mercredi 20 octobre 2021

la confiance en soi / l'estime de soi

 issu de microkinetours.blogspot.fr

La confiance en soi


Pourquoi abordons-nous ici ce sujet ? pour plusieurs raisons : 


  • La première, c'est que le manque de confiance en soi est l'un des motifs principaux de consultations dans nos cabinets. Il s'agit d'un frein majeur à entreprendre, et c'est l'un des premiers moteurs au mal-être.

  • La seconde raison est que le manque de confiance en soi se traduit parfaitement en lecture biologique. Et comme, c'est notre dada, alors nous allons jouer avec ce symptôme qui est en réalité un syndrome. 

    En effet, c'est un ensemble de facettes de conflits, qui touche plusieurs organes. Bien sûr, comme à chaque fois, dans la logique du décodage, il n'y a pas de recettes miracles toutes faites. La lecture biologique se voudra personnalisée !!! nous ne proposerons pas du prêt à consommer, mais plutôt un démantèlement de l'articulation de ce qu'est le manque de confiance en soi. 


Pourquoi le manque de confiance en soit est-il si présent ?


« Regarde toi, tu doutes encore. Tu ne sais toujours pas faire cela, tu manques de confiance en toi ! ». Vos parents, vos profs, vos amis, votre partenaire, votre patron doutent tellement d'eux-mêmes qu'il sera extrêmement difficile de ne pas douter de soi en permanence. C'est ce que l'on appelle le conditionnement du manque de confiance en soi. Et ainsi, vous douterez de vous, du monde et des autres... alors vous ferez douter à tour de rôle les différents acteurs de votre vie. Ce doute est comme une mauvaise herbe qui se répand. Une peur virale, qui comme toute émotion, si elle n'est pas transcendée ou intégrée dans un processus global envahie le terrain et peut le rendre infertile.



En effet, c'est génial de douter, mais seulement un peu ! Cela amène à se questionner, à se dire que rien n'est fini et que l'on peut évoluer, améliorer les situations. Le manque de confiance en soi est aussi protecteur. Imaginez-vous un seul instant avoir une confiance en vous débordante dans votre capacité à skier. Alors vous arriverez en haut de la piste noire, les yeux fermés, et c'est parti pour un tout schuss.... sauf que dans les faits, vous ne savez pas skier ! Il s'agit donc d'une peur qui vous informe qu'il peut y avoir un danger, qu'il vous faudra être prudent. 


Nous allons d'abord définir ce que la normalité appelle confiance en soi. La confiance en soi est différente de l'estime de soi. L'estime de soi est une estimation de sa propre valeur. Pour le cerveau, c'est la distance qu'il reste à parcourir entre la personne que l'on croit être et celle que l'on rêve de devenir. Plus cette distance est grande, plus l'estime de soi est dans les chaussettes. Comme il s'agit d'une auto-évaluation, ce rapport à soi n'est pas discutable, jugeable ou attaquable. Si je suis chirurgien et que je rêve d'être serveur dans un restaurant, j'aurai la même estime de moi pourrie que dans le cas inverse. Pour Christophe André, la confiance en soi fait partie des 3 piliers de l'estime de soi, avec l'amour de soi et l'image de soi. Il est quand même important de définir ces trois piliers car dans les problématiques de confiance en soi j'ai parfois l'impression que l'on patauge... 



  • L'amour de soi : l'amour de soi n'est pas l'amour narcissique de mon égo sur ce que je suis... il s'agit de l'alignement entre mes besoins et mes valeurs. Autrement dit, l'amour de soi se traduit par un profond sentiment de bien-être lorsqu'il y a une- cohérence entre ce que je pense important et ce que je réalise. Je pourrais très bien avoir un poste à responsabilité dans la finance, mais pour ma part je ne suis pas certain que cela participe à augmenter l'amour de soi.

  • L'image de soi : elle se caractérise par la façon que nous avons de nous percevoir, de nous juger. Malheureusement, à cause de nos conditionnements et de nos besoins d'appartenance, l'image de soi est souvent corrélée à ce que notre entourage pense de nous. L'avantage est que contrairement au physique, à tout moment, nous pouvons nous en construire une autre. La timidité peut être une problématique d'image de soi, et non un problème de confiance en soi.

  • La confiance en soi est la certitude de pouvoir réaliser une action ou une tâche. 

Avant d'aller plus loin, il nous faudra nous interroger sur : est ce que je manque réellement de confiance en moi ou bien : 

  • Est-ce que je me sens en décalage avec ce que je m'impose à faire et ce que mes valeurs m'invitent à faire ?

  • Est-ce que j'ai peur de l'image que cela renverra de moi ? 


Pour Sarah Famery, la confiance en soi est un profond sentiment de sécurité intérieure permettant de s'affirmer sans peur, sans agressivité et sans honte. 

La confiance en soi se définit aussi comme la capacité à pouvoir atteindre un objectif. On distinguera la confiance en soi spécifique ou l'auto-efficacité, décrite par Albert Bandura, qui est la capacité à réussir dans des situations spécifiques. Il s'agit du fait que je sois sur de réussir à taper dans un ballon. Et la confiance en soi généralisée est la capacité à réussir dans des situations plus larges comme devenir sportif de haut niveau par exemple. Pour ma part, je préfère m’intéresser à la confiance en soi spécifique car la généralisée tend beaucoup vers l'estime de soi. 

Si la confiance en soi est la capacité à réussir, il est donc logique de la corréler avec l'expérience. En effet, j'aurai confiance en moi dans ma façon de skier, uniquement si je skie régulièrement.


Je ne peux pas attendre d'avoir confiance en moi pour passer à l'action





La confiance en soi est donc inextricable de l'apprentissage d'un acte, d'une pensée. La confiance en soi est une construction de stratégie conduisant à la réussite. Et si tout simplement la confiance en soi était la croyance positive de ses propres capacités d'apprentissage ? Et encore plus, la confiance en soi ne serait-elle pas la capacité à surmonter les épreuves, les échecs ?


Une définition de la confiance en soi que j'aime beaucoup est celle Lionel Bellenger : « la confiance en soi devrait être considérée comme un vouloir être fait de connaissances, de soi, d'unité du moi, d'affirmation de soi, de confiance en l'avenir personnel, et de capacité à résister aux tensions et aux risques. »


Souvent j'entends : 

  • « j'ai pas confiance en moi »....

  • « je ne suis pas assez ceci, je ne suis pas assez cela. » 

    Et la phrase qui tue : « j'ai peur de ne pas y arriver.... »

Mais flûte alors, qui suis-je pour prétendre à la perfection, tout tout de suite, sans affinage. Un bon comté c'est minimum 18 mois... Même google et son algorythme ne me présentent pas le site ou le mot que je veux dès la première recherche. Dans mon coté provocateur, ne pas avoir confiance en soi pourrait être interprété comme une prétention. La prétention de penser que je devrais y arriver sans échec, sans erreur. Il serait alors égocentrique de se comparer à des pairs qui ont plus d'expérience que soi et de prétendre vouloir faire aussi bien qu'eux. Quelle manque d'humilité, d'oublier de valoriser leurs épreuves, les parcours pour être ce qu'ils sont devenus. 

(ça pique hein ? )


Pardon pour Don Miguel Ruiz, je viens de massacrer le première accord de Toltèque : « que ta parole soit propre »... cependant s'offusquer contre sa médiocrité, est à mon sens ni bien, ni mal, si nous allons jusqu'au bout du processus. 

Dire que je manque de confiance en moi signifie qu'il y a des absences, des trous, des ombres qu'il va falloir aller traquer.

Être dans la plainte est un acte de foi avec soi-même. Souligner une frustration ne veut pas dire que nous ne sommes jamais heureux. Cela montre que nous voulons toujours nous améliorer, avancer, évoluer. 


Nous allons aborder les facteurs du manque de confiance en soi. 


  1. Je vise trop haut :


Nous manquons de confiance en nous car souvent nous oublions de subdiviser nos projets. Nous nous lançons dans un projet gigantesque, que nous pouvons nommer rêve ou projet sens. C'est beau sur le papier. La vue sera magnifique arrivé là-bas, mais je n'ai pas l’entraînement pour cela. C'est comme si je voulais voir le toit du monde, gravir l’Himalaya, mais que je me refuse à faire un programme d’entraînement. Mon voisin l'a fait, alors je suis capable non ? Rêvons, virons notre étroitesse d'esprit de notre conscient qui nous dit toujours : « tu n'y arriveras pas, ce n'est pas pour toi ». Cette médiocrité conditionnée par la peur de ne pas se relever de nos parents, de nos instituteurs. Cependant, il nous faudra toujours garder à l'esprit que si nos pensées sont illimitées, nos corps et le monde sont finis et sont régis par les lois newtoniennes. Donc le temps et l'espace existent pour eux. La plupart des gens échouent dès le départ car il se mettent des objectifs beaucoup trop importants, qui deviennent alors écœurants. « Allez vient chéri pour mes 40 ans on monte l’Himalaya !!! », et l'autre répond : « HEUUUU tu sais, c'est la semaine prochaine …. » c'est clair que c'est compliqué de ne pas être effrayé... courage, fuyons. Comment ne pas douter de sa capacité à atteindre son objectif ? Il faudra donc subdiviser nos projets, et surtout garder en mémoire qu'un escalier ne se compose pas d'une seule marche !! il nous faudra jalonner par étapes notre ascension tant sur une échelle temps, que sur un balance de faisabilité. Nous devons nous appuyer avant tout sur nos acquis. 


  1. Mes croyances ou programmes limitants


L'impuissance apprise

Pour améliorer, la confiance en soi il faudra toujours faire le point entre la réalité des faits, notre capacité actuelle, les avancées, les acquis, et ce qu'il nous reste à acquérir. Ce regard doit être objectif, c'est à dire sans jugement de valeur. Et c'est là que nous devons être vigilant à nos filtres de sélections d'informations de notre thalamus. Mon cerveau observera toujours la situation actuelle en fonction d’événements passés. Combien de fois luttons-nous pour anticiper, prévoir notre futur, en nous basant sur nos expériences passées, quitte à reproduire nos schémas habituels, et ainsi renforcer nos croyances. Mon cerveau et mon corps fonctionnent de manière très binaire. Si je me programme à échouer, j'échoue. Si je me focalise sur la difficulté alors elle sera prépondérante. Si ma croyance est que dans ma vie il y a toujours des bâtons dans mes roues qui m’empêchent d'avancer alors oui il y aura des bâtons dans mes roues. Car la vie est ainsi. Je ne connais personne qui a réussi ses projets sans douter ni trébucher. Le problème de la confiance en soi est pour moi un ensemble de croyances : 



  • La croyance que je porte sur moi : ce sont ici toutes les croyances sur ma personnalité, mon identité. Ce sont ces petits programmes qui s'allument dès que je commence un projet, qui me font ramer le système en m'envoyant des pop-up me signalant : « imposteur », « ce n'est pas un projet pour toi », « tu es nul en maths ». Tous ces programmes, formant notre personnalité, font partie de l'impuissance apprise. On apprend à manquer de confiance en nous tout d'abord sur les bancs de l'école, où on nous compare entre nous. Je n'ai rien contre les membres de l'éducation nationale, qu'on ne me fasse pas dire ce que je ne dis pas. J'exprime que l'enseignement non personnalisé à un enfant, force l'enfant à rentrer dans un moule sans s'appuyer sur ses qualités. Ainsi, il se rend vite compte de ses difficultés, dans tel ou tel domaine, puis il en fait une croyance générale. Comme certains disent : « La vie notée est à la vraie vie ce que le cheval de bois est à l'équitation ». Donc, si je ne rentre pas dans le standard de l'éducation nationale alors j'aurai l'impression de ne pas pouvoir réussir. Si tant bien même que je le puisse, alors j'aurai l'impression d'avoir volé ma place. 

  • Les croyances que les autres portent sur moi : ce sont les rappels conscients ou inconscients des jugements que les autres pensent de moi. Nos cerveaux n'aiment pas l'inconnu, cela les met dans un inconfort monstrueux. Alors ils se comportent de manière assez binaire. Soit je connais, reconnais le comportement, j'accepte. Soit je ne le reconnais pas alors je le rejette. Cela fait écho à nos besoins les plus archaïques, les plus grégaires, d'appartenir à un clan. C'est d'ailleurs dans l'adolescence que nous le subirons le plus. Tous ceux qui ne rentrent pas dans mon clan sont donc jugés comme dangereux, il me faudra les attaquer. Cela à deux vertus. La première est de faire fuir la différence. La seconde est de fédérer le clan. Sauf que mon cerveau n'oublie pas. Alors même plus tard, si je ne fonctionne pas dans la pensée commune, je vais douter. Je vais me conditionner à des comportements, des stratégies voir des identités dite normées. Cependant, si un décalage entre cette vision de la norme et de moi émerge, alors je vais douter, rentrer dans une peur etc. De plus, un risque dont on ne parle pas beaucoup est le risque de réussite. Que se passerait-il si je commence à illuminer l'entourage. Cela risque de mettre des zones d'ombre chez autrui en avant. Donc d'attirer la jalousie. 

  • La croyance que je porte sur les autres : l'idéalisation. Regarde, lui il réussi tout ce qu'il fait. A bon ? Sérieux ? Tu es là la nuit quand il bosse des heures, qu'il lance un projet qui ne fonctionne pas ? Je me souviens en début de carrière ou je regardais mon planning gruyère (avec peu de patients) et je disais à une de mes collègue que ce n’était pas facile de créer une patientèle de nos jours. Elle m'a rigolé au nez en me disant que 30 ans en arrière elle a vécu la même chose. Nous sommes tous passé par là. Se comparer peut être une bonne chose pour déterminer les ressources que l'autre a déployé pour réussir mais au lieu de les lui pomper, de les cultiver en moi. 

  • Dans les autres croyances, nous citerons la notion du temps. Je veux tout tout de suite, réussir vite, se relever tout de suite, le fait de devoir anticiper. 

  • Une croyance est la gestion exacerbée des risques qui peut y avoir sur le chemin. En effet, notre œil est focalisé sur le danger et pas sur la beauté du monde. C'est une notion archaïque du mode de survie. Pour une biche il sera nécessaire de prêter attention aux mouvements sur les cotés, d'un éventuel loup qui rôde plutôt que la jolie marguerite à ses pieds. 

  • La peur du changement et de l'inconnu. Comme le dit Dispenza, notre cerveau préfère rester dans sa zone de confort même si cela lui est douloureux que de risquer le changement. Crèvecœur lui affirme que le premier changement d'état est la naissance. Nous passons alors d'un milieu confortable et stable au monde extérieur, où nous allons connaître :

    • la faim

    • le froid

    • les différences hydriques 

    • l'absence de contact … 

    et comme mon cerveau se réfère toujours à ce qu'il à connu, on s'étonne de ne pas pouvoir changer. Un proverbe souvent entendu dans mon enfance est « on sait ce qu'on perd, jamais ce que l'on gagne ». Sous entendu, tout ce qui change est forcément négatif. Le changement demande la sélection d'un potentiel et donc de pouvoir abandonner tous les autres un temps. C'est une histoire de deuil d'un ancien moi, et des autres potentiels qui auraient pu être. 



    3. Je ne prête pas d'attention à mes réussites



La réussite n'est ni mesurable, ni comparable. La réussite ne dépend que de l'image que je m'en fais. De plus, c'est un ensemble de cofacteurs. Michel-Ange disait de Léonard de Vinci qu'il était bon en tout, parfait en rien. Michel-Ange ne voit pas la réussite du même angle que Léonard. La perception de réussir doit nous être propre à nos propres critères internes. En partant de là, je vais pouvoir me connecter à ma Source, à mes rêves. Cela sera alors plus simple de réussir. En effet, si mon rêve est d’être pianiste, et que je veux faire plaisir à papa en jouant au tennis, je pourrai m’entraîner longtemps.... cependant, je doute un jour pouvoir réellement prendre du plaisir dans l'activité et donc de pouvoir progresser. Oui, oui, le plaisir est gage de réussite !!! si ce n'est pas mon chemin, la Vie n'est pas mauvaise, elle me fera passer le message que je ne suis pas connecté. Si moi je ne l'écoute pas elle me conduira de plus en plus à l’écouter quitte à me dégoûter. 

La réussite n'est pas un don, ce n'est qu'une idée que l'on s'en fait. Je ne connais aucun sportif de haut niveau qui soit arrivé là ou il en est sans travail. Nous avons peut être des prédispositions pour une tâche ou quelque chose comme cela. C'est à nous de pouvoir aller chercher ces dernières pour s'appuyer dessus afin d’exceller. La réussite est le sommet de la montagne visible de tous. Les erreurs, les échecs et tous les ajustements qui en ont découlé, sont les sentiers qui y mènent. Il est important de se fixer des objectifs atteignables pour gonfler notre confiance en nous. 


La réussite doit être simple comme dit Aberkane, offrons-nous des victoires faciles. Pourquoi ? car la confiance en soit n'est ni plus ni moins que la croyance de la réussite. Plus il y a de victoires plus il y a de confiance. C'est un processus exponentiel et non additionnel. 

Lorsque nous voulons commencer un nouveau domaine il faut commencer par ce que nous connaissons déjà. L’erreur que nous faisons tous mais vraiment tous, c'est de nous focaliser sur ce que nous ne maîtrisons pas. Il y a aura encore cette petite voix qui vous dira, tu n'y arrivera pas. 

C'est d'ailleurs comme cela que des jeux comme Candy Crush vous piègent. Par une succession de petites victoires faciles célébrées par une petite musique et des effets visuels. Vous allez vous sentir fier de vous, valorisé et vous aurez envie de recommencer. Mettez des paillettes dans votre vie !!! 

Fêtons les petites victoires. Être fier de soi, n'est pas un acte de prétention, mais plutôt d’honnêteté avec soi-même, d'Amour. La vie est suffisamment difficile pour avoir le droit d'être content de de ce que nous réalisons. En reprenant la métaphore de l'escalier, célébrons chaque marche de franchie. Ce n'est pas qu'une fois tout en haut que nous devrions profiter car vous le savez bien, après le premier niveau, il y aura le deuxième ! Habituons notre cerveau à vivre dans le présent afin de pouvoir célébrer parfaitement notre victoire, sans le coût de l'effort passé, ni l'anticipation de celui à venir. La méditation pleine conscience peut être un bon outil. 

Célébrons les victoires imprévues. Si vous avez l'habitude de la rando, c'est rarement le point le plus haut le plus intéressant, c'est la petite fleur sur le parcours, la marmotte qui nous surprend. Et pourtant, nous avons peur de ne pas toujours prévoir... On peut aisément prédire la vue que nous aurons en haut, mais nous ne pourrons jamais anticiper la surprise, l'imprévu, que nous retiendrons le plus d'ailleurs. Comme c'est deux molosses, qui m'ont bloqué, ou le sourire de cette mamie de 85 ans en haut d'un col. Le prévu ne nous remplira jamais d'autant de joie de le non pré-senti.




  1. Ne jamais avoir valorisé « les échecs »,

En France, nous avons la phobie de l’échec, du raté. Cela est tout autre dans les pays anglo-saxons. Dans l’hexagone, si vous coulez une entreprise, cela est perçu comme une honte, un échec. La faillite de votre boîte sera vue comme un non aboutissement, et vos interlocuteurs se focaliseront davantage sur les raisons de cette liquidation plutôt que de s'attarder sur les points suivants : 

  • combien d'entre nous avons monté une entreprise ?

  • combien de temps avez-vous prospéré ?

  • quelles stratégies avez-vous mis en place pour la sauver ?

Alors, si vous avez coulé quatre entreprises, quelle image allez-vous renvoyer ? Celui d'un raté qui ne réussit rien ? Ou une personne persévérante qui tente de vivre de ses passions. Raté ? Qui vous le dit ? La question souvent oubliée est la suivante :

  • si j'échoue dans un projet, ai-je réellement tout perdu ?

  • N'ai je pas gagné quelque chose ?

  • Qui vous dit que je n'ai pas gagné un 1 000 000 d'euros avant que l’entreprise ne fasse naufrage ?

Ici se joue la question des méta-programmes en PNL. Romillia Ready et Kate Burton définissent les méta-programmes comme les filtres inconscients qui orientent vers l'objet de votre attention. C'est la façon d'on vous traitez n'importe quelle information perçue de votre environnement. Je ne détaillerai pas les méta-programmes ici, cependant si votre méta-programme est spécifique pessimiste vous vous focaliserez sur ce qui ne va pas, sur vos échecs. Si vous êtes global optimiste alors vous ne retiendrez que le bon de l’expérience. Un autre exemple est la phrase commune « les chiens sont des bêtes à chagrin ». Bien sûr que l'espérance de vie d'un chien est plus faible que la votre mais cette phrase illustre le méta-programme négatif de notre cerveau qui s’arrête uniquement sur la mort et les difficultés de séparation. Notre cerveau occulte les quatorze années de bonheur avec l'animal... 

Un méta-programme global optimiste sera gage d'une meilleure confiance en soi, qu'un méta- programme spécifique négatif. Le premier retiendra que globalement même si la fin n'a pas été celle escomptée, il aura appris, découvert des ressources, se sera amusé, etc. Alors que le second restera sur la défaite, sur l'action qui n'a pas été bien réalisée. J'ai l'habitude de dire qu'un événement est comme les deux versants d'une montagne : celui du sud qui est toujours éclairé quant à celui du nord toujours dans l'ombre. A nous de savoir où nous voulons regarder. Je vous invite à la lecture de l'article : « modifions la perception de nos épreuves ».


  1. La persévérance est une vertu nécessaire à la confiance en soi


La persévérance, plus que la patience est une à mon goût la vertu la plus présente chez les personnalités qui réussissent. En effet, de manière très pragmatique, si la confiance en soi est la capacité à savoir si je peux atteindre un objectif, et que celle-ci passe par la répétition, nous ne pouvons faire l’économie de la persévérance. L'idée que je dois apprendre en mode sans échec est ridicule. N'importe quel apprentissage passe par un feedback d'essai-résutlat-analyse. Jamais au grand jamais, ni vous, ni votre entourage n'a douté que vous marcheriez. Pour autant qui a conscience de cette prouesse de l'évolution que de se verticaliser. Combien d'espèces sont capables de le faire, libérant ainsi les membres supérieurs pour autre chose que la locomotion. La bipédie a permis l'action de préhension des objets qui a permis in fine de pouvoir explorer le monde autrement. Nous sommes un miracle de technologie évolutive, héritage de 3,5 milliards d'années !!! je prends souvent l'exemple de la marche pour illustrer comment se passe l'apprentissage. Nous sommes à 95% passés par ces différentes étapes. Après quelques temps passés à quatre pattes, nous avons tous l'envie d'un mieux, s'ériger, se verticaliser. Alors nous nous tenons comme nous pouvons pour pouvoir nous redresser. L'effort est considérable et souvent les jambes flanchent et retour à la case départ, nous voilà écroulé sur le sol. Alors que faisons nous ? Lamentons-nous en disant que c'est trop -difficile ? Sortons-nous les phrases : « arrête, tu n'es pas capable ? ». Nos parents sont-ils là à nous fustiger ? Non, bien sur que non, nous allons pas remettre 4 millions d'années de bipédie en doute quand même ! Alors nous allons réessayer encore, jusqu'à ce que nos jambes soient suffisamment fortes pour nous tenir. Alors enfin, c'est le grand moment, nous tentons de lever la jambe droite et …. BOUM, nous retombons, retour à la case départ, vautré par terre, nous regardons les adultes venir voir si tout va bien. Jamais au grand jamais, il nous est venu la phrase : « puisque c'est comme ça, j'arrête, je décide maintenant de me déplacer sur le cul, la marche c'est trop dure, c'est pas pour moi... ». Non, on analyse que lever une jambe nécessite la contraction plus forte des muscles de la jambe qui porte. Alors nous nous entraînons pour nous déplacer tout en nous tenant. Et un beau jours, alors que nous avons célébré nos petites victoires, nos évolutions, enfin c'est le grand moment, nous lâchons les mains, un vrai bipède et …. VLAMMMM encore une chute. Nous découvrons l'équilibre. Et par un système d'essais et d'ajustements nous commençons à prendre confiance sans nous décourager car une certitude viscérale nous tient, nous et notre entourage, nous allons finir par courir. C'est après que ça se dégrade : « tu bouges de trop, touche pas à ça, fais attention etc... » mais cela est une autre histoire.


Et en lecture biologique cela donne quoi ? 


Le tissu principal du manque de confiance en soi est …. roulement de tambour : le mésoderme nouveau. Pour bref rappel, il concerne le système musculo-squelettique allant du tissu adipeux à la moelle osseuse en passant par les fascias, le tissu conjonctif, les artères et les veines, les muscles les tendons et ligaments etc... De manière très logique à comprendre, le système musculo-squelettique est l'ensemble des tissus qui nous permettent l'action. Si je vis une impuissance, c'est que je ne peux avoir l'action nécessaire pour interagir avec mon environnement. Plus l'organe est interne, plus la dévalorisation est profonde. Autrement dit, le l'hypoderme donnera une légère dévalorisation de soi quand la moelle osseuse, elle donnera les plus fortes dévalorisations que l'on puisse trouver.

Comme le manque de confiance en soi est une incapacité à atteindre une cible, un objectif, le mésoderme nouveau est le premier ensemble concerné. Nous allons prendre plusieurs exemples : 

  • Si je manque de confiance en moi sur mes capacités intellectuelles : alors j'aurai mes os temporaux de touchés. Cela donne des phrases du genre, je suis idiot, je suis nul en maths etc...

  • Si je n'ai pas la valeur que je veux aux yeux des autres : alors ce seront le tissus conjonctif et l'hypoderme de touchés. 

  • Si je manque de confiance en moi pour une activité de déplacement, alors ce seront les muscles de mes jambes : la phrase récurrente est « je n'ai pas la force de faire cela, d'avancer... » 

  • Si je manque de confiance dans mes choix, ce seront alors les surrénales qui seront concernées. Il s'illustre par les phrases : « je me plante tout le temps », « je fais toujours les mauvais choix »

  • Si j'ai tendance à me comparer toujours aux autres, le myocarde peut être en jeu : je n'arrive pas à suivre le rythme des autres/de ma famille. 

Dans la cohérence de la lecture biologique, les organes du mésoderme nouveau composant le système musculo-squelettique sont toujours assimilé à un ressenti principal lié à l'impuissance (ne pas avoir la force de, ne pas être capable de). Ce ressenti est en lien avec le conflit inhérent au DHS, au sur-stress programmant. Ensuite nous y retrouverons des ressentis secondaires, appelés facettes. Les manques de confiance sont toujours dans un aspect relationnel : nous retrouverons les organes composant l'ectoderme. Très souvent, ces doutes s'inscrivent dans une peur anticipative de l'échec : ce sont les gros ganglions qui l'illustrent le mieux dont le conflit s’énonce : « je ne peux pas me protéger de ce qui va m'arriver car je connais les conséquences et je ne peux pas effacer l'impact que cela aura sur moi ». 

Le manque de confiance en soi touche toujours des territoires et donc les aires cardiaques pour acquérir ou maintenir un territoire. 

Ensuite, il peut y avoir une problématique de place et d’identité qui touchera le rectum ou l'estomac. Une problématique de jugement concernera la vésicule biliaire. 

Enfin, je peux avoir peur de « l'inconnu », ou de de ce qui peut m'arriver, nous parlerons ici de fortes insécurités. Cela touchera les aires visuelles. Certains, plus particulièrement, peuvent avoir l'impression d’être poursuivi par l'échec. 

Je rappellerai ici, que les peurs anticipatives et les insécurités amènent à des états de sidération, plus connus sous le nom de procrastination. A tous les parents qui liront cela, peut-être trouverez-vous alors que votre enfant manque de confiance en lui car il ne se met pas en action. Oui, sûrement souvent... et parfois non, ce que vous lui proposez ne l’intéresse peut-être tout simplement pas. 

Enfin, un organe de l'endoderme que nous retrouvons est l'hypophyse : je ne suis pas à la hauteur. 


La liste n'est bien sûr pas exhaustive. 


Prenons l'exemple de Manon grande timide, si nous devons travailler sur sa timidité, il faudra probablement chercher dans le système musculo-squelettique les dévalorisations intellectuelles et le l'hypoderme. Cela se traduirait par : ne pas avoir la valeur intellectuelle aux yeux des autres. L'un des symptôme est l'acné sur le front. Ensuite, comme il y a un replis, une prostration, nous avons une constellation sur le larynx et la vésicule biliaire. Le conflit du larynx renvoie à une peur bleue ou à une peur sur l'expression, la vésicule biliaire est en lien avec les jugements. Les deux réunis amènent le mutisme. Tous cela ne sont que des hypothèses, il faudra affiner en fonction des événements au cours de la séance.

Je vous invite aussi à vous méfier de l'excès inverse. Je pense aux personnes qui ont besoin de toujours briller, de s'imposer. Ces dernières peuvent cependant vite s'énerver lorsqu'elles sont prises à partie. Dans notre société, nous disons souvent qu'elles ont un fort caractère.... c'est cela oui.... Souvent ces personnes sont très vulnérables aux désaccords, pour ne pas perdre le contrôle, elles surenchérissent en s’agaçant. C'est bien le signe d'un manque de confiance en soi, corrélé à une problématique d'image de soi. Je m'explique, si je suis au clair avec mon identité, je sais que je ne plais pas à tout le monde, que mes idées peuvent être différentes des autres. Ce n'est pas un drame en soi. Le cas contraire pourrait renvoyer à un manque de confiance en soi sur l'image que je renvoie au monde. Nous pouvons proposer plusieurs hypothèses comme : 

  • les deux épaules dans l’hypoderme : le symptôme sera la mégalomanie sociale : je dois briller

  • probablement un temporal, si il y a désaccord sur les idées. Cela peut être une main, si c'est sur l'écriture, ou les jambes si c'est un sport de ballon. Si ça ne vous évoque rien, je pense au loulou qui veut toujours être premier à la course. 

  • Comme il y a de la colère, nous penserons à la constellation qui touche le rectum et la vésicule biliaire, la biomaniaque agressive. Le conflit s'énonce de la sorte : je me sens menacer sur ma place d'une manière injuste. 

Pour les programmants, je vous laisse chercher et imaginer ce que vous voulez : 

  • les dévalorisations de fratrie,

  • les problèmes de place avec les copains 

  • papa qui veut toujours avoir raison 

  • etc...


et la partie la plus attendue …. les solutions : 


Comme à chaque fois en lecture biologique, je vous invite à remonter sur le conflit le plus loin ou le plus fort qui fait écho à la problématique actuelle. 

Ensuite, relisez le en mode « sans échec », sans émotions ou avec le recul de la Vie. Est-ce réellement d'actualité encore. Ai-je encore 7 ans, puis-je m'adapter autrement ? Si notre vie est un film, nous avons toujours le choix de le regarder en mode dramatique, comédie ou funny game !!! Ne faites cependant pas l'économie de la présence d'un tiers qui saura vous guider.

Comme nous l'avons vu, une autre façon d'améliorer la confiance en soi, est la répétitions d’expériences positives atteignables. Partez de ce que vous savez faire pour aller vers le plus difficile. Cela demande du travail, du risque et surtout de célébrer les petites victoires. Cela renforcera les circuits de la récompense et du plaisir. Comme dit Idriss Aberkane : saturer votre esprit pour faire taire les mauvaises voix. Donnez lui de l'occupation pour qu'il ne vous taraude pas. Répétez les expériences que vous réussissez jusqu'à ce que cette certitude de réussite soit votre nature. Gardez toujours en tête, le plus important, c'est le chemin. Ce n'est pas une évidence pour tout le monde de savoir lire, souvenez vous comment vous avez fait. Vous avez décortiqué les actions, jusqu'à tant que cela rentre dans un automatisme. Il faut environ 21 jours pour changer une habitude, pour la faire passer du conscient à l'inconscient. Nous devons de temps en temps faire l'inverse passer des acquis inconscients à la conscience de la difficulté au départ.

Pensez toujours à interroger les motivations (voir la détermination d'objectif). Le positionnement et le questionnement est simple, « est-ce que le projet me veut du bien ? ». Autrement dit dans la pratique en PNL, on nous invite à nous poser une série de 5 questions reprenant la réponse à la présente par «  et pourquoi de plus important, je fais cette action ». cela permet de découvrir ou valider la valeur la plus haute. Il n'y a pas d'action sans envies, sans désirs et surtout sans passions. La motivation et le plaisir du résultat doivent ne dépendre que de soi. Réussir dans un domaine pour faire plaisir à papa ou au conjoint est la meilleure façon de rater. 

La plupart des personnes célèbres réussissent car elles sont passionnées par ce qu'elles font et non pas par la célébrité. Bon... je pense à croire qu'avec l’avènement de la télé réalité, ce propos puisse être pondéré. Que nous prenions un Vinci, un Mandela, ou Bob Marley, ils étaient tous animés par un projet plus grand qu'eux, une vocation, une passion à vouloir partager. La notoriété n'est qu'un dommage collatéral. 

Gardez toujours un regard objectif sur vous, et inspirez vous des meilleurs sans idéalisation. Eux ont sûrement échoués un million de fois plus que vous car ce sont des pionniers. Il aura fallu 1 homme qui ne doutais pas que l'on puisse courir le 100 m en moins de 10 secondes que pour dans les 6 mois après une dizaine puissent égaler l'exploit visé depuis des années.


Ayez une vision à long terme ou à large spectre. Transférez vos acquis, voyez toujours plus large. 


Pour avoir confiance en soi, nous devons avoir un regard juste, honnête sur ce que nous attendons de nous etde notre environnement. 

Nous devons formuler des projets qui nous appartiennent uniquement à nous, qui nous tiennent à cœur. Cela s'appelle être sur son chemin de vie. C'est une manière de cultiver l'amour de soi. C'est une façon d'apprendre à se respecter. 

Il nous faut être authentique, à nu devant nos qualités (ça, ça va !) mais surtout nos défauts. Ici, il s'agit d'affiner son image de soi. L'image de soi doit être au plus réaliste et actualisée dans le temps. Dire que je suis un grand sportif parce que j'ai été champion de France à 15 ans alors qu'à 50 ans je ne pratique plus que deux fois par semaine est inapproprié à mon goût. Cependant, dire que nous avons de l’expérience dans le sport de compétition est déjà plus en accord avec la réalité. 

L'objectif est de prendre sa responsabilité dans ses réussites et ses échecs. L'habilité à la réponse, en chants de oiseaux (écoute de son), afin de pouvoir affiner notre trajectoire en permanence. 


La transcendance : avoir confiance en une force plus grande que soi :



« Se mesurer à l'impossible, c'est faire confiance en la vie » : Eugène Ionesco

Je me permettrai aussi de questionner : Est-ce un manque de confiance en moi ou un manque de confiance en la Vie. Parfois, je m’aperçois de la prétention que je peux avoir à vouloir influencer la Vie plus vite que ce qu'elle a prévu pour moi. Moins j'y arrive plus je me mets la pression pour la contrôler. Si j'avais confiance en la Vie, je me rappellerai que je n'ai pas à douter, qu'après la pluie, le beau temps, qu'après une tempête il y a une accalmie, et qu'après chaque hiver vient le printemps. Si j'avais confiance en la Vie je ne redouterai pas que ses vents rasent mes petits murs, que les pluies purifient et que de ces déchets auxquels je m'accroche fertiliseront le sol d'un meilleur futur. Si j'avais confiance en la Vie je pourrais être comme ces navigateurs chevronnés qui savais que leurs barque est solide et que les vents ne leurs veulent pas de mal et alors je pourrais avancer à mon gré et profiter des vents pour accélérer, profiter des temps calmes pour me ressourcer. Je pourrais me dire que même si mon embarcation vacille, je pourrais garder un cap. 

J'illustre souvent le manque de confiance dans la Vie au fait de vouloir cloisonner la mer, de vouloir l'aplanir, la rendre lisse, contrôler les marées, etc... En effet cela pourrait me rassurer, voir me donner un coté de toute puissance... Or, peut-être que je devrais faire acte de modestie, d'humilité. Je ne peux pas contrôler la mer. Plus je vais essayer, plus je vais me retrouver en échec jusqu'à temps que je m’aperçoive que je ne peux pas. C'est alors que nous devons lever les yeux aux ciel. Prenons concession de l'immensité de ce qui nous entoure, cette magie tant dans l'espace, que dans le temps, ce qu'est la merveille de la Vie. De l'infiniment petit, à l’infiniment grand, tout est magique, et nous avons la chance de faire partie du spectacle à la fois en tant que spectateurs qu'acteurs. Si l'Univers a besoin de nous, que sommes-nous dans l'Univers ? C'est peut-être alors que nous arrivons dans ce que les new ager appellent le lâcher prise. Cette connexion avec le Tout, tout en sachant que je ne suis quasiment rien. C'est cette confiance insatiable qui montre que la Vie, l'Univers nous veut du bien quelque soit l'épreuve que nous traversons. Que l'épreuve que je vis, je peux la pleurer personnellement et porter mon petit drame personnel tout seul. Ou alors, je peux lever les yeux et le transcender. Je vais alors pleurer les drames plus grand que moi. Merci Monsieur Amhao pour sa sagesse. Si je pleure mon père décédé, mes larmes seront destinées à mon cœur et au Coeur de l'humanité, aux cœurs de tous les enfants qui n'ont pas pu avoir la chance de pleurer leurs papas décédés, pour toutes les raisons qui leurs incombent : comme pour tous les enfants n'ayant pas connu le leurs, mort en pendant la guerre, de maladie, parti pour un autre foyer etc... pour moi c'est cela l'humilité... l'humus qui nourrit l'humanité. C'est transformer un déchet, quelque chose qui n'est plus, pour nourrir l'avenir. C'est cela avoir Foi en la Vie. Derrière tout deuil, physique ou émotionnel se cache le printemps d'un temps accompli. Il en a toujours été depuis des milliards d'années. Qui suis-je pour en douter.... le lâcher prise pour moi c'est cela avoir confiance en la Vie. 


vendredi 20 août 2021

le système cardivasculaire

  Système cardiovasculaire


Le système cardiovasculaire comprend le coeur, les vaisseaux sanguins et le sang. En bref, le sang permet le transport de diverses substances comme le nutriments, l'oxygène, les hormones partout dans l'organisme. Le cœur, quant à lui, a le rôle de pompe. Il permet de faire circuler le sang à travers les vaisseaux sanguins. Les vaisseaux sanguins sont des conduits qui permettent d'acheminer le sang du cœur, vers les cellules et inversement. Il s'agit d'un système de communication reliant toutes les cellules du corps. 



  1. cœur


Le cœur est une pompe permettant la circulation du sang à travers les vaisseaux dans l'ensemble de l'organisme. Pour se faire, le cœur se contracte afin d’éjecter le sang et se relâche pour se remplir. Il réalise cette action 100 000 fois par jour. Comme il est actif dès le 22 ème jour de vie foetale, et ce jusqu'à la fin de la vie de l'individu, il battra 2,9 milliards de fois. Le sang pompe environ 1 000 L de sang par jour soit 10 millions de litres à l'année. Tous ces chiffres sont en deçà de la réalité car les mesures sont pour un organisme en état de sommeil. 



Malgré son importance primordiale dans le maintien de la vie de l'organisme, – oui, oui, vous le savez, un cœur qui ne bat plus c'est la Mort – il tient pourtant une place relativement petite anatomiquement parlant. Le cœur ne mesure que 12 cm de longueur pour 9 cm de largeur. Son poids moyen est de 250g. Il se situe légèrement à gauche du sternum... légèrement !! et non à gauche. Cela s'appelle l'effet Mandela (une croyance collective qui tente à laisser croire que le cœur est à gauche). Il repose sur le diaphragme. Le cœur est recouvert d'une membrane de protection : le Péricarde. Elle permet de maintenir le cœur à sa place et de facilité les mouvements entre les poumons et le sternum. Bien que découper en trois tuniques différentes, l'épicarde, le myocarde et l'endocarde, Hamer le divisera en fonction de l'origine des tissus et de sa troisième loi. L'épicarde est le feuillet viscéral du péricarde. Le myocarde est le tissu musculaire cardiaque. Il constitue l'essentiel de la masse du cœur et c'est lui qui assure l'action de pompage du cœur. Ce muscle, bien que strié, est innervé par le nerf vague. Sa contraction est donc involontaire. L'endocarde, signifiant en dedans du cœur, constitue le revêtement des cavités cardiaques. L'endocarde est en continuité avec les gros vaisseaux sanguins rattachés au cœur. 

Le cœur se compose de quatre cavités : 

  • deux oreillettes, dans la partie supérieure. Elles sont séparées par une cloison appelée septum intra-auriculaire. 

  • deux ventricules, dans la partie inférieure.

L’oreillette droite reçoit le sang de trois grosses veines : 

  • la veine cave supérieure, 

  • la veine cave inférieure

  • le sinus coronaire. 



Ces veines reçoivent le sang venant des différentes parties du corps.

Le sang passe de l’oreillette droite au ventricule droit en traversant la valve tricuspide (trois pointes) autrement nommée valve auriculo-ventriculaire droite. Le ventricule droit contient de nombreux cordages tendineux appelés aussi piliers. Le sang sort du ventricule droit en passant par la valve pulmonaire en direction des poumons par les artères pulmonaires. Dans le coté droit du cœur, le sang est peu oxygéné et contient beaucoup de dioxygène. 

L'oreillette gauche recueille le sang venant des veines pulmonaires. Le sang est ici oxygéné. Il passe dans le ventricule gauche par l'intermédiaire de la valve mitrale ou bicuspide ou encore valve auriculo-ventriculaire gauche. Le sang du ventricule gauche sera éjecté vers la grande circulation, le reste de l'organisme en traversant la valve aortique vers l'aorte. L'aorte vient de aerein : porte vers le haut. 


Selon la présentation du Dr Hamer, nous allons aborder successivement :

  • le péricarde

  • le myocarde dans sa partie striée

  • le mycoarde dans sa partie de muscle lisse

  • les artères coronaires et associées

  • les veines coronaires et associées


Le péricarde : 

Il est composé de la même structure que la plèvre. Il se compose de deux feuillets qui protègent le cœur. Il assure aussi la motilité du cœur en rapport des organes voisins. Il y a deux portions ; une partie profonde et une autre fibreuse qui permettent de fixer le cœur au diaphragme. Le péricarde appartient au groupe des organes du mésoderme ancien. 


Le Conflit :

Il s'agit d'une atteinte à intégrité du cœur dans 

un aspect réel : 

  • une attaque contre mon cœur, une forte douleur rétrosternale,

  • une douleur intense après infarctus du myocarde,

  • crainte pour la santé de mon cœur ,

  • une opération à cœur ouvert,

  • atteinte traumatique : être poignardé, crainte d’être poignardé ou de voir quelqu’un de proche avec un trauma au niveau du cœur.

ou virtuel : 

  • mener un combat de cœur à cœur

  • on m'a poignardé le cœur 

  • on m'a fendu le cœur 

  • être blessé dans son cœur

  • avoir un cœur de pierre 

Elles sont parfois en lien avec les douleurs dorsales qui sont elles la manifestation des trahisons.



En phase active :

On observe une prolifération cellulaire pour faire une cuirasse ou protéger le cœur ou les sentiments. La masse est alors appelée mésothéliome.

Le médulloblastome ou tumeur du cerveau apparaît sur le relai du péricarde. Elle serait l’expression de plusieurs conflits : atteinte à intégrité de mon coeur, écroulement de l’existence, et séparation centrale. Ce conflit est toujours en rapport avec le père : divorce, chômage, mort : si je perds mon père, je perds toutes mes racines et tout s’écroule. Le père est souvent représenté par le quatrième ventricule. Le LCR y circule. Le rachis est le mat de la famille : ce sur quoi tu devrais pouvoir t’appuyer. 


Le sens biologique :

Le sens biologique est de créer une super carapace pour protéger le cœur


Pcl :

On y retrouvera un épanchement liquidien dans tout le péricarde.

Lors de la Pcl, si un conflit sur les canaux collecteurs des reins est actif, il y a majoration du risque de tamponnade. Il s'agit d'une constriction aiguë du cœur suite à un épanchement liquidien entre les deux feuillets du péricarde. 



Le myocarde :


Les 90 % du cœur sont composés de muscle strié. Les 10% restant sont constitués de muscle lisse. Nous associerons toutes les valves et les piliers à ce muscle strié. 

Dans cette partie, nous nous intéressons au 90% du muscle strié. Hamer le classe en mésoderme nouveau. 

L'épaisseur du myocarde varie selon la fonction de la cavité concernée. Les oreillettes ont une paroi plus mince car elles reçoivent le sang et l'acheminent vers les ventricules adjacents. Les ventricules ont une paroi épaisse car ils pompent le sang sur de plus grandes distances. Le ventricule droit fournit cependant moins d'effort que le ventricule gauche car il expulse le sang vers les poumons quant au gauche, il l'envoie au reste de l'organisme qui oppose une résistance plus élevée à l'écoulement du sang. Le ventricule gauche travaille donc plus fort que le droit. Cette différence est marquée par l'anatomie des deux ventricules. Ainsi, la paroi ventricule gauche est plus épaisse que son homologue. Lors de la vie intra utérine, le tube cardiaque primitif subit des rotations spécifiques. Ainsi, la partie du cœur à droite passe à gauche et la partie gauche se retrouvera à droite. Le ventricule gauche était à l'origine un ventricule droit et inversement. Cela se remarque sur les cartes des foyers de Hamer


FH :

On retrouve le foyer de Hamer au niveau de la substance blanche au niveau de l'épaule. Il est homolatéral au coté considéré car le cœur s’est retourné en vie fœtal.


Le conflit : 

il est strictement influencé par la latéralité. Ainsi, chez lez droitiers, les conflits s’énonceront de la sorte : 

  • pour le ventricule gauche, le conflit est en lien avec de partenaire. Nous parlerons d'impuissance par rapport à un partenaire : je ne peux plus suivre par rapport aux exigences d’un partenaire, je n’arrive plus à maintenir ce combat par rapport au partenaire. Je ne peux plus suivre. Je n’arrive plus à gérer mon père qui sombre dans Alzheimer, ou bien mon frère alcoolique, mon mari me fait chier.

  • Pour le myocarde droit, le conflit est en rapport avec le nid, maman ou les enfants : mes enfants qui m’en demandent trop. Je n’arrive plus à maintenir mon nid. Je n’arrive pas à tenir mon entreprise, à la maintenir. Je ne peux plus suivre le rythme.

Bien sur, les conflits sont inversés chez les gauchers et gauchères. 

Il y aura toujours une corrélation avec un souci de territoire : aire cardiaque.

la valve mitrale n'aura pas la même signification pour un droitier ou un gaucher : pour un droitier le conflit concernera un partenaire alors que pour un gaucher le conflit touchera le nid. 


En phase active :

Il va y avoir une nécrose du myocarde avec une perte de contractilité. Les conséquences seront l'essoufflement ,des tachycardies, extrasystoles, les jambes gonflées. Ce tableau peut entrainer une peur pour l’intégrité du cœur ou celle des oreillettes (péricarde et l'autre partie du myocarde). Lorsque la masse de conflit est plus importante le tableau s'aggrave. Une insuffisance cardiaque peut alors survenir et un anévrisme de la paroi du cœur peut se constituer. 


Le sens biologique :

Il est de faire arrêter le combat pour ne pas aller à l’épuisement total ou pire, à la mort.L'individu est alors contraint de mettre fin à la situation que le surmène. 


La Pcl : 

Le processus de réparation se déroule alors que le cœur continue à battre. Cette phase peut donc être pénible, périlleuse et longue. Elle débute par l’aggravation de l’insuffisance cardiaque car il y a un processus inflammation. Un anévrisme peut aussi se former en début de Pcl, ainsi que des caillots de sang. La nécrose du muscle peut provoquer un arrêt du cœur. En fin de Pcl, la fibrose des valves cardiaques peut limiter la fermeture de celles-ci. On retrouve les souffles au cœur. Si la valve tricuspide est touchée le conflit sera en rapport à la mère chez un droitier, si la valve mitrale ou Bicuspide est concernée le conflit touchera le conflit sera en lien avec un partenaire. 

Dans les cas favorables, l'épaisseur de la paroi est augmentée ce qui entraine un accroissement de la pression d’éjection. 


Les communications inter-ventriculaires est une difficulté de communication entre deux territoires par exemple ma mère et mon mari.

La crise épileptoïde peut provoquer une fibrillation du myocarde (aucune contraction efficace) voire une forte nécrose. 


Sens biologique :

Il faut restaurer une épaisseur normale du myocarde qui permet un bon fonctionnement du cœur. 

Il faut éviter de rentrer dans la peur anticipative d’avoir des soucis de cœur, sinon le conflit peut être verrouillant.



Le Dr Hamer distingue la nécrose du myocarde et l’infarctus. La nécrose du myocarde est une phase active sur le muscle strié et pour Hamer n'a rien à voir avec une artère obstruée. Il en veut pour preuve des expérimentations animales avec ligatures des coronaires provoquant la création d'un réseau de collatérales sans être suivies de nécrose. A ce jour, nous n'expliquons pas non plus la survenue brutale du tableau clinique de l'infarctus du myocarde. Le conflit est très souvent couplé d’un conflit de perte de territoire. Ce conflit, comme nous le verrons plus loin, touche les artères coronaires. Pour Hamer, ce n’est pas les artères coronaires qui entrainent l'arrêt cardiaque.C’est la commande qui ne passe plus en raison du déchirement synaptique. Il rajoute qu'en premier plan, dans le tableau de l'infarctus du myocarde, les signes neurologiques sont prépondérant comme douleurs intenses, oppression, irradiations douloureuses, angoisses de mort imminente, qui sont d'autant de crises épilpetoïdes parallèles.



Myocarde :

Pour Hamer, le myocarde est constitué de deux types de muscles striés et lisses

10% sont des muscles lisses dans la partie des oreillettes. Le cœur bat du 23eme jour jusqu’à la mort. Le coeur a pour fonction principale la réception du sang veineux et l’éjection c’est à dire faire progresser le sang. Il permet l’adaptation au stress sous toutes ses formes. Cette partie du myocarde appartient au premier groupe du mésoderme nouveau. Ayant une fonction proche du vital, ce premier groupe fonctionne comme l'endoderme. C'est l’exception à la troisième loi. En phase active, le tissu croitra et en Pcl nécrosera. 


Conflit :

Il s'agit d'une impuissance, d'un sentiment de perte d'efficience de la capacité cardiaque, d'une peur ou d'un danger pour la santé de mon cœur. Cela peut arriver après essoufflement qui conduira à se demander : est-ce que mon cœur va bien ? Il peut apparaître au décours d’un problème cardiaque. Le conflit peut être un conflit verrouillant car la peur pour le cœur entraine des difficultés au niveau du muscle lisse donc cela majore le symptôme.


Phase active :

Il y a prolifération cellulaire pour renforcer la musculature et la fonction. Elle s’accompagne d’une augmentation de la fréquence cardiaque. La phase active permet une plus grande adaptabilité. Elle peut conduire à une hypertrophie des oreillettes. 


Le sens biologique :

Comme pour le muscle lisse de l'intestin, il y a accroissement du tonus du myocarde. Le sens biologique est de rendre le cœur plus efficient.


En Pcl : 

On retrouvera la nécrose de la partie du myocarde concerné. Dans la phase de cicatrisation, on peut retrouver des fibroses telles qu'elles empêchent les valves de se refermer. Les fuites valvulaires correspondent à une récidive au bout de la cicatrisation fin de phase Pcl. Elles sont donc souvent liées à des impuissances par rapport au territoire du muscle cardiaque strié. 




les artères coronaires


Tissu classé dans l'ectoderme, la thématique principale est la conquête ou la reconquête du territoire masculin. Les pertes de territoire peuvent être totales ou partielles. 


Dans l'embryologie, les artères coronaires dérivent des arcs branchiaux. Pour Dr Hamer, il s'agit d'un ensemble d'artères branchiales, regroupant les vaisseaux suivants :

  • la crosse de l'aorte et les artères coronaires appelées second cœur : le conflit impliquera une impuissance de vitalité dans des combats,

  • Le tronc brachiocéphalique : impuissance avec les bras ne pas avoir pu garder, repousser quelqu'un dans une thématique de territoire,

  • Le réseau carotidien dont la thématique est une difficulté intellectuelle par rapport au fait de conquérir un territoire,

  • artères sous clavières impuissance à mener des combats pour porter ou éloigner un proche

  • veine pulmonaire, impuissance face à la mort.

Hamer place ici, les troubles du rythme cardiaque comme l'arythmie et les extrasystoles. 


Hamer classe dans ce FH avec le centre de l’érection, les vésicules séminales. On peut donc avoir des pannes dans la sexualité. Cela est logique, car pour pouvoir procréer, il faut déjà avoir son territoire. 

On retrouve les vésicules séminales : problématique de territoire dans une thématique de procréation.


Le FH

Le FH se localise dans le cortex péri-ventriculaire droit. 


Le conflit

Il s'agit du conflit de devoir lutter pour conquérir le territoire masculin. C'est la reconquête du territoire, la lutte pour reconquérir le territoire masculin perdu en partie ou en totalité. 

Archaïquement, un animal qui n'a pas de territoire est en danger de mort imminente. Il ne peut ni chasser, ni se reproduire. 

Le ressenti de perte de territoire peut s'accompagner d'une atteinte concomitante des gonades et des glandes mammaires. Le territoire le plus primitif est le nid. Ce conflit touche préférentiellement l'homme droitier et la femme gauchère avant ménopause, ou chez la femme droitière en pat (n'oublions pas la pilule qui l'a fait passer en pat hormonal, ou la ménopause). Petit rappel, le pat hormonal est un changement de la vibration basale du cerveau. Il a plusieurs conséquences, comme la modification de la perception de l'environnement et les changements d'énergie et de comportement. Sur l'énergie masculine, l'agressivité et le combat sont plus prépondérants que sur l’énergie féminine, soumission et fuite. 


Pour Hamer, il y a mis en place d'un pat hormonal si le territoire ne peut être acquis. L'objectif de ce pat hormonal est de faire passer l'individu sur l'énergie opposée, soit dans ce cas en soumission. Il s'agit du conflit du second loup, le sous chef qui n'arrive pas à prendre la place de chef. C'est ainsi qu'il assurera les meilleures chances de survie, atténuant la masse de conflit de par la survenue du pat hormonal qui modifie son ressenti. Si le chef vient à partir, le pat se lève et le second loup prend la place du chef.


En phase active

Il y a ulcération des artères coronaires avec des douleurs d’angor de poitrine associée à des douleurs rétro-sternales profondes. 

Les symptômes d'angor de poitrine peuvent être retraduit par les FH. En effet, les FH de l'estomac, du bras gauche, de la mâchoire, se situent à coté du relais des artères coronaires. Il faudra cependant penser à les associer aussi comme des facettes de conflit. 

Souvent le repos calme les douleurs car le repos mais en pause le conflit (on ne combat pas au repos). La trinitrine va entrainer une vagotonie et donc calmer les symptômes. 



Le sens biologique :

Le but biologique est d'augmenter le calibre de l'artère pour mieux perfuser le coeur afin de mieux maintenir le combat. Le sens biologique, in fine, est de véhiculer plus d’oxygène pour améliorer la perfusion des tissus. 



Dans la phase Pcl :

On observe une inflammation de l'intima de la musculeuse des coronaires. Souvent, une augmentation du cholestérol sanguin surtout dans la première partie de la phase Pcl peut l'accompagner. L'augmentation du cholestérol est fréquente pour tous les conflits de territoire régis par l'hémicortex droit surtout lorsque les voies biliaires et les hépatocytes sont touchés. La rancoeur, « rendre au cœur » permet de lâcher l'énergie nécessaire pour maintenir ce combat injuste. Ce cholestérol peut entrainer une diminution ou une obstruction de la lumière artérielle.


La crise épileptoïde

La crise épicycloïde ne pardonne pas. Le risque majeur est l'infarctus du myocarde caractérisé par des douleurs importantes et des troubles du rythme graves.

Pour Hamer, Il s'agit, en réalité, d'un phénomène cérébral car il s'accompagne de sueurs froides, de fortes angoisses, et d'autres symptômes neurologiques de centralisation qui se traduisent par des modifications de la conscience voire un état de choc. L'oedème cérébral de la crise épileptoïde amène un arrachement de synapses de la région concernée. Si la masse du conflit est importante, l'arrachement peut provoquer la mort cérébrale. « on meurt du cerveau, pas du coeur ».



Complication de l'infarctus du myocarde

Dans les deux à six semaines post infarctus, le syndrome de Dressler peut survenir. Il s'agit le plus souvent d'une péricardite liquidienne. Parfois elle s'accompagne d une pleurésie liquidienne, voire de complications pulmonaires. Ces patients ont eu un ressenti de très fortes douleurs dans la région précordiale lors de la survenue de l'infarctus avec une peur panique de mourir.



L'intima des veines coronaires 

L'intima des veines coronaires dérive des arcs branchiaux. Les fibres sensitives sont en liens avec le cortex cérébral. Les veines coronaires assurent le drainage veineux du myocarde. Elles aboutissent à l'oreillette droite. 

L'intima des veines coronaires renvoie au conflit de non acquisition de territoire dans une énergie féminine, ne pas réussir à maintenir ou perdre son territoire sur une énergie féminine 

On parlera aussi du centre de la fréquence cardiaque.


Lorsque Docteur Hamer traite les veines coronaires, il parle bien entendu des  : 

  • veines coronaires,

Auxquelles il faut ajouter : 

  • les veines jugulaires

  • les artères pulmonaires,

  • la veines cave supérieure. 

Hamer rajoute le centre de la fréquence cardiaque. En phase active, il y aura donc la tachycardie.


Le FH :

Le FH est localisé dans la zone péri-insulaire gauche du cortex.


Le conflit :

On parle de non acquisition ou perte du territoire sur une énergie féminine. Hamer parle du conflit « de la femelle qui ne peut pas être ou qui n'est pas couverte ». Nous pourrions prendre l'exemple de la biche qui n'a pas encore pu déterminer quel mal a gagné le brame. Nous pouvons parler ici de conflit de triangulation. Je ne me sens pas la femelle dominante, ou bien je me sens menacée sur mon territoire par une autre (la belle mère, la mère, l'ex, la pêche (oui j'ai déjà eu celle là au cabinet). Encore une autre hypothèse serait, je ne sais quels partenaires choisir (n'oublions pas les amour platonique, transit ou interdit). Une formulation qui parle aussi au patient est la suivante : je ne peux pas concilier deux autorités non conciliables : mon homme et sa mère, mon père et ma mère, ma mère et mon mec. 

On constatera des conflits d'accompagnement sur les ovaires en mésoderme nouveau et les glandes mammaires. Archaïquement, c'est la femelle qui ne peut pas être couverte : on parle alors de frustration sexuelle. Par extension, on peut parler de toutes les frustrations. 

Nous rappelons une autre façon d'exprimer le conflit :

  • être tiraillé entre deux autorités contradictoires,

  • ne pas avoir déterminé son territoire,

  • avoir deux mâles en lice,

  • frustration avec son homme, c'est une grande cause d'infertilité. Cela peut se traduire parfois par l'impression d'avoir était dupée sur la marchandise, ou d'avoir perdu une partie de son homme dans l'alcool, son boulot, ou ses amis. 

Si une femelle vit des grandes pertes de territoire, elle passe sur une énergie de conquête. Elle fonctionne alors sur son hémicortex droit : c'est la nymphomanie (cf. la psychiatrie). 

Le conflit des veines coronaires est souvent couplé à celui du centre de l'ovulation. En effet, dans la nature si le mâle alpha n'est pas déterminé, la femelle n'ovule pas pas.

Dans la triangulation, cela peut être deux femelles qui se disputent le même territoire : une femme et sa belle mère ou une ex qui envahissent le territoire partenaire.

Pour rappel, stricto sensu, le territoire féminin est le nid : l'endroit dans lequel tu mets le petit en tout sécurité. C'est la maison, tout ce que tu vas recevoir. Je pense à mon goût que cela est un peu simpliste pour les être humains polymorphes que nous sommes.

Le territoire masculin est le reste y compris le territoire féminin tout ce que tu dois conquérir, le territoire de chasse.



En phase active

On remarque des ulcérations des veines coronaires qui entrainent des douleurs poitrines. On parle alors d'angine de poitrine. C'est douleurs sont souvent derrière le cœur. Nous parlons alors de douleurs rétro-sternales profondes.


Le sens biologique :

Le sens biologique est d’augmenter la circulation du sang et ainsi intensifier le débit des veines coronaires. En parallèle,l'ulcération de l'exocol a pour sens biologique d’arrêter les chaleurs en se préparant à recevoir le mâle dominant, une fois le conflit résolu. 


en Pcl 

Une tuméfaction inflammatoire de l'intima des veines coronaires apparait dès le début de la Pcl, avec une multiplication cellulaire. Si elle est accompagnée par une plaque athérome, on rajoutera une facette de conflit : le manque et l'injustice (hépatocyte et VB) 

Dans la crise épileptoïde, il se produit : 

  • des spasmes pulmonaires pouvant aller jusqu'à l'embolie pulmonaire dont les symptômes sont l'oppression avec dyspnée.

  • une forte tachycardie accompagnée de douleurs importantes. 

  • infarctus du cœur droit : troubles de la conscience sensation d'anéantissement et frissons généralisées

  • des troubles de la conscience à des degrés variés. 



  1. Les vaisseaux sanguins

Les vaisseaux sanguins sont les structures qui assurent l'acheminement du sang dans toutes les parties de l'organisme. Ils forment un circuit fermé de tubes qui emportent le sang du ventricule gauche pour revenir à l'oreille droite. Nous parlons de la grande circulation. La petite circulation correspond au réseau partant du ventricule droit pour revenir à l'oreille gauche. 

Si nous mettons bout à bout tous les vaisseaux sanguins, nous obtiendrons pas moins de 100 000 km de tuyauterie. 



Les Veines :

Les veines sont ubiquitaires dans le corps, c'est à dire qu'elles sont présentes absolument partout. Elles sont toutes couplées à une artère. Souvent, on retrouve plusieurs veines pour une artère. 

Elles ont une fonction de drainage et ramènent le sang non oxygéné au cœur droit. C'est une énergie négative au sens retour à soi, on parle alors d'énergie féminine. Hamer les classent dans le mésoderme nouveau.


Les FH :

ils se situe dans la substance blanche en regard du squelette sous-jacent.


Le conflit :

Provenant du mésoderme nouveau, le conflit est l'expression d'une impuissance dans les liens de sang, par rapport à des personnes très proches ou du nid. On peut aussi parler de dévalorisation avec une problématique de filiation, de devoir purifier éliminer quelque chose sur une énergie féminine. L'endroit concerné rajoute une information supplémentaire. Ainsi une veine du membre inférieur implique un conflit de dévalorisation par rapport au lien de sang en rapport à une notion de déplacement : devoir quitter le nid alors que je ne veux pas par exemple, ou me marier avec le voisin que je n'aime pas et emménager à coté de mes parents. Guinée exprime l'exemple d'une de ses patientes ayant présentée des varices malléolaires suite à une grossesse non désirée. La patiente parlait de son enfant comme un boulet qu'elle sentait au niveau de son pied.

Nous penserons pour la veine touchée à chercher en fonction de la latéralité : 



En phase active 

L'intima de la veine nécrose. Cela peut s'accompagner de crampes. En cas de conflits répétés, un anévrisme peut se constituer. L’anévrisme est plus communément appelé varice. Une rupture peut alors survenir lors d'un traumatisme mineur. 


Le sens biologique : 

La nécrose permet d'augmenter le débit veineux en accroissant le diamètre de la veine. 


En Pcl :

Dans cette phase de réparation, nous retrouvons une inflammation qui peut aller jusqu'à la phlébite ou thrombophlébite. Durant cette phase inflammatoire aiguë, il peut y avoir une interruption de la circulation veineuse, ainsi qu'une formation d'oedème en amont de l'obstruction. Nous retrouvons aussi les phlébites avec une paroi épaisse de la veine qui survient en cas de Pcl récidivantes. 

Dans la crise épileptoïde, nous pouvons retrouver les crampes. 

le sens biologique de la Pcl est de renforcer la paroi artérielle .


Les hémorroïdes signent une grande dévalorisation dans les liens de sang par rapport à son identité, sa place. Il s'agit d'une Pcl. Lorsqu'une femme déclenche des hémorroïdes après la naissance de son enfant, nous devrions rechercher dans l'histoire des aïeux, une problématique d'enfants non reconnus, d'un différent nid, d'une fille rejetée car elle était enceinte hors mariage. Si les hémorroïdes apparaissent après un mariage, il faudra chercher les mésalliances ou les mariages forcés chez les ascendants. Il s'agit des problématiques de filiation, de nomination.


L’insuffisance veineuse chronique s'accompagne de lourdeur dans les jambes puis d'oedème. Elle renvoie à des écroulements d'existence au niveau des liens de sang dans une notion de déplacement. Il n'est pas étonnant de les retrouver fréquemment chez les immigrées. 

Une pathologie de Pcl qui revient fréquemment est l’ulcère variqueux.


Les artères :

Dans cette partie, nous parlerons de toutes les artères sauf les artères coronaires et associées. Comme les veines, les artères sont ubiquitaires, présentes dans tout l’organisme. D’origine mésodermique, Hamer les classe dans le mésoderme nouveau. 

Elles véhiculent le sang oxygéné. Elles sont les conduits qui amènent le sang vivifié aux différents tissus (à l'exception des artères pulmonaires). Le sang vivifié est considéré pour Hamer comme un sang nouveau, dont la fonction est de nourrir, d'oxygéner les tissus. 


les FH : 

Ils sont aussi dans les zones péri-ventriculaires de la substance blanche. 



Le conflit :

Il s'agit d'un ressenti de dévalorisation de soi en rapport avec la filiation, de devoir vivier, fortifier, nourrir, quelqu'un ou quelque chose dans les liens de sang. La localisation se produit de manière spécifique en lien avec le squelette sous-jacent. Les artères renvoient à la capacité d'être joyeux, ne plus être dans les combats dévastateurs. 


Phase active : 

Elle se manifeste par une nécrose de l'intima associé presque toujours à la musculeuse en rapport à la masse du conflit . 

En cas de conflit actif en balance et répété, la paroi devient de plus en plus mince et le risque de formation d'anévrisme augmente. Cet anévrisme peut finir par se rompre, soit dans la phase active, soit en crise épileptoïde. Cet anévrisme peut arriver sur n'importe quel endroit du réseau artériel, cependant, en fonction de sa localisation les conséquences ne seront pas les mêmes.

le sens biologique :

Le sens biologique est d’augmenter le débit artériel par accroissement de la lumière de l'artère. 

En Pcl :

La phase de réparation se manifeste par une prolifération cellulaire et une phase inflammatoire. Ce phénomène aboutit à la formation d'une plaque athérosclérome. L’athérosclérose constituée par un dépôt graisseux signe la présence d'un conflit de territoire, dans une problématique de manque et d'injustice. la présence de ces plaques de cholestérol montre une atteinte du foie(manque) et de la vésicule biliaire, (colère). 

Sinon l'artériosclérose sans plaque provoque une paroi artérielle un peu plus épaisse associée à hypertension diastolique (chiffre le plus bas). En fin de Pcl, la paroi de l'artère devient plus épaisse et rigide. 

La crise épileptoïde peut entrainer dans un contexte d'hypertension artérielle, une rupture d'anévrisme .

Le sens biologique de cette phase est, en présence du cholestérol, colmater les fissures de la paroi artérielle. 


On retrouvera le Syndrome de Raynaud en crise épilpetoïde. Le froid renverra à toutes les impuissances à ré-insuffler la vie. Très souvent, on retrouve les contacts avec les morts, les mises en bière. 



Le muscles lisses des vaisseaux sanguins : 

La thématique du conflit est identique à celle des muscles lisses de l'intestin. L'évolution de cette musculeuse sera similaire aux muscles lisses de l'intestin.

Le conflit des muscles lisses des artères renvoie à une impuissance, une peur à ne pas pouvoir faire avancer la contrariété dans une notion de combat dans les liens de sang. Pour les muscles lisses des veines, le conflit est une impuissance à éliminer, ne pas pouvoir faire avancer quelque chose dans les liens de sang. 

Les crampes apparaissent dans les contextes de sympathicotonie, sur le trajet de l'artère en lien avec la spécificité de l'artère. 


Dans le cadre de l'obstruction artérielle, on trouvera aussi les voies biliaires et le foie car il y a intervention du cholestérol. Le cholestérol étant produit par le foie, on retrouve la thématique du manque. La vésicule biliaire est en lien avec les colères. Donc, on retrouvera des vieilles ruminations en balance. Les plaque d'athérome va se déposer sur les artères enflammées. 


Nous rappellerons que l'hypertension artérielle est abordée avec les corticosurrénales dans le chapitre d'endocrinologie car elles produisent l'angiotensine. 


  1. Le sang

Le sang transport diverses substances, nutriments et oxygène, des déchets, des hormones, et des cellules immunitaires, à travers tout l'organisme. Le sang intervient aussi dans la régulation du pH, la température corporelle. La sang participe au maintien de l'homéostasie. Il contribue donc à maintenir des combats, éliminer, et reconnaître le soi du non soi. 

Le sang est constitué de deux grands composants : le plasma, et les éléments figurés du sang. Le plasma est une matrice liquidienne aqueuse. Les éléments figurés du sens sont composés de cellules et de fragments de cellules. Passé à la centrifugeuse pour séparer le plasma des éléments figurés, la composition du sang est de 45% d'éléments figurés pour 55% de plasma. Les éléments figurées sont représentés pour 99% de globules rouges autrement appelé érythrocytes. Au nombre de 5 400 milliards par litre de sang, les érythrocytes contiennent l'hémoglobine. L'hémoglobine, de couleur rouge, permet le transport de l'oxygène. 

Le 1% restant se compose de leucocytes (globules blancs), et des thrombocytes (plaquettes). Dans les leucocytes nous pouvons les diviser en fonction de leurs formes et de leurs fonctions en granulocytes, lymphocytes, monocytes, granulocytes éosinophiles. Leur fonction est de reconnaître ce qui appartient à l'organisme et ce qui est extérieur, ce qui est du soi et du non soi. Ils participent en fonction de la quatrième loi au déblaiement des structures non nécessaires surtout pour les granulocytes et la réparation de la structure et la remise en fonction pour les lymphocytes. Cette réparation se fait de paire avec les micro-organismes (on sort du dogme classique)

Voila pour la fonction de chacun, maintenant voyons pour la formation de toutes ces petites cellules. 

Schéma récap 

La plus part des éléments figurés du sang ont une durée de vie de quelques heures, jours ou semaines, à l’exception des lymphocytes. L'organisme doit donc les remplacer constamment. Je ne rentrerai pas dans les mécanisme de rétroaction entre le rein qui secrète érythropoïétine (EPO) qui stimule la production de globule rouge, ni le mécanisme de destruction par la rate et le foie des érythrocytes usés. La formation de globules rouges porte le nom d'érythropoïèse. Ce mécanisme se déroule dans la moelle rouge des os. La moelle osseuse est un tissu extrêmement vascularisé que l'on retrouve dans les os longs comme le fémur à la différence de l'omoplate qui est un os plat. La moelle osseuse forme au départ, des cellules non spécifiques, dites pluripotentes (elles peuvent prendre plusieurs potentiels en fonction des besoins). Au fil de transformations, ces cellules souches deviennent soient des globules rouges ou des globules blancs. Pour aborder le sang, nous allons donc étudier le comportement de la moelle osseuse, lieu de formation des éléments du sang, et de la rate, lieu de stockage de certains éléments figurés du sang. 


La moelle osseuse : 


La moelle osseuse crée tous les éléments figurés du sang, fer, globules rouges etc, garde l'intégrité du taux des globules blancs et des plaquettes. 


Le conflit :

Il s'agit de la plus profonde dévalorisation de soi, être touché dans ce qui est le plus dur, le plus profond. Il est souvent inextricable de l'os. Les phrases que l'on peut entendre sont : 

  • « Je suis rien je suis nul. »

  • « J'ai l'impression d'être nier ».

  • « je suis rien » (anagramme de nier). 

  • « Personne ne m'aime ici. »

    Il est très proche du conflit d’identité ne plus avoir sa place. 

Ce conflit est très souvent couplé à une problématique de territoire, de reconnaissance. Comme beaucoup le disent, être reconnu, avoir un nom, cela se fait par le père, ce n'est cependant pas toujours l'affaire du paternel. Nous pouvons ainsi citer les exemples suivants : 

  • Impuissance de retenir quelqu'un dans une notion de grande dévalorisation.

  • Impuissance face à des parents qui se quittent

  • au décès d'un proche,

  • la mort d'un animal. 

Une autre façon de l'exprimer est la plus grave dévalorisation de soi par rapport au lien de sang, voire du milieu dans lequel on se reconnaît. Nous pouvons parler de combat dans les liens de sang, ne pas pouvoir maintenir les liens de sang. Le conflit touche l’entièreté de la personne. L'os atteint donnera une facette, une spécificité dont nous verrons les tenants et aboutissements dans le chapitre sur le squelette. 

Dans le langage courant, nous pouvons utiliser des expressions comme être touché jusqu’à la moelle, tu l'as dans l’os, qui exprime la dévalorisation la plus profonde qu'il soit. Dans les exemples que l'on peut citer on retrouve les échecs scolaires ou échecs sportifs - car c’est grâce au sport que tu as ta place familiale si tu n'obtiens pas de bons résultats à l'école. Les parents qui ont un poste à responsabilité et dont l'enfant a peur de ne pas en faire autant. Une leucémie se déclarant chez un enfant de 6 mois devra nous amener à chercher de grosses difficultés à 6 mois à de grossesse ou en transgénérationnel, comme des difficultés majeures avec la famille ou des pertes d’enfants. Etc. 

Tous les enfants qui manquent de confiance en eux présentent de grandes dévalorisations. Et nous avons tous vécus des difficulté dans les liens du sang. 



Le FH : 

On va retrouver le Fh dans la zone péri ventriculaire : 


Phase active :

Appartenant au mésoderme nouveau, en phase active, il y a destruction de la moelle osseuse provoquant la diminution des éléments figurés du sang. Si la masse de conflit est forte, la médecine allopathique appelle cela la leucémie. 

La leucémie se bâtit sur une structure de personnalité la plus gravement dévalorisée mais ce qui peut la déclencher concerne des dévalorisations plus spécifiques. 


la phase active se caractérise donc par une nécrose de la moelle osseuse très souvent associée à une ostéolyse pouvant conduire à une fracture osseuse.

Les différentes localisation des atteinte renvoient fidèlement aux facettes du DHS.


La nécrose de la moelle osseuse en phase active entraine une chute des éléments figurés du sang thrombopénie (chute des plaquettes), anémie (baisse des globules rouges) etc. La phase active est toujours INDOLORE : 


dans les phase active, la moelle osseuse donnera un tableau affectant la formule sanguine : 

  • agranulocytose : réduction de granulocytes (globules blancs)

  • aplasie médullaire : chute de tous les éléments figurés

  • anémie : touche les globule rouge, maintenir les combats.

  • thrombopénie : hypoplaqurétose renvoie à des manques de cohésion du clan.

  • SIDA, destruction des lymphocyte T4. Il serait pour Hamer une phase active dont le conflit est une impuissance dans les liens de sang , plus précisément une aberration dans les liens de sang de reconnaissance. Je ne sais pas me reconnaître dans les liens de sang. 

    • Enfant né sur inceste. 

    • consanguinité 

    • ne pas savoir qui est son père

    • secret sur la paternité


le sens biologique 

il faut fragilisé l’os et l'ensemble de l'organisme car l’affrontement est trop difficile.

je suis à bout de force de devoir lutter pour maintenir les liens de sang.


En Pcl : 

Elle se caractérise au début de la phase Pcl, par une forte inflammation, puis une reprise de proliférations cellulaires. Le début de phase Pcl se manifeste par une grande grande fatigue. Très souvent, il s'agit du motif de consultation médicale. Le cerveau l'interprète comme une récupération d’une énorme hémorragie car la chute des éléments figurés est considéré par le cerveau comme une forte perte de sang. 



Dans les pathologies de Pcl, nous trouvons : 

  • Le purpura thrombopénique : elle se caractérise par le fait que le moindre choc entraine un bleu. Le conflit est une grande difficulté dans les cohésions. Corbeel prend l'exemple de d'une jeune fille qui a subit un évincement de ses trois meilleures copines. Cette adolescente avait comme programmant  une grande difficulté avec le père de la mère au début de la grossesse.

  • Leucémie : dès la conflictuelle, une dilatation des vaisseaux augmente la thrombopénie et anémie. L'inflammation entraine une augmentation du volume sanguin, et les éléments figurés sont de facto plus dilués. Il n’y a pas moins d’éléments mais il y a un plus gros volume. Le tableau clinique semble alors s'aggraver. Elle s'accompagnera les semaines suivantes de fortes douleurs. On distinguera plusieurs types de leucémies : 

    • la leucémie classique : phase Pcl sur impuissance dans les liens de sang, un combat dans la famille, une incapacité à maintenir les liens de sang. 

    • La leucémie aiguë : caractérise des patients qui ont une faible capacité à nuancer l'hyper stress. Elle concerne surtout les enfants et les vieillards. C'est eux qui vivent les plus grandes dévalorisations.

    • La leucémie chronique, c'est une Pcl en balance 

  • C’est dans cette phase ci que l'on trouve les saignements 


Petit rappel du sens biologique : 

  • globules rouges : notion de combat dans la filiation verticale : ascendant/descendant 

    • mon enfant est de mon sang. Incapacité à maintenir le combat. 

  • Plaquette et facteur de coagulation : problématique de ne pas pouvoir maintenir les liens de sang, la cohésion du clan. 

  • Mastocytes participe à l'Oedème de Quinck ; le conflit est une grande peur où le danger de mort est imminent. 

  • Polynucléaires éosinophiles : polynucléaires éosinophiles interviennent dans les ressentis de séparation et de perte de cohésion des liens du groupe. 

  • Polynucléaires basophiles : situation semblable faisant intervenir les mastocytes : parenté 

  • Lymphocytes T ont pour fonctions essentielles de capter et de transmettre les informations. 

  • Les lymphocytes B interviennent dans des situations d'attaque et de défense. 

  • Le fer : il permet l’action. 

    • Chute de fer : circonstance où je me suis senti amoindri dans ma capacité à faire face : actif. 

    • Augmentation du fer : dévalorisation de soi dans le fait de ne pouvoir régénérer la filiation : hémochromatose. 


la rate : 





La rate est le plus gros ganglion lymphatique de l'organisme. Elle est située dans l'hypocondre gauche juste en dessous du diaphragme. Chez le fœtus, elle participe à l’élaboration des éléments de la formule sanguine puis elle sera le réservoir de cellules sanguines. La pulpe blanche contient les lymphocytes et les macrophages. La pulpe rouge stocke en plus des plasmocytes et des érythrocytes. La rate permet l'élimination des cellules du sang usées, l’emmagasinement des thrombocytes. Cela permet en cas d'hémorragie de libérer des plaquettes pour faciliter une cicatrisation rapide. Elle peut donc se contracter en cas d'hémorragie ou de poussée d’adrénaline. La rate possède la capacité de se contracter après un effort afin de permettre la capacité de maintenir le combat. Ne dit-on pas courir comme un dératé ? 

Elle fonctionne de paire avec le sang et les os .


Le conflit :

Il s'agit d'une impuissance dans les liens de sang ou dans une notion de perte de sang, ressenti comme grave. On retrouve alors dans le réel toutes les hémorragies et les fortes pertes de sang. Dans le virtuel, nous parlerons plutôt de se sentir fortement blessé. Nous retrouverons alors les phrases comme : 

  • je me sens blessé,

  • mon cœur saigne,.

Le cerveau ne fait pas la différence entre une perte de sang ou un apport de sang. Nous pouvons donc avoir un conflit sur une transfusion. 

Dans les exemples que nous pouvons trouver fréquemment, nous citerons : 

  • les premières règles vécues comme une énorme peur,

  • une personne qui saigne et qui se vide de son sang, 

  • une grave hémorragie sur les naissances. 

  • Une blessure virtuelle. 


Le FH : 

Il se situe dans la substance blanche dans l'hémicortex droit en regard des thoraciques basses.


En phase active : 

Il y a formation de nécrose avec une chute de plaquettes nommée thrombopénie. La rate capte et met en réserve les thrombocytes afin d'éviter de les perdre dans le saignement. Une fois le saignement diminué, elle les restitue dans le sang pour pouvoir au mieux cicatriser lorsque les premiers dépôts de fibrine sont apparus.


En Pcl : 

Dès les premiers mécanismes de réparation de la plaie apparus, les spasmes de vaisseaux sanguins ainsi que les plaquettes vont rapidement remonter dans le sang pour colmater la brèche.

En cas de récidive, une réparation luxuriante de la rate peut se faire remarquer. Cette splénomégalie peut rester. Le but biologique est de garder plus de sang au cas où une nouvelle attaque arriverait.