vendredi 4 septembre 2020

tube digestif supérieur en lecture biologique

 Le système digestif


Le système digestif partie supérieure


Le système digestif est un ensemble d'organes qui permet : 

  • L'ingestion de la nourriture : il s'agit du processus qui consiste à prendre les aliments solides ou liquides dans la bouche. 

  • La sécrétion : de multiples cellules tout au long du tube digestif secrètent de l'eau des acides et diverses enzymes dans la lumière du tube digestif afin de favoriser l'avancement du bol alimentaire.

  • Le brassage et la propulsion : nous appelons péristaltisme intestinale l'ensemble de contraction-relâchement de la musculeuse intestinale qui permet ainsi la fragmentation en morceaux plus petits, le malaxage du bol alimentaire, et permet aussi de le faire avancer. Cette motricité du tube digestif est appelée motilité. 

  • La digestion à proprement parler est l'ensemble des processus mécaniques et chimiques qui permettent de réduire les aliments ingérés en petites molécules. On distingue une digestion mécanique par l’action des dents et de la motilité du tube digestif et une digestion chimique par la sécrétion de suc digestif. 

  • L'absorption, il s'agit du processus par lequel les nutriments pénètrent dans le sang par les cellules épithéliales qui tapissent le tube digestif.

  • La défécation qui est le processus d’éliminer, d'évacuer le surplus. 

La digestion est importante pour décomposer les aliments en nutriments. Ces derniers, permettent d'apporter l’énergie nécessaire au bon fonctionnement de l’organisme, à la croissance cellulaire et à la régénération des tissus. Les aliments vont être mastiqués, transformés en grosses molécules puis transformés en molécules suffisamment petites (les nutriments) pour être assimiler. 


En embryologie, le tube digestif est constitué de plusieurs feuillets :

  • la cavité buccale et l'anus sont d'origine ectodermique

  • le reste du tube digestif est d'origine endodermique avec quelques exceptions tout de même

  • une musculature d’origine mésodermique 


D'un point de vue pédagogique nous décomposerons le tube digestif en deux : 

  • le tube digestif supérieur

    • les lèvres

    • les dents

    • la langue

    • le palais

    • les glandes salivaires

    • le pharynx

    • les amygdales

  • le tube digestif inférieur :

    • l’œsophage

    • l'estomac

    • le duodénum

    • l'intestin grêle 

    • le gros intestin

Nous y classerons les glandes annexes : 

  • le foie

  • la vésicules biliaire 

  • le pancréas

Les 4 grandes fonctions du tube digestif sont donc : 

  • la reconnaissance du morceau

  • le transit du morceau 

  • l'assimilation du morceau 

  • l'évacuation du morceau. 


Dans la phylogenèse, à l'origine, il n'existe qu'un seul orifice servant à l'absorption et à l'élimination. Ultérieurement, les êtres vivants vont se redresser, abandonnant leurs structures annulaires. Nous verrons apparaître un orifice crânial et un orifice caudal. C'est ainsi, qu'en fonction de leurs spécialisations, les différents tissus de la partie crâniale vont donc être la cible de l'incapacité à pouvoir attraper ou recracher le morceau. Si on ajoute la notion de péristaltisme, toujours de droite vers la gauche, les organes de la partie crâniale auront une consonance à droite d'attraper et à gauche de recracher le morceau. Pour le tube digestif, la latéralité et le sexe n’exercent aucune influence dans l’interprétation des conflits :

  • à droite : attraper 

  • à gauche : éliminer ou recracher



Les lèvres :



Elles sont un replis de chair qui entoure l'ouverture de la bouche. Elles sont recouvertes de peau à l'extérieur, et d'une muqueuse à l’intérieur. Les lèvres appartiennent à l’ectoderme dans la partie de l'épiderme. Le foyer de Hamer est donc dans la zone sensitive. Comme pour l'épiderme, nous retrouverons toujours la thématique de séparation : « être séparé de... », « vouloir être séparé de … » ou « vouloir se séparer de … mais ne pas pouvoir. ». Nous noterons ici, qu'il ne s’agit pas uniquement d'un conflit en lien avec l'alimentation. En effet, dans notre société, les lèvres ont une fonction sociale notamment par les embrassades, les baisers et la sexualité. Les exemples que nous pourrons citer en lien avec l'alimentation sont la contrainte de certains aliments déposés sur les lèvres de nos bébés. Il peut s'agir d'un aliment que je suis obligé de mettre dans la bouche. Un aliment peut me rappeler une difficulté, une séparation dans les contacts. Cependant pour ma part la plupart des conflits toucherons plutôt l'aspect social :

  • devoir embrasser un mort

  • le dernier baiser

  • le bisous d'au revoir 

  • un baiser forcé, etc. 


En phase active : nous décrivons une nécrose douloureuse des lèvres. Nous y retrouvons les gerçures des lèvres. 


En PCL: l'épiderme se reconstruit intégralement parfois avec démangeaison. L'herpès, les boutons de fièvre sont une phase PCL. 




La muqueuse buccale :

La muqueuse buccale est une fine couche de cellules qui recouvre et tapisse l’intérieur de la bouche : du palais à l'intérieur des joues et jusqu'au gosier. Il s'agit de la muqueuse qui tapisse l’intérieur de l'ensemble de la cavité buccale ainsi que les lèvres, la langue et le pharynx.

Comme les lèvres, cette partie de la bouche appartient à l'ectoderme et son FH est dans le cortex sensitif. Le conflit est de ne pas pouvoir se séparer d'un contact ou perdre le contact dans sa bouche de …

D'expérience personnelle, je ne la retrouve pas souvent en lien avec l'alimentation lorsqu'elle sort.Il s'agit plutôt des choses, objets ou parties de corps que l'on a inséré de force dans la bouche. Il n'en reste pas moins, malgré tout, que certains aliments sont difficiles à recracher. « Mange ta soupe , ou tes épinards », « ne recrache pas quand c'est chaud », « avale !!! », pour la dernière je vous laisse à votre imagination. 

Notons que beaucoup d'expression font part de ce conflit : 

  • faire la fine bouche

  • avoir l'eau à la bouche 

  • avoir bon goût 

  • se lécher les babines


La phase active : On observe une ulcération, crevasse, douleur, au prorata de la masse du conflit. Ces crevasses peuvent donner une langue dite en carte géographique,un ensemble de zones lisses et de zones dépapillées.

La perte du goût dans sa globalité ou d'un goût particulier sera toujours en lien avec le conflit initial. 

On peut avoir les lèvres dans une thématique de contact ou de parole.

On peut retrouver un perte de motricité de la langue : on retrouve alors les choses indicibles et les impuissances à cracher.


En PCL : la tuméfaction locale, là où se trouve l'ulcération, signe la PCL. Elle peut être accompagnée parfois de saignements.

La glossodynie, autrement appelée le syndrome de la bouche brûlante, apparaît en crise épileptoïde.

L'herpès est une PCL par exemple. 


Le Dr Hamer étend le conflit de la muqueuse buccale a par conséquent dans cette catégorie : l'action de parler tant par avaler la parole de l'autre (muqueuse droite) que cracher notre parole (muqueuse gauche). 

Nous y ajouterons les expressions suivantes : 

  • avaler des couleuvres (à droite)

  • avoir une langue de vipère (à gauche) 

Très souvent les langues de vipères nous font avaler des couleuvres.... 


Le palais :

Nous abordons, ici, la sous muqueuse du palais. Elle se compose des glandes palatines(glande salivaires). 

Les FH se situent au niveau du pont du tronc cérébral dans la partie du pont. Les FH sont homolatéraux par rapport à la partie droite et gauche du palais qu'ils régissent. 

Le conflit est : 

  • à droite : ne pas pouvoir avaler le morceau que je viens d'attraper.

  • à gauche : ne pas pouvoir recracher le morceau qui provoque le dégoût. 

    Le conflit peut également s'énoncer comme suit : je me fais retirer le morceau que je viens d'attraper, mon palais est trop petit pour maintenir le morceau que je viens d'attraper. 

    Les fentes palatines : le morceau est trop gros. Il faudra alors chercher les conflits dans la vie intra-utérine.


En phase active : Il y a prolifération cellulaire de la sous muqueuse qui peut se faire soit sous forme de nappes soit en polypes. Le sens biologique est d’accroître la production de salive pour mieux imprégner le morceau soit pour l'avaler soit pour le recracher. 


En PCL: il y a nécrose caséifiante de la masse souvent mal odorante.



Les glandes salivaires :

Les glandes salivaires sont des glandes exocrines. Elles ont la fonction de libérer dans la cavité buccale la salive.

    Les glandes salivaires se décomposent en deux groupes : 

  • les glandes salivaires de petites tailles : 

  • les glandes palatines situées dans la sous muqueuse du palais

  • les linguales situées dans  la langue

  • les glandes labiales

  • les glandes buccales

  • les glandes salivaires majeures :

  • les parotides situées en avant des oreilles sont les glandes salivaires les plus volumineuses

  • les submandibulaires au dessus de la mandibule dans le plancher de la bouche 

  • les sublinguales situées au dessus des glandes submandibulaires. 


Ces glandes produisent la salive composée à 99,5% d'eau et à 0,5% de solutés. Les sécrétions produites par chaque glande varient en viscosité et en composition. La salive contient l'amylase salivaire qui permet d'entamer la dissolution de l'amidon. Ces sécrétions permettent d'humecter les aliments pour amorcer la dégradation chimique et de les lubrifier afin de permettre une meilleure déglutition.


les FH : ils sont situés au niveau du pont du tronc cérébral. Ils sont homolatéraux par rapport à la moitié de la bouche impliquée dans le conflit. 


Le conflit : à droite, le conflit est de ne pas pouvoir saliver correctement pour attraper le morceau. À gauche ne pas pouvoir saliver correctement pour recracher le morceau.

Pour Dr Guinée, il s'agit d'un conflit récurrent chez le grand malade qui, à cause de la douleur, ne peut qu'absorber péniblement la nourriture. « avec tous ce qu'ils me font ingurgiter, maintenant je ne peux plus rien avaler, je ne peux plus me nourrir ».


Un des patients que j'ai accompagné a déclenché un cancer de la parotide gauche. Le conflit était en lien avec un livre que son père avait écrit sur l'histoire de la famille. Il s'est forcé à lire jusqu'au bout toutes les ignominies que son père en colère avait raconté dans ces 250 pages. 


En phase active : elle se caractérise par une prolifération en nappe du tissu sous muqueux. Cette prolifération est quasiment invisible. Il se forme alors une ou plusieurs aphtes indolores. Le sens biologique est d'augmenter la salivation pour imprégner plus facilement le morceau à attraper ou à recracher. 


En PCL: il y apparition de processus type nécrose caséifiante souvent malodorante. Si le conflit est trop important, Dr Hamer parle alors d'une possible mucoviscidose, un tarissement des glandes parotides et sous maxillaires. La salive devient plus épaisse et ne s'élimine plus. Nous retrouvons ce symptôme de syndrome de Gougerot-Sjögren. 

Les pathologies les plus connues sont le parotidites et les oreillons. 


La pcl se marque par l'apparition d'une mycose appelée plus communément muguet. Les champignons détruisent la sous muqueuse. C'est alors que la douleur apparaît. 

Chez le nourrisson, le muguet est souvent lié à un problème de sevrage et de séparation maternelle.


La langue :

La langue est un organe digestif annexe composé d'une musculature qui joue un rôle dans la déglutition et la phonation, et d'une muqueuse dont nous parlons ici. Le dos de la langue, la face supérieure, est recouverte de papilles. C'est un prolongement du chorion. Il contient les récepteurs gustatifs. Nous détaillerons la langue dans le chapitre des sens au moment où nous aborderons le sens gustatif 

La langue facilite le déplacement des aliments vers le gosier. Nous y trouvons aussi les glandes linguales qui font partie des glandes salivaires. 

Le conflit de la langue est celui, encore une fois, de contact avec un aliment, et plus particulièrement avec le goût d'un aliment. Je vous laisse donc vous référer à l'organe du goût. 


Les dents :



Les
 dents sont des organes digestifs annexes enchâssés dans la mandibule et le maxillaire. Cette jonction entre os et dent est recouverte par la gencive. La plupart des dents se compose de trois parties : la racine, le collet et la couronne. Dans la classification de Hamer nous la déterminerons en trois parties : 

  • l'ossature : composée du malaire et du maxillaire : structure mésodermique nouveau appartenant à l'os : forte impuissance à agresser, à lâcher (voir le squelette)

  • la structure de la dent : la dentine et l'ivoire, elles forment la structure de la dent. 

  • la peau de la dent : L'émail qui sera vu dans l'ectoderme. 

Les dents sont les premiers organes participant à la digestion mécanique. Cette digestion se fait dans la bouche par un processus appelé mastication. Sous l'action des muscles dont le plus puissant du corps humain ?, le masséter, la mandibule va se rapprocher du maxillaire. Les dents qui s’insèrent sur ces derniers vont donc déchiqueter, broyer, remuer, et imprégner les aliments de salive avec l'aide de la langue. Les aliments sont transformés en une masse molle qui est appelé le bol alimentaire. Nous retrouvons les expressions suivantes : 

  • avoir les crocs : avoir faim

  • avoir les dents longues : être ambitieux, vouloir attraper un gros morceau

  • serrer les dents : ne pas lâcher le morceau malgré la difficulté


Cependant, nous oublions trop souvent dans la physiologie une fonction essentielle de la dentition. Au delà de la mastication, la dent est un organe relationnelle. En effet, notamment chez les canidés les dents permettent de dissuader « montrer les crocs », de se défendre ou d'attaquer par l'action de mordre. Hamer se penche d'ailleurs beaucoup plus sur cette valeur sociale. Ne disons nous pas d'ailleurs dans nos expression avoir une dent contre quelqu'un, ou faire grincer les dents. 



La dentine :

la dentine est un tissu conjonctif qui donne la forme générale de la dent et sa rigidité. Elle est même plus dure qu'un os car elle contient plus de sels de calcium. 


Le conflit : le conflit est une impuissance à pouvoir agresser, menacer, dissuader ou broyer. Une autre façon de l'exprimer est : « Je n’ai pas moyens de donner libre cours à mon agressivité »  ou se faire taper dessus dans une impuissance de réaction.

Pour Hamer, il y a une influence de la latéralité. C'est à dire que pour un(e) droitier(ère) les dents à droite correspondent à un partenaire, les dents à gauche sont en lien avec le nid ou la mère. Pour ma part, je prends toujours en premier la loi de dangerosité du DHS, ou l'impact du DHS. Je l'illustre souvent par la gifle d'un(e) droitier(e) qui finira sur les molaires gauches de la personne. Cependant, comme les dents appartiennent au cloaque primitif, nous pouvons aussi garder en mémoire : la difficulté à attraper ou recracher, ainsi que la fonction des dents. Nous devrons donc émettre plusieurs hypothèses quant au sens du conflit. Nous pouvons en plus rajouter la thématique de chaque dent : 


  • les incisives : la fonction des incisives est de couper. Nous trouverons donc une impuissance à couper, cisailler dans une situation. Les incisives sont aussi les dents les plus avancées, les dents du sourire. Nous retrouverons aussi la thématique de ne pas pouvoir menacer.

  • les canines sont les dents les plus proéminentes et pointues. Elles permettent de déchiqueter, de planter. Ce sont les crocs des canidés. Le conflit est souvent celui de l'impuissance à agresser, à déchiqueter le morceau.

  • les molaires  : symbole de l'impuissance à ne pas pouvoir broyer un morceau, quelqu’un. Elles sont souvent en lien avec la vésicule biliaire dont la thématique est l'humiliation. La molaire est aussi en lien avec la notion de ne pas lâcher, garder dans la gueule. 


La mâchoire supérieure renvoie à une problématique de structure : le père/mère. Nous parlons ici de l'autorité, de la structure. Un palais trop petit peut rappeler un manque de liberté (Josi Kromer)

La mâchoire inférieure s'appliquera papa/maman. Ici, l'aspect de nourriture et de l'affectif est concerné. Il s'agit du parent donnant ou pas les câlins, la tendresse.

Mais la mâchoire inférieure permet d’agresser. Ainsi la position de la mâchoire pourra être perçue de deux manières : 

  • Le prognathisme : l'incapacité à agresser

  • Le rétrognathisme : il ne faut pas agresser 


Le bruxisme : il répond au conflit de « tais toi ». en réalité, il s'agit d'une crise épileptoïde pendant le sommeil, ou le cerveau relie les impuissances à ne pas pouvoir agresser, à ne pas lâcher le morceau dans un contexte de ne pas pouvoir dissuader. Il concerne souvent les personnes qui vivent une notion d'injustice qui menace leurs places mais qui ne peuvent pas exprimer les choses. 


La phase active : Elle se caractérise par une nécrose qui ne sera pas diagnostiquée car elle est indolore.

Le déchaussement est une phase active. Le sens biologique est de mieux montrer les dents. L'os va être touché. Il faudra travailler sur l'os (une forte dévalorisation dans la structure, dans la famille). La rétraction gingivale permet d'avoir des dents plus grande pour mieux menacer.


En PCL : La PCL est une inflammation douloureuse avec une douleur pulsatile. Il va y avoir une restructuration de la dent. D'une dent pourrie, la restructuration va permettre d'avoir une dent plus forte. Parfois il faut casser les douleurs car la douleur peut remettre dans le conflit. 

Ces douleurs sont souvent réactivées par le froid. 

On trouvera les gingivites.


L'émail dentaire :


L'émail dentaire est la partie superficielle de la dent. Elle recouvre la dentine et la couronne. Il s'agit de l'interface entre le milieu extérieur de la bouche et la structure de la dent. Hamer parle de la peau de la dent. Pour lui c'est la partie relationnelle de la dent. Dans les codes des animaux, si nous prenons l'exemple du chien, celui si va retrousser les babines lorsqu'il se sent menacer. Ce geste à pour objectif de montrer les dents, sans pour autant mordre. La fonction est de vouloir dissuader à distance l'opposant sans rentrer dans une lutte, un combat.


Le FH : il se situe dans la partie antérieure du cortex juste derrière celui de la thyroïde


Le conflit : le conflit s’énonce de la sorte : je m'interdis d'agresser car sinon ça va me retomber dessus . 

On peut voir les dents en fonction de la latéralité mais aussi attraper et recracher le morceau. 


En phase active : il y a une nécrose de l'émail dentaire avec mise à nu de la dentine. Cela provoque une vive douleur froide de la dent, à n'importe quel contact (sucrée, chaud, froid...)


Dans la phase PCL : on observe la production de tartre pour colmater l'émail dentaire. 

Le tartre chronique signe une PCL en balance. 

Le déchaussement des dents concerne l'os. Il renvoie donc à de grande dévalorisation à ne pouvoir agresser. Lorsque les dents bougent, on parlera d’articulation des dents. Cette articulation se compose du ciment ? entre l'os et la dentine. Le conflit s'énonce de la sorte : «  je n'aurai jamais du mordre ».


Anecdotes : on retrouve plus de tartre chez les animaux domestiques comme le cheval et le chien. En effet ces deux animaux sont très éloignés de leurs codes archaïques de comportement. Leurs éducations nécessitent beaucoup de contraintes sur lesquelles on les interdit de répondre.


Le pharynx :


Le pharynx est un tube en forme entonnoir situé à l'arrière de la bouche juste avant l’œsophage. Il se compose d'une musculeuse squelettique et d'une muqueuse.

La sous muqueuse du pharynx se composte d'une cavité complexe de plusieurs étages : le nasopharynx, l'oropharynx, le pharyngopharynx et le laryngopharynx. La fonction du nasopharynx est purement respiratoire. Les autres parties assurent les fonctions de digestion et respiratoire. Ils reçoivent la nourriture de la bouche et contribue par contractions musculaires à propulser le bol alimentaire dans l’œsophage. Il est constitué d'un épithélium pavimenteux stratifié qui forme des structures glandulaires, issues de l'intestin primitif. 


Les foyers de Hamer :

Ils se situent au niveau du tronc cérébral au niveau du pont dans sa partie dorsale. Il est homo-latéral par rapport à la moitié droite et gauche du pharynx.

Le conflit : les deux premières sous cavités sont essentiellement concernées par le conflit de ne pas pouvoir attraper le morceau à droite ou de ne pas pouvoir recracher le morceau qui provoque le dégoût, à gauche .

    Pour les deux autres sous cavités le conflit est de se faire arracher le morceau que l'on vient d'attraper ou que j'essaie d'avaler à droite, de ne pas pouvoir recracher le morceau que j'ai avalé à gauche. 

    On retrouvera en exemple le fait que l'on me force à manger des épinards, des médicaments, mais aussi des fellations forcées dans le réel. En symbolique, il s'agira d'une entreprise que l'on t'arrache, le prêt refusé par la banque, ou encore une maison que tu ne parviens pas à acquérir. 


En phase active : 

Elle se caractérise par la croissance de l'épithélium pavimenteux en chou fleur d'allure polypoïde à fonction sécrétrice. Le sens biologique est de permettre d’imprégner de salive un morceau pour, soit mieux l'absorber à droite, soit pour mieux recracher le morceau qui provoque le dégoût à gauche. On parlera alors d'adénocarcinome de pharynx.

En PCL:

elle se marque par l'apparition d'un processus de type nécrose caséifiante, souvent malodorante, par intervention de mycobactéries. En leurs absence, il y aura enkystement de la tumeur. 

Parmi les pathologies les plus courantes il y a :

  • la pharyngites

  • les abcès

  • les végétations en fin de PCL



Les amygdales :


En anatomie on distingue les amygdales linguales situées derrière le V lingual, les amygdales palatines, entre les piliers du voile du palais, les amygdales tubulaires situées entres les trompes d'Eustache et l'amygdale pharyngienne. Elles sont recouvertes d'une structure ectodermique et sont très riches en structures lymphoïdes. Malgré leurs structures embryologiques, Hamer les classent dans l'endoderme du fait de leurs localisations. 


Les FH sont situés au niveau du pont du tronc cérébral. Ils sont homolatéraux par rapport à la moitié de la bouche impliquée dans le conflit.

Le conflit :

il est couplé à celui des glandes salivaires : 

  • à droite : ne pas pouvoir avaler le morceau que j'ai déjà commencé à avaler car on me l'arrache

  • à gauche : ne pas pouvoir recracher le morceau souvent dans quelque chose que je ne peux pas dire, avec une notion de peur. 

    Bien souvent le conflit porte sur une notion d'un morceau qu'il a fallu reconnaître, ou d'une information dont je n'ai pu me protéger. Il sera souvent coupler avec une peur frontale. 

Très souvent le conflit est bilatéral. Nous pouvons aisément le comprendre avec l’exemple suivant : 

Il faut d'abord attraper la bonne information pour la recracher au professeur en fonction de la question et de la peur de la mauvaise note. Un autre exemple, celui de la promesse d'une promotion que l'on donne en fait à quelqu'un d'autre.


En phase active: les amygdales s'hypertrophient, voire se creusent.


En PCL : il se produit soit des nécroses caséifiantes amenant des angines. En l'absence de mycobactéries (ou de virus pour Guinée) il y aura formation d'abcès amygdaliens. 


Les angines à répétition chez l'enfant signent une phase PCL en balance. L'un des conflits récurrents est de ne pas pouvoir attraper le morceau dans un contexte de fausse couche ou la promesse d'un enfant à une femme pour l'année prochaine sans cesse repousser.

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