacques Charbonnier, CLC Plein Soleil, La Motte d'Aigues, 2001

  3. https://www.heuristiquement.com/2019/10/le-mind-mapping-pour-ameliorer-la-sante.html


dimanche 2 janvier 2022

la lecture biologique

La lecture Biologique 
Alias
La Nouvelle Médecine Germanique.
La lecture biologique est une :
  • Articulation Logiqueentre le symptôme (ou la maladie) et un ressenti.
  • Articulation Bio-logiquecar pour un même ressenti ce sera toujours le même symptôme, le même organe qui sera concerné que nous soyons humains ou une autre espèce animale. En fonction, du ressenti, l’organisme va exalter la fonction de l’organe correspondant. 
  • La maladie devient donc une réponse appropriée de l'organisme pour s'adapter à un sur stress, un choc externe. Elle s'inscrit dans le cadre de la survie de l'espèce. Elle est donc un programme biologique de survie commun à tous les organismes vivants. On appelle cela un invariant biologique. 
Selon Hamer, ce programme biologique se serait engrammé tout au long de l'évolution et se serait mis en route en dehors de toute intervention de la conscience.
Par exemple, l'un des tous premiers programmes de survie est la prolifération cellulaire que l'on retrouve pour les bactéries.

Il aura fallu 30 années de recherches au Dr Hamer pour élaborer ce système de croyances permettant de pouvoir mieux comprendre l'apparition d'une pathologie ou d'un comportement.
Ryke Geerd Hamer était un médecin allemand né en 1937 et mort en 2017.
En 1978, suite à la perte brutale de son fils, il déclara un cancer du testicule et sa femme un cancer des ovaires.

Cet évènement et la déclaration concomitante de leur maladie fût le déclenchement d'une longue période de recherche pour ce médecin en quête de compréhension.
Il exerça par la suite dans différents services où il mena de nombreux interrogatoires pour façonner un système rationnel de cause à effet entre les liens psycho-émotionnel, la perception de l'environnement, l’inconscient et la maladie.
Ses travaux sont basés sur la phylogenèse, l'embryologie, l'ontologie, et l’étiologie animal et l’observation para-clinique.
Les maladies ne sont donc plus liées au hasard ou au « pas de bol » mais répondent à un besoin inconscient. Il n'y a plus de fatalité !


Théorie :
Selon Dr Hamer chaque maladie suit la même logique, le même cheminement.

Toute maladie commence par un Dirk Hamer Syndrome ou DHS

DHS :
C'est un choc extrêmement brutal violent, un conflit aigu, dramatique qui prend l'individu à contrepied. Ce choc est vécu dans l'isolement et est perçu par le patient comme le plus grave qu'il n'ait jamais connu. Il ne peut ni attaquer ni fuir : on parle d'inhibition de l’action. La personne est foudroyée.

Au moment du choc (du DHS), le ressenti :
  1. Est enregistré par l’inconscient. 
Par la suite, l’inconscient reconnaîtra des détails de cette image qui le ramèneront dans le DHS et cela même des années après, c’est le rail de conflit.
  1. Détermine la localisation dans l'organe et le programme archaïque de survie mis en place.

  1. Le rail de conflit :
Après le DHS, la maladie se met à rouler sur un rail de conflit.
Le rail de conflit est un élément de l’arrêt sur image du DHS.

Ex :
L’allergie est une maladie qui suit un rail de conflit.
Si, lors d’un DHS, un chat était présent pendant l’arrêt sur image pris par votre inconscient, alors, le chat réactivera le conflit vécu lors du DHS.
Ce pourquoi, vous développerez des symptômes associés au ressenti vécu lors du choc par la simple présence du chat.

  1. Les programmes archaïques de survie :
Le programme archaïque de survie est une réponse inhérente à tous les êtres vivants en fonction de son histoire de vie, son rang dans la fratrie, sa latéralité, sa culture, etc…que le cerveau va mettre en place pour répondre au DHS.



Ex :
Le camouflage : disparaître dans l’environnement.
L'anorexie
Sens biologique : enlever toutes les formes possibles pour passer inaperçue.

Flairer : pressentir le danger. 
Ulcération de la muqueuse nasale 
Sens biologique : mieux capter les odeurs. Le nez est sec.
En résolution, le nez coule, c’est le rhume.

Devoir faire vite : thyroïde. 
augmentation de la masse de la thyroïde pour faire plus de THS


Donc, selon Hamer, ce que l’individu vit au moment précis du DHS est de toute première importance.
Le ressenti est modulé par plusieurs filtres : nos sens, nos croyances, notre culture, notre grille de conception familiale, notre sexe et notre latéralité ou encore notre âge, etc…

Ex :
Un homme surprend sa femme en plein délit d'adultère :


Le cerveau va alors tout enregistrer de manière inconsciente : la position sur place, la lumière, la musique, les odeurs, l'heure, les éléments présents dans la pièce, etc...
A ce moment précis, les manières de vivre cet évènement peuvent être multiples :
Cela peut être perçu comme :


  1. Une perte de territoire : 
Ressenti : « je vais perdre ma femme. »
Organe touché : artères coronaires
  1. De la rancœur :
Ressenti : « ce n’est pas juste, c'est la troisième fois ! »
Organe touché : vésicule biliaire.
  1. Un conflit de manque :
Ressenti : « je vais devoir vendre la maison, je vais plus voir mes enfants tous les jours. » 
Organe touché : le foie.
  1. Une dévalorisation : « je ne vaux rien au lit, en plus elle fait un truc qu'elle ne m'a jamais fait ! » 
Organe touché : sacro-iliaques L5 et S1et parfois les hanches.



Le conflit n'est pas systématique. Il faut être confronté à une situation inattendue, déconcertante, contraignante.

S’il n'y a pas de conflit alors enfin j'ai l'excuse pour me casser !
Vous l’aurez compris, ce n’est pas tant l’évènement que la manière dont l’évènement a été vécu qui est déterminant lors du DHS.

Pour Hamer, la maladie n'est autre qu'un mode turbo afin de pouvoir trouver une solution à un sur-stress.

Au moment du DHS, le patient rentre dans une réalité imaginale inconsciente : c'est un mode de protection sur des peurs trop grandes. On passe d'une réalité consciente à une réalité imaginale. L'inconscient permet de bloquer à l'esprit un ressenti un évènement désagréable. Il contribue à protéger l'être humain. Si la peur est insurmontable, la conscience passe de la réalité consciente à une réalité imaginale. Autrement dit, même si l’on sait que l’on vit un DHS, on ne sait pas forcément comment l’inconscient le vit.

Loi d'évolution biphasique de la maladie
« Toute pathologie est caractérisée par une évolution biphasique à condition que le conflit ait une solution ».
Une fois le DHS passé, la maladie va se comporter en 2 phases :

  • Phase 1, ou phase active :
Dès l’apparition du DHS, l’organisme passe en mode Turbo ou « survie ». L’organisme va alors s’adapter par des modifications physiologiques pour trouver la solution la plus rapide possible au conflit, au sur-stress. Cette phase est caractérisée par une absence de symptômes bruyants, mais l’organisme, à ce moment, connait une augmentation du rythme cardiaque, de l’hypertension, des insomnies, de la rumination, un amaigrissement…

  • Ensuite il y a une résolution du conflit soit parce que le conflit est dépassé par une action dans le réel (ex : mon boulot m’insupporte, je démissionne), soit lorsqu’il disparait par lui-même (ex : passage en retraite) soit par ma modification de ma perception du conflit (ex : finalement c’est juste temporaire et alimentaire).

  • Phase 2, ou phase de résolution : 
Une fois le conflit résolu, les symptômes apparaissent : c’est lorsque l’on va mieux que l’on tombe malade !!!!Cette phase se caractérise :
  • par une grande fatigue (soit une mise au repos de l’organisme), 
  • par un afflux de sang dans les tissus à réparer (soit une inflammation), 
  • par une évacuation des cellules créées lors de la phase active (soit une infection)

Lors de la phase 2, appelée aussi PCL ou post conflictolyse, il se produit un pic symptomatique court et brutal caractérisé par une augmentation de tous les symptômes physiques et psychiques, cette phase est nommée crise épileptoïde.


Hamer classe les tissus en 4 groupes suivant leur origine embryologique :
  • Selon lui, les 2 premiers vont augmenter de volume, c’est-à-dire fabriquer plus de cellules en phase active puis nécroser en résolution.

  • Les 2 autres types de tissus vont d’abord nécroser et donc perdre leur fonction en phase active puis revenir à la normale en PCL.

Enfin, dans la thèse d’Hamer, les microbes vont accompagner la phase de résolution. C’est-à-dire que les champignons et myco bactéries aident à évacuer les cellules qui n’ont plus d’utilité. D’autres bactéries et les virus réparent les structurent endommagées ou rendent la fonction perdue de l’organe.










Conclusion :
« Toute maladie doit se comprendre comme étant une partie d'un programme spécial de survie, soit un gain de temps, plein de sens, et mis en place par la nature tout au long de l'Evolution ».
La Lecture biologique ouvre une nouvelle compréhension de la maladie et du monde du vivant. Ceci nous amène à rechercher le sens biologique des symptômes inhérents à chaque maladie.
La maladie sera donc divisée en deux phases, avec pour chacune des programmes spécifiques, tissu par tissu.
Pour déterminer le ressenti inconscient du DHS, il est important de comprendre la fonction de l’organe. Il suffit donc de déterminer quel avantage momentané en terme de survie, le fonctionnement de la pathologie apporte à l'organisme.



Enfin, la prise de conscience du fonctionnement de ces programmes biologiques en rapport avec la maladie est un élément important pour la guérison. La pathologie, vue par la lecture biologique n’est plus vécue comme une malédiction fataliste. Et chacun peut reprendre le contrôle des peurs liées à cette dernière !


Vincent Hénault
Béatrice Benoist






dimanche 4 novembre 2018

qu'est ce qu'un choc émotionnel


Conflit biologique

Le choc émotionnel peut être appelé par certains : conflit biologique, ou sûr-stress.
le conflit biologique est un événement produisant un choc conflictuel, brutal, dramatique, imprévu, vécu dans l'impuissance et l'isolement. Cet évènement provoque l'individu une inhibition de l'action : il est comme foudroyé, figé par l'effroi. L'individu ne peut ni attaquer, ni fuir. Il y a mis en place d'un programme de survie qui se développe en dehors du champs de conscience. En fonction de la perception de l'événement par l'individu, il va modifier l'organisme et le psychique de la personne.

le ressenti est déterminé par le sexe, la latéralité, la famille, l'éducation, les croyances... il y a donc autant de réalité que d'individu. Le ressenti sera donc différent d'un individu à l'autre. Pour mieux comprendre, prenons l'exemple d'une femme qui surprend son homme dans le lit conjugal avec une autre femme. Cet évènement peut être pris de plusieurs manières différentes. Cela peut être :

  • une perte de territoire car son mari la trompe. Ce ressenti impactera les coronaires
  • une rancoeur qui touchera la vésicule biliaire
  • une peur de manquer car c'est monsieur qui ramène l'argent cela touchera le foie
  • une impuissance ou dévalorisation dans la sexualité qui aura une influence les sacro iliaques et le sacrum
  • cela peut être vécu comme un soulagement; c'est le pied ! il va enfin me foutre la paix. au quel cas, il n'y aura pas de choc émotionnel.
Le conflit n'est pas systématique.
Il faut être confronté à un événement traumatisant. La situation peut prendre une importance d'autant plus dramatique qu'il y aura, déjà, auparavant une fragilisation émotionnelle appeler Programmant.



Le conflit biologique s'applique aussi bien à l'homme qu'à l'animal. Lorsqu'ils sont affectés par un même type de sûr-stress, les phénomènes et les mêmes modifications s'appliquent à l'animal comme à l'homme. C'est ce que nous appelons l'invariant biologique. Au départ, il s'agit toujours de gagner du temps pour trouver une solution. C'est le cas de l'antilope qui cherche à gagner un peu temps sur le lion. Il y a aura donc une activation de la thyroïde, des surrénales pour permettre aux muscles d'être plus efficace afin de courir plus vite. Il y a mise en place d'un programme archaïque de survie. Le programme biologique est un sens intelligent qui permet de donner plus de chance de survie, soit un gain de temps pour l'individu. 
Ce programme est mis en dehors du champs de conscience. Le patient rentre dans une réalité imaginale. Il n'a pas pleinement conscience da teneur du conflit. C'est l'histoire d'une femme qui vient en consultation a qui on retrouve un IVG. elle me répond : 
- Cela arrive à pleins de femmes. C'est quelque chose de normal.
- Donc, si je retrouve un évènement vécu comme : la mort est en moi, alors que vous ne m'en avez pas parler, c'est par ce que vous l'avez bien vécu? 
- oui, mais non, ça arrive à tout le monde. 
En rentrant plus en avant dans la discussion, avec quelques prises de conscience, il s'avère, qu'en effet, c'était encore extrêmement douloureux d'en parler.
Bien entendu, l'objectif est de permettre aux patients de sortir de leurs dénis pour les amener à comprendre pourquoi dans ce cas elle a été obliger de faire un IVG, puis de lui donner les clefs pour qu'elle puisse se pardonner...

Une fois qu'il y a eu un conflit, cette problématique deviendra le point névralgique du patient. Il récidive avec une hypersensibilité sur ses vieilles cicatrices. Il sera confronté encore et encore à cette situation pour pouvoir la dépasser. On appelle cela l'effet hypnotique du conflit, comme un papillon qui se taperait encore et encore dans le phare d'une voiture. C'est cette capacité qu'a la vie de nous remettre en permanence dans nos difficultés pour y trouver une solution adéquate.