vendredi 20 août 2021

le système cardivasculaire

  Système cardiovasculaire


Le système cardiovasculaire comprend le coeur, les vaisseaux sanguins et le sang. En bref, le sang permet le transport de diverses substances comme le nutriments, l'oxygène, les hormones partout dans l'organisme. Le cœur, quant à lui, a le rôle de pompe. Il permet de faire circuler le sang à travers les vaisseaux sanguins. Les vaisseaux sanguins sont des conduits qui permettent d'acheminer le sang du cœur, vers les cellules et inversement. Il s'agit d'un système de communication reliant toutes les cellules du corps. 



  1. cœur


Le cœur est une pompe permettant la circulation du sang à travers les vaisseaux dans l'ensemble de l'organisme. Pour se faire, le cœur se contracte afin d’éjecter le sang et se relâche pour se remplir. Il réalise cette action 100 000 fois par jour. Comme il est actif dès le 22 ème jour de vie foetale, et ce jusqu'à la fin de la vie de l'individu, il battra 2,9 milliards de fois. Le sang pompe environ 1 000 L de sang par jour soit 10 millions de litres à l'année. Tous ces chiffres sont en deçà de la réalité car les mesures sont pour un organisme en état de sommeil. 



Malgré son importance primordiale dans le maintien de la vie de l'organisme, – oui, oui, vous le savez, un cœur qui ne bat plus c'est la Mort – il tient pourtant une place relativement petite anatomiquement parlant. Le cœur ne mesure que 12 cm de longueur pour 9 cm de largeur. Son poids moyen est de 250g. Il se situe légèrement à gauche du sternum... légèrement !! et non à gauche. Cela s'appelle l'effet Mandela (une croyance collective qui tente à laisser croire que le cœur est à gauche). Il repose sur le diaphragme. Le cœur est recouvert d'une membrane de protection : le Péricarde. Elle permet de maintenir le cœur à sa place et de facilité les mouvements entre les poumons et le sternum. Bien que découper en trois tuniques différentes, l'épicarde, le myocarde et l'endocarde, Hamer le divisera en fonction de l'origine des tissus et de sa troisième loi. L'épicarde est le feuillet viscéral du péricarde. Le myocarde est le tissu musculaire cardiaque. Il constitue l'essentiel de la masse du cœur et c'est lui qui assure l'action de pompage du cœur. Ce muscle, bien que strié, est innervé par le nerf vague. Sa contraction est donc involontaire. L'endocarde, signifiant en dedans du cœur, constitue le revêtement des cavités cardiaques. L'endocarde est en continuité avec les gros vaisseaux sanguins rattachés au cœur. 

Le cœur se compose de quatre cavités : 

  • deux oreillettes, dans la partie supérieure. Elles sont séparées par une cloison appelée septum intra-auriculaire. 

  • deux ventricules, dans la partie inférieure.

L’oreillette droite reçoit le sang de trois grosses veines : 

  • la veine cave supérieure, 

  • la veine cave inférieure

  • le sinus coronaire. 



Ces veines reçoivent le sang venant des différentes parties du corps.

Le sang passe de l’oreillette droite au ventricule droit en traversant la valve tricuspide (trois pointes) autrement nommée valve auriculo-ventriculaire droite. Le ventricule droit contient de nombreux cordages tendineux appelés aussi piliers. Le sang sort du ventricule droit en passant par la valve pulmonaire en direction des poumons par les artères pulmonaires. Dans le coté droit du cœur, le sang est peu oxygéné et contient beaucoup de dioxygène. 

L'oreillette gauche recueille le sang venant des veines pulmonaires. Le sang est ici oxygéné. Il passe dans le ventricule gauche par l'intermédiaire de la valve mitrale ou bicuspide ou encore valve auriculo-ventriculaire gauche. Le sang du ventricule gauche sera éjecté vers la grande circulation, le reste de l'organisme en traversant la valve aortique vers l'aorte. L'aorte vient de aerein : porte vers le haut. 


Selon la présentation du Dr Hamer, nous allons aborder successivement :

  • le péricarde

  • le myocarde dans sa partie striée

  • le mycoarde dans sa partie de muscle lisse

  • les artères coronaires et associées

  • les veines coronaires et associées


Le péricarde : 

Il est composé de la même structure que la plèvre. Il se compose de deux feuillets qui protègent le cœur. Il assure aussi la motilité du cœur en rapport des organes voisins. Il y a deux portions ; une partie profonde et une autre fibreuse qui permettent de fixer le cœur au diaphragme. Le péricarde appartient au groupe des organes du mésoderme ancien. 


Le Conflit :

Il s'agit d'une atteinte à intégrité du cœur dans 

un aspect réel : 

  • une attaque contre mon cœur, une forte douleur rétrosternale,

  • une douleur intense après infarctus du myocarde,

  • crainte pour la santé de mon cœur ,

  • une opération à cœur ouvert,

  • atteinte traumatique : être poignardé, crainte d’être poignardé ou de voir quelqu’un de proche avec un trauma au niveau du cœur.

ou virtuel : 

  • mener un combat de cœur à cœur

  • on m'a poignardé le cœur 

  • on m'a fendu le cœur 

  • être blessé dans son cœur

  • avoir un cœur de pierre 

Elles sont parfois en lien avec les douleurs dorsales qui sont elles la manifestation des trahisons.



En phase active :

On observe une prolifération cellulaire pour faire une cuirasse ou protéger le cœur ou les sentiments. La masse est alors appelée mésothéliome.

Le médulloblastome ou tumeur du cerveau apparaît sur le relai du péricarde. Elle serait l’expression de plusieurs conflits : atteinte à intégrité de mon coeur, écroulement de l’existence, et séparation centrale. Ce conflit est toujours en rapport avec le père : divorce, chômage, mort : si je perds mon père, je perds toutes mes racines et tout s’écroule. Le père est souvent représenté par le quatrième ventricule. Le LCR y circule. Le rachis est le mat de la famille : ce sur quoi tu devrais pouvoir t’appuyer. 


Le sens biologique :

Le sens biologique est de créer une super carapace pour protéger le cœur


Pcl :

On y retrouvera un épanchement liquidien dans tout le péricarde.

Lors de la Pcl, si un conflit sur les canaux collecteurs des reins est actif, il y a majoration du risque de tamponnade. Il s'agit d'une constriction aiguë du cœur suite à un épanchement liquidien entre les deux feuillets du péricarde. 



Le myocarde :


Les 90 % du cœur sont composés de muscle strié. Les 10% restant sont constitués de muscle lisse. Nous associerons toutes les valves et les piliers à ce muscle strié. 

Dans cette partie, nous nous intéressons au 90% du muscle strié. Hamer le classe en mésoderme nouveau. 

L'épaisseur du myocarde varie selon la fonction de la cavité concernée. Les oreillettes ont une paroi plus mince car elles reçoivent le sang et l'acheminent vers les ventricules adjacents. Les ventricules ont une paroi épaisse car ils pompent le sang sur de plus grandes distances. Le ventricule droit fournit cependant moins d'effort que le ventricule gauche car il expulse le sang vers les poumons quant au gauche, il l'envoie au reste de l'organisme qui oppose une résistance plus élevée à l'écoulement du sang. Le ventricule gauche travaille donc plus fort que le droit. Cette différence est marquée par l'anatomie des deux ventricules. Ainsi, la paroi ventricule gauche est plus épaisse que son homologue. Lors de la vie intra utérine, le tube cardiaque primitif subit des rotations spécifiques. Ainsi, la partie du cœur à droite passe à gauche et la partie gauche se retrouvera à droite. Le ventricule gauche était à l'origine un ventricule droit et inversement. Cela se remarque sur les cartes des foyers de Hamer


FH :

On retrouve le foyer de Hamer au niveau de la substance blanche au niveau de l'épaule. Il est homolatéral au coté considéré car le cœur s’est retourné en vie fœtal.


Le conflit : 

il est strictement influencé par la latéralité. Ainsi, chez lez droitiers, les conflits s’énonceront de la sorte : 

  • pour le ventricule gauche, le conflit est en lien avec de partenaire. Nous parlerons d'impuissance par rapport à un partenaire : je ne peux plus suivre par rapport aux exigences d’un partenaire, je n’arrive plus à maintenir ce combat par rapport au partenaire. Je ne peux plus suivre. Je n’arrive plus à gérer mon père qui sombre dans Alzheimer, ou bien mon frère alcoolique, mon mari me fait chier.

  • Pour le myocarde droit, le conflit est en rapport avec le nid, maman ou les enfants : mes enfants qui m’en demandent trop. Je n’arrive plus à maintenir mon nid. Je n’arrive pas à tenir mon entreprise, à la maintenir. Je ne peux plus suivre le rythme.

Bien sur, les conflits sont inversés chez les gauchers et gauchères. 

Il y aura toujours une corrélation avec un souci de territoire : aire cardiaque.

la valve mitrale n'aura pas la même signification pour un droitier ou un gaucher : pour un droitier le conflit concernera un partenaire alors que pour un gaucher le conflit touchera le nid. 


En phase active :

Il va y avoir une nécrose du myocarde avec une perte de contractilité. Les conséquences seront l'essoufflement ,des tachycardies, extrasystoles, les jambes gonflées. Ce tableau peut entrainer une peur pour l’intégrité du cœur ou celle des oreillettes (péricarde et l'autre partie du myocarde). Lorsque la masse de conflit est plus importante le tableau s'aggrave. Une insuffisance cardiaque peut alors survenir et un anévrisme de la paroi du cœur peut se constituer. 


Le sens biologique :

Il est de faire arrêter le combat pour ne pas aller à l’épuisement total ou pire, à la mort.L'individu est alors contraint de mettre fin à la situation que le surmène. 


La Pcl : 

Le processus de réparation se déroule alors que le cœur continue à battre. Cette phase peut donc être pénible, périlleuse et longue. Elle débute par l’aggravation de l’insuffisance cardiaque car il y a un processus inflammation. Un anévrisme peut aussi se former en début de Pcl, ainsi que des caillots de sang. La nécrose du muscle peut provoquer un arrêt du cœur. En fin de Pcl, la fibrose des valves cardiaques peut limiter la fermeture de celles-ci. On retrouve les souffles au cœur. Si la valve tricuspide est touchée le conflit sera en rapport à la mère chez un droitier, si la valve mitrale ou Bicuspide est concernée le conflit touchera le conflit sera en lien avec un partenaire. 

Dans les cas favorables, l'épaisseur de la paroi est augmentée ce qui entraine un accroissement de la pression d’éjection. 


Les communications inter-ventriculaires est une difficulté de communication entre deux territoires par exemple ma mère et mon mari.

La crise épileptoïde peut provoquer une fibrillation du myocarde (aucune contraction efficace) voire une forte nécrose. 


Sens biologique :

Il faut restaurer une épaisseur normale du myocarde qui permet un bon fonctionnement du cœur. 

Il faut éviter de rentrer dans la peur anticipative d’avoir des soucis de cœur, sinon le conflit peut être verrouillant.



Le Dr Hamer distingue la nécrose du myocarde et l’infarctus. La nécrose du myocarde est une phase active sur le muscle strié et pour Hamer n'a rien à voir avec une artère obstruée. Il en veut pour preuve des expérimentations animales avec ligatures des coronaires provoquant la création d'un réseau de collatérales sans être suivies de nécrose. A ce jour, nous n'expliquons pas non plus la survenue brutale du tableau clinique de l'infarctus du myocarde. Le conflit est très souvent couplé d’un conflit de perte de territoire. Ce conflit, comme nous le verrons plus loin, touche les artères coronaires. Pour Hamer, ce n’est pas les artères coronaires qui entrainent l'arrêt cardiaque.C’est la commande qui ne passe plus en raison du déchirement synaptique. Il rajoute qu'en premier plan, dans le tableau de l'infarctus du myocarde, les signes neurologiques sont prépondérant comme douleurs intenses, oppression, irradiations douloureuses, angoisses de mort imminente, qui sont d'autant de crises épilpetoïdes parallèles.



Myocarde :

Pour Hamer, le myocarde est constitué de deux types de muscles striés et lisses

10% sont des muscles lisses dans la partie des oreillettes. Le cœur bat du 23eme jour jusqu’à la mort. Le coeur a pour fonction principale la réception du sang veineux et l’éjection c’est à dire faire progresser le sang. Il permet l’adaptation au stress sous toutes ses formes. Cette partie du myocarde appartient au premier groupe du mésoderme nouveau. Ayant une fonction proche du vital, ce premier groupe fonctionne comme l'endoderme. C'est l’exception à la troisième loi. En phase active, le tissu croitra et en Pcl nécrosera. 


Conflit :

Il s'agit d'une impuissance, d'un sentiment de perte d'efficience de la capacité cardiaque, d'une peur ou d'un danger pour la santé de mon cœur. Cela peut arriver après essoufflement qui conduira à se demander : est-ce que mon cœur va bien ? Il peut apparaître au décours d’un problème cardiaque. Le conflit peut être un conflit verrouillant car la peur pour le cœur entraine des difficultés au niveau du muscle lisse donc cela majore le symptôme.


Phase active :

Il y a prolifération cellulaire pour renforcer la musculature et la fonction. Elle s’accompagne d’une augmentation de la fréquence cardiaque. La phase active permet une plus grande adaptabilité. Elle peut conduire à une hypertrophie des oreillettes. 


Le sens biologique :

Comme pour le muscle lisse de l'intestin, il y a accroissement du tonus du myocarde. Le sens biologique est de rendre le cœur plus efficient.


En Pcl : 

On retrouvera la nécrose de la partie du myocarde concerné. Dans la phase de cicatrisation, on peut retrouver des fibroses telles qu'elles empêchent les valves de se refermer. Les fuites valvulaires correspondent à une récidive au bout de la cicatrisation fin de phase Pcl. Elles sont donc souvent liées à des impuissances par rapport au territoire du muscle cardiaque strié. 




les artères coronaires


Tissu classé dans l'ectoderme, la thématique principale est la conquête ou la reconquête du territoire masculin. Les pertes de territoire peuvent être totales ou partielles. 


Dans l'embryologie, les artères coronaires dérivent des arcs branchiaux. Pour Dr Hamer, il s'agit d'un ensemble d'artères branchiales, regroupant les vaisseaux suivants :

  • la crosse de l'aorte et les artères coronaires appelées second cœur : le conflit impliquera une impuissance de vitalité dans des combats,

  • Le tronc brachiocéphalique : impuissance avec les bras ne pas avoir pu garder, repousser quelqu'un dans une thématique de territoire,

  • Le réseau carotidien dont la thématique est une difficulté intellectuelle par rapport au fait de conquérir un territoire,

  • artères sous clavières impuissance à mener des combats pour porter ou éloigner un proche

  • veine pulmonaire, impuissance face à la mort.

Hamer place ici, les troubles du rythme cardiaque comme l'arythmie et les extrasystoles. 


Hamer classe dans ce FH avec le centre de l’érection, les vésicules séminales. On peut donc avoir des pannes dans la sexualité. Cela est logique, car pour pouvoir procréer, il faut déjà avoir son territoire. 

On retrouve les vésicules séminales : problématique de territoire dans une thématique de procréation.


Le FH

Le FH se localise dans le cortex péri-ventriculaire droit. 


Le conflit

Il s'agit du conflit de devoir lutter pour conquérir le territoire masculin. C'est la reconquête du territoire, la lutte pour reconquérir le territoire masculin perdu en partie ou en totalité. 

Archaïquement, un animal qui n'a pas de territoire est en danger de mort imminente. Il ne peut ni chasser, ni se reproduire. 

Le ressenti de perte de territoire peut s'accompagner d'une atteinte concomitante des gonades et des glandes mammaires. Le territoire le plus primitif est le nid. Ce conflit touche préférentiellement l'homme droitier et la femme gauchère avant ménopause, ou chez la femme droitière en pat (n'oublions pas la pilule qui l'a fait passer en pat hormonal, ou la ménopause). Petit rappel, le pat hormonal est un changement de la vibration basale du cerveau. Il a plusieurs conséquences, comme la modification de la perception de l'environnement et les changements d'énergie et de comportement. Sur l'énergie masculine, l'agressivité et le combat sont plus prépondérants que sur l’énergie féminine, soumission et fuite. 


Pour Hamer, il y a mis en place d'un pat hormonal si le territoire ne peut être acquis. L'objectif de ce pat hormonal est de faire passer l'individu sur l'énergie opposée, soit dans ce cas en soumission. Il s'agit du conflit du second loup, le sous chef qui n'arrive pas à prendre la place de chef. C'est ainsi qu'il assurera les meilleures chances de survie, atténuant la masse de conflit de par la survenue du pat hormonal qui modifie son ressenti. Si le chef vient à partir, le pat se lève et le second loup prend la place du chef.


En phase active

Il y a ulcération des artères coronaires avec des douleurs d’angor de poitrine associée à des douleurs rétro-sternales profondes. 

Les symptômes d'angor de poitrine peuvent être retraduit par les FH. En effet, les FH de l'estomac, du bras gauche, de la mâchoire, se situent à coté du relais des artères coronaires. Il faudra cependant penser à les associer aussi comme des facettes de conflit. 

Souvent le repos calme les douleurs car le repos mais en pause le conflit (on ne combat pas au repos). La trinitrine va entrainer une vagotonie et donc calmer les symptômes. 



Le sens biologique :

Le but biologique est d'augmenter le calibre de l'artère pour mieux perfuser le coeur afin de mieux maintenir le combat. Le sens biologique, in fine, est de véhiculer plus d’oxygène pour améliorer la perfusion des tissus. 



Dans la phase Pcl :

On observe une inflammation de l'intima de la musculeuse des coronaires. Souvent, une augmentation du cholestérol sanguin surtout dans la première partie de la phase Pcl peut l'accompagner. L'augmentation du cholestérol est fréquente pour tous les conflits de territoire régis par l'hémicortex droit surtout lorsque les voies biliaires et les hépatocytes sont touchés. La rancoeur, « rendre au cœur » permet de lâcher l'énergie nécessaire pour maintenir ce combat injuste. Ce cholestérol peut entrainer une diminution ou une obstruction de la lumière artérielle.


La crise épileptoïde

La crise épicycloïde ne pardonne pas. Le risque majeur est l'infarctus du myocarde caractérisé par des douleurs importantes et des troubles du rythme graves.

Pour Hamer, Il s'agit, en réalité, d'un phénomène cérébral car il s'accompagne de sueurs froides, de fortes angoisses, et d'autres symptômes neurologiques de centralisation qui se traduisent par des modifications de la conscience voire un état de choc. L'oedème cérébral de la crise épileptoïde amène un arrachement de synapses de la région concernée. Si la masse du conflit est importante, l'arrachement peut provoquer la mort cérébrale. « on meurt du cerveau, pas du coeur ».



Complication de l'infarctus du myocarde

Dans les deux à six semaines post infarctus, le syndrome de Dressler peut survenir. Il s'agit le plus souvent d'une péricardite liquidienne. Parfois elle s'accompagne d une pleurésie liquidienne, voire de complications pulmonaires. Ces patients ont eu un ressenti de très fortes douleurs dans la région précordiale lors de la survenue de l'infarctus avec une peur panique de mourir.



L'intima des veines coronaires 

L'intima des veines coronaires dérive des arcs branchiaux. Les fibres sensitives sont en liens avec le cortex cérébral. Les veines coronaires assurent le drainage veineux du myocarde. Elles aboutissent à l'oreillette droite. 

L'intima des veines coronaires renvoie au conflit de non acquisition de territoire dans une énergie féminine, ne pas réussir à maintenir ou perdre son territoire sur une énergie féminine 

On parlera aussi du centre de la fréquence cardiaque.


Lorsque Docteur Hamer traite les veines coronaires, il parle bien entendu des  : 

  • veines coronaires,

Auxquelles il faut ajouter : 

  • les veines jugulaires

  • les artères pulmonaires,

  • la veines cave supérieure. 

Hamer rajoute le centre de la fréquence cardiaque. En phase active, il y aura donc la tachycardie.


Le FH :

Le FH est localisé dans la zone péri-insulaire gauche du cortex.


Le conflit :

On parle de non acquisition ou perte du territoire sur une énergie féminine. Hamer parle du conflit « de la femelle qui ne peut pas être ou qui n'est pas couverte ». Nous pourrions prendre l'exemple de la biche qui n'a pas encore pu déterminer quel mal a gagné le brame. Nous pouvons parler ici de conflit de triangulation. Je ne me sens pas la femelle dominante, ou bien je me sens menacée sur mon territoire par une autre (la belle mère, la mère, l'ex, la pêche (oui j'ai déjà eu celle là au cabinet). Encore une autre hypothèse serait, je ne sais quels partenaires choisir (n'oublions pas les amour platonique, transit ou interdit). Une formulation qui parle aussi au patient est la suivante : je ne peux pas concilier deux autorités non conciliables : mon homme et sa mère, mon père et ma mère, ma mère et mon mec. 

On constatera des conflits d'accompagnement sur les ovaires en mésoderme nouveau et les glandes mammaires. Archaïquement, c'est la femelle qui ne peut pas être couverte : on parle alors de frustration sexuelle. Par extension, on peut parler de toutes les frustrations. 

Nous rappelons une autre façon d'exprimer le conflit :

  • être tiraillé entre deux autorités contradictoires,

  • ne pas avoir déterminé son territoire,

  • avoir deux mâles en lice,

  • frustration avec son homme, c'est une grande cause d'infertilité. Cela peut se traduire parfois par l'impression d'avoir était dupée sur la marchandise, ou d'avoir perdu une partie de son homme dans l'alcool, son boulot, ou ses amis. 

Si une femelle vit des grandes pertes de territoire, elle passe sur une énergie de conquête. Elle fonctionne alors sur son hémicortex droit : c'est la nymphomanie (cf. la psychiatrie). 

Le conflit des veines coronaires est souvent couplé à celui du centre de l'ovulation. En effet, dans la nature si le mâle alpha n'est pas déterminé, la femelle n'ovule pas pas.

Dans la triangulation, cela peut être deux femelles qui se disputent le même territoire : une femme et sa belle mère ou une ex qui envahissent le territoire partenaire.

Pour rappel, stricto sensu, le territoire féminin est le nid : l'endroit dans lequel tu mets le petit en tout sécurité. C'est la maison, tout ce que tu vas recevoir. Je pense à mon goût que cela est un peu simpliste pour les être humains polymorphes que nous sommes.

Le territoire masculin est le reste y compris le territoire féminin tout ce que tu dois conquérir, le territoire de chasse.



En phase active

On remarque des ulcérations des veines coronaires qui entrainent des douleurs poitrines. On parle alors d'angine de poitrine. C'est douleurs sont souvent derrière le cœur. Nous parlons alors de douleurs rétro-sternales profondes.


Le sens biologique :

Le sens biologique est d’augmenter la circulation du sang et ainsi intensifier le débit des veines coronaires. En parallèle,l'ulcération de l'exocol a pour sens biologique d’arrêter les chaleurs en se préparant à recevoir le mâle dominant, une fois le conflit résolu. 


en Pcl 

Une tuméfaction inflammatoire de l'intima des veines coronaires apparait dès le début de la Pcl, avec une multiplication cellulaire. Si elle est accompagnée par une plaque athérome, on rajoutera une facette de conflit : le manque et l'injustice (hépatocyte et VB) 

Dans la crise épileptoïde, il se produit : 

  • des spasmes pulmonaires pouvant aller jusqu'à l'embolie pulmonaire dont les symptômes sont l'oppression avec dyspnée.

  • une forte tachycardie accompagnée de douleurs importantes. 

  • infarctus du cœur droit : troubles de la conscience sensation d'anéantissement et frissons généralisées

  • des troubles de la conscience à des degrés variés. 



  1. Les vaisseaux sanguins

Les vaisseaux sanguins sont les structures qui assurent l'acheminement du sang dans toutes les parties de l'organisme. Ils forment un circuit fermé de tubes qui emportent le sang du ventricule gauche pour revenir à l'oreille droite. Nous parlons de la grande circulation. La petite circulation correspond au réseau partant du ventricule droit pour revenir à l'oreille gauche. 

Si nous mettons bout à bout tous les vaisseaux sanguins, nous obtiendrons pas moins de 100 000 km de tuyauterie. 



Les Veines :

Les veines sont ubiquitaires dans le corps, c'est à dire qu'elles sont présentes absolument partout. Elles sont toutes couplées à une artère. Souvent, on retrouve plusieurs veines pour une artère. 

Elles ont une fonction de drainage et ramènent le sang non oxygéné au cœur droit. C'est une énergie négative au sens retour à soi, on parle alors d'énergie féminine. Hamer les classent dans le mésoderme nouveau.


Les FH :

ils se situe dans la substance blanche en regard du squelette sous-jacent.


Le conflit :

Provenant du mésoderme nouveau, le conflit est l'expression d'une impuissance dans les liens de sang, par rapport à des personnes très proches ou du nid. On peut aussi parler de dévalorisation avec une problématique de filiation, de devoir purifier éliminer quelque chose sur une énergie féminine. L'endroit concerné rajoute une information supplémentaire. Ainsi une veine du membre inférieur implique un conflit de dévalorisation par rapport au lien de sang en rapport à une notion de déplacement : devoir quitter le nid alors que je ne veux pas par exemple, ou me marier avec le voisin que je n'aime pas et emménager à coté de mes parents. Guinée exprime l'exemple d'une de ses patientes ayant présentée des varices malléolaires suite à une grossesse non désirée. La patiente parlait de son enfant comme un boulet qu'elle sentait au niveau de son pied.

Nous penserons pour la veine touchée à chercher en fonction de la latéralité : 



En phase active 

L'intima de la veine nécrose. Cela peut s'accompagner de crampes. En cas de conflits répétés, un anévrisme peut se constituer. L’anévrisme est plus communément appelé varice. Une rupture peut alors survenir lors d'un traumatisme mineur. 


Le sens biologique : 

La nécrose permet d'augmenter le débit veineux en accroissant le diamètre de la veine. 


En Pcl :

Dans cette phase de réparation, nous retrouvons une inflammation qui peut aller jusqu'à la phlébite ou thrombophlébite. Durant cette phase inflammatoire aiguë, il peut y avoir une interruption de la circulation veineuse, ainsi qu'une formation d'oedème en amont de l'obstruction. Nous retrouvons aussi les phlébites avec une paroi épaisse de la veine qui survient en cas de Pcl récidivantes. 

Dans la crise épileptoïde, nous pouvons retrouver les crampes. 

le sens biologique de la Pcl est de renforcer la paroi artérielle .


Les hémorroïdes signent une grande dévalorisation dans les liens de sang par rapport à son identité, sa place. Il s'agit d'une Pcl. Lorsqu'une femme déclenche des hémorroïdes après la naissance de son enfant, nous devrions rechercher dans l'histoire des aïeux, une problématique d'enfants non reconnus, d'un différent nid, d'une fille rejetée car elle était enceinte hors mariage. Si les hémorroïdes apparaissent après un mariage, il faudra chercher les mésalliances ou les mariages forcés chez les ascendants. Il s'agit des problématiques de filiation, de nomination.


L’insuffisance veineuse chronique s'accompagne de lourdeur dans les jambes puis d'oedème. Elle renvoie à des écroulements d'existence au niveau des liens de sang dans une notion de déplacement. Il n'est pas étonnant de les retrouver fréquemment chez les immigrées. 

Une pathologie de Pcl qui revient fréquemment est l’ulcère variqueux.


Les artères :

Dans cette partie, nous parlerons de toutes les artères sauf les artères coronaires et associées. Comme les veines, les artères sont ubiquitaires, présentes dans tout l’organisme. D’origine mésodermique, Hamer les classe dans le mésoderme nouveau. 

Elles véhiculent le sang oxygéné. Elles sont les conduits qui amènent le sang vivifié aux différents tissus (à l'exception des artères pulmonaires). Le sang vivifié est considéré pour Hamer comme un sang nouveau, dont la fonction est de nourrir, d'oxygéner les tissus. 


les FH : 

Ils sont aussi dans les zones péri-ventriculaires de la substance blanche. 



Le conflit :

Il s'agit d'un ressenti de dévalorisation de soi en rapport avec la filiation, de devoir vivier, fortifier, nourrir, quelqu'un ou quelque chose dans les liens de sang. La localisation se produit de manière spécifique en lien avec le squelette sous-jacent. Les artères renvoient à la capacité d'être joyeux, ne plus être dans les combats dévastateurs. 


Phase active : 

Elle se manifeste par une nécrose de l'intima associé presque toujours à la musculeuse en rapport à la masse du conflit . 

En cas de conflit actif en balance et répété, la paroi devient de plus en plus mince et le risque de formation d'anévrisme augmente. Cet anévrisme peut finir par se rompre, soit dans la phase active, soit en crise épileptoïde. Cet anévrisme peut arriver sur n'importe quel endroit du réseau artériel, cependant, en fonction de sa localisation les conséquences ne seront pas les mêmes.

le sens biologique :

Le sens biologique est d’augmenter le débit artériel par accroissement de la lumière de l'artère. 

En Pcl :

La phase de réparation se manifeste par une prolifération cellulaire et une phase inflammatoire. Ce phénomène aboutit à la formation d'une plaque athérosclérome. L’athérosclérose constituée par un dépôt graisseux signe la présence d'un conflit de territoire, dans une problématique de manque et d'injustice. la présence de ces plaques de cholestérol montre une atteinte du foie(manque) et de la vésicule biliaire, (colère). 

Sinon l'artériosclérose sans plaque provoque une paroi artérielle un peu plus épaisse associée à hypertension diastolique (chiffre le plus bas). En fin de Pcl, la paroi de l'artère devient plus épaisse et rigide. 

La crise épileptoïde peut entrainer dans un contexte d'hypertension artérielle, une rupture d'anévrisme .

Le sens biologique de cette phase est, en présence du cholestérol, colmater les fissures de la paroi artérielle. 


On retrouvera le Syndrome de Raynaud en crise épilpetoïde. Le froid renverra à toutes les impuissances à ré-insuffler la vie. Très souvent, on retrouve les contacts avec les morts, les mises en bière. 



Le muscles lisses des vaisseaux sanguins : 

La thématique du conflit est identique à celle des muscles lisses de l'intestin. L'évolution de cette musculeuse sera similaire aux muscles lisses de l'intestin.

Le conflit des muscles lisses des artères renvoie à une impuissance, une peur à ne pas pouvoir faire avancer la contrariété dans une notion de combat dans les liens de sang. Pour les muscles lisses des veines, le conflit est une impuissance à éliminer, ne pas pouvoir faire avancer quelque chose dans les liens de sang. 

Les crampes apparaissent dans les contextes de sympathicotonie, sur le trajet de l'artère en lien avec la spécificité de l'artère. 


Dans le cadre de l'obstruction artérielle, on trouvera aussi les voies biliaires et le foie car il y a intervention du cholestérol. Le cholestérol étant produit par le foie, on retrouve la thématique du manque. La vésicule biliaire est en lien avec les colères. Donc, on retrouvera des vieilles ruminations en balance. Les plaque d'athérome va se déposer sur les artères enflammées. 


Nous rappellerons que l'hypertension artérielle est abordée avec les corticosurrénales dans le chapitre d'endocrinologie car elles produisent l'angiotensine. 


  1. Le sang

Le sang transport diverses substances, nutriments et oxygène, des déchets, des hormones, et des cellules immunitaires, à travers tout l'organisme. Le sang intervient aussi dans la régulation du pH, la température corporelle. La sang participe au maintien de l'homéostasie. Il contribue donc à maintenir des combats, éliminer, et reconnaître le soi du non soi. 

Le sang est constitué de deux grands composants : le plasma, et les éléments figurés du sang. Le plasma est une matrice liquidienne aqueuse. Les éléments figurés du sens sont composés de cellules et de fragments de cellules. Passé à la centrifugeuse pour séparer le plasma des éléments figurés, la composition du sang est de 45% d'éléments figurés pour 55% de plasma. Les éléments figurées sont représentés pour 99% de globules rouges autrement appelé érythrocytes. Au nombre de 5 400 milliards par litre de sang, les érythrocytes contiennent l'hémoglobine. L'hémoglobine, de couleur rouge, permet le transport de l'oxygène. 

Le 1% restant se compose de leucocytes (globules blancs), et des thrombocytes (plaquettes). Dans les leucocytes nous pouvons les diviser en fonction de leurs formes et de leurs fonctions en granulocytes, lymphocytes, monocytes, granulocytes éosinophiles. Leur fonction est de reconnaître ce qui appartient à l'organisme et ce qui est extérieur, ce qui est du soi et du non soi. Ils participent en fonction de la quatrième loi au déblaiement des structures non nécessaires surtout pour les granulocytes et la réparation de la structure et la remise en fonction pour les lymphocytes. Cette réparation se fait de paire avec les micro-organismes (on sort du dogme classique)

Voila pour la fonction de chacun, maintenant voyons pour la formation de toutes ces petites cellules. 

Schéma récap 

La plus part des éléments figurés du sang ont une durée de vie de quelques heures, jours ou semaines, à l’exception des lymphocytes. L'organisme doit donc les remplacer constamment. Je ne rentrerai pas dans les mécanisme de rétroaction entre le rein qui secrète érythropoïétine (EPO) qui stimule la production de globule rouge, ni le mécanisme de destruction par la rate et le foie des érythrocytes usés. La formation de globules rouges porte le nom d'érythropoïèse. Ce mécanisme se déroule dans la moelle rouge des os. La moelle osseuse est un tissu extrêmement vascularisé que l'on retrouve dans les os longs comme le fémur à la différence de l'omoplate qui est un os plat. La moelle osseuse forme au départ, des cellules non spécifiques, dites pluripotentes (elles peuvent prendre plusieurs potentiels en fonction des besoins). Au fil de transformations, ces cellules souches deviennent soient des globules rouges ou des globules blancs. Pour aborder le sang, nous allons donc étudier le comportement de la moelle osseuse, lieu de formation des éléments du sang, et de la rate, lieu de stockage de certains éléments figurés du sang. 


La moelle osseuse : 


La moelle osseuse crée tous les éléments figurés du sang, fer, globules rouges etc, garde l'intégrité du taux des globules blancs et des plaquettes. 


Le conflit :

Il s'agit de la plus profonde dévalorisation de soi, être touché dans ce qui est le plus dur, le plus profond. Il est souvent inextricable de l'os. Les phrases que l'on peut entendre sont : 

  • « Je suis rien je suis nul. »

  • « J'ai l'impression d'être nier ».

  • « je suis rien » (anagramme de nier). 

  • « Personne ne m'aime ici. »

    Il est très proche du conflit d’identité ne plus avoir sa place. 

Ce conflit est très souvent couplé à une problématique de territoire, de reconnaissance. Comme beaucoup le disent, être reconnu, avoir un nom, cela se fait par le père, ce n'est cependant pas toujours l'affaire du paternel. Nous pouvons ainsi citer les exemples suivants : 

  • Impuissance de retenir quelqu'un dans une notion de grande dévalorisation.

  • Impuissance face à des parents qui se quittent

  • au décès d'un proche,

  • la mort d'un animal. 

Une autre façon de l'exprimer est la plus grave dévalorisation de soi par rapport au lien de sang, voire du milieu dans lequel on se reconnaît. Nous pouvons parler de combat dans les liens de sang, ne pas pouvoir maintenir les liens de sang. Le conflit touche l’entièreté de la personne. L'os atteint donnera une facette, une spécificité dont nous verrons les tenants et aboutissements dans le chapitre sur le squelette. 

Dans le langage courant, nous pouvons utiliser des expressions comme être touché jusqu’à la moelle, tu l'as dans l’os, qui exprime la dévalorisation la plus profonde qu'il soit. Dans les exemples que l'on peut citer on retrouve les échecs scolaires ou échecs sportifs - car c’est grâce au sport que tu as ta place familiale si tu n'obtiens pas de bons résultats à l'école. Les parents qui ont un poste à responsabilité et dont l'enfant a peur de ne pas en faire autant. Une leucémie se déclarant chez un enfant de 6 mois devra nous amener à chercher de grosses difficultés à 6 mois à de grossesse ou en transgénérationnel, comme des difficultés majeures avec la famille ou des pertes d’enfants. Etc. 

Tous les enfants qui manquent de confiance en eux présentent de grandes dévalorisations. Et nous avons tous vécus des difficulté dans les liens du sang. 



Le FH : 

On va retrouver le Fh dans la zone péri ventriculaire : 


Phase active :

Appartenant au mésoderme nouveau, en phase active, il y a destruction de la moelle osseuse provoquant la diminution des éléments figurés du sang. Si la masse de conflit est forte, la médecine allopathique appelle cela la leucémie. 

La leucémie se bâtit sur une structure de personnalité la plus gravement dévalorisée mais ce qui peut la déclencher concerne des dévalorisations plus spécifiques. 


la phase active se caractérise donc par une nécrose de la moelle osseuse très souvent associée à une ostéolyse pouvant conduire à une fracture osseuse.

Les différentes localisation des atteinte renvoient fidèlement aux facettes du DHS.


La nécrose de la moelle osseuse en phase active entraine une chute des éléments figurés du sang thrombopénie (chute des plaquettes), anémie (baisse des globules rouges) etc. La phase active est toujours INDOLORE : 


dans les phase active, la moelle osseuse donnera un tableau affectant la formule sanguine : 

  • agranulocytose : réduction de granulocytes (globules blancs)

  • aplasie médullaire : chute de tous les éléments figurés

  • anémie : touche les globule rouge, maintenir les combats.

  • thrombopénie : hypoplaqurétose renvoie à des manques de cohésion du clan.

  • SIDA, destruction des lymphocyte T4. Il serait pour Hamer une phase active dont le conflit est une impuissance dans les liens de sang , plus précisément une aberration dans les liens de sang de reconnaissance. Je ne sais pas me reconnaître dans les liens de sang. 

    • Enfant né sur inceste. 

    • consanguinité 

    • ne pas savoir qui est son père

    • secret sur la paternité


le sens biologique 

il faut fragilisé l’os et l'ensemble de l'organisme car l’affrontement est trop difficile.

je suis à bout de force de devoir lutter pour maintenir les liens de sang.


En Pcl : 

Elle se caractérise au début de la phase Pcl, par une forte inflammation, puis une reprise de proliférations cellulaires. Le début de phase Pcl se manifeste par une grande grande fatigue. Très souvent, il s'agit du motif de consultation médicale. Le cerveau l'interprète comme une récupération d’une énorme hémorragie car la chute des éléments figurés est considéré par le cerveau comme une forte perte de sang. 



Dans les pathologies de Pcl, nous trouvons : 

  • Le purpura thrombopénique : elle se caractérise par le fait que le moindre choc entraine un bleu. Le conflit est une grande difficulté dans les cohésions. Corbeel prend l'exemple de d'une jeune fille qui a subit un évincement de ses trois meilleures copines. Cette adolescente avait comme programmant  une grande difficulté avec le père de la mère au début de la grossesse.

  • Leucémie : dès la conflictuelle, une dilatation des vaisseaux augmente la thrombopénie et anémie. L'inflammation entraine une augmentation du volume sanguin, et les éléments figurés sont de facto plus dilués. Il n’y a pas moins d’éléments mais il y a un plus gros volume. Le tableau clinique semble alors s'aggraver. Elle s'accompagnera les semaines suivantes de fortes douleurs. On distinguera plusieurs types de leucémies : 

    • la leucémie classique : phase Pcl sur impuissance dans les liens de sang, un combat dans la famille, une incapacité à maintenir les liens de sang. 

    • La leucémie aiguë : caractérise des patients qui ont une faible capacité à nuancer l'hyper stress. Elle concerne surtout les enfants et les vieillards. C'est eux qui vivent les plus grandes dévalorisations.

    • La leucémie chronique, c'est une Pcl en balance 

  • C’est dans cette phase ci que l'on trouve les saignements 


Petit rappel du sens biologique : 

  • globules rouges : notion de combat dans la filiation verticale : ascendant/descendant 

    • mon enfant est de mon sang. Incapacité à maintenir le combat. 

  • Plaquette et facteur de coagulation : problématique de ne pas pouvoir maintenir les liens de sang, la cohésion du clan. 

  • Mastocytes participe à l'Oedème de Quinck ; le conflit est une grande peur où le danger de mort est imminent. 

  • Polynucléaires éosinophiles : polynucléaires éosinophiles interviennent dans les ressentis de séparation et de perte de cohésion des liens du groupe. 

  • Polynucléaires basophiles : situation semblable faisant intervenir les mastocytes : parenté 

  • Lymphocytes T ont pour fonctions essentielles de capter et de transmettre les informations. 

  • Les lymphocytes B interviennent dans des situations d'attaque et de défense. 

  • Le fer : il permet l’action. 

    • Chute de fer : circonstance où je me suis senti amoindri dans ma capacité à faire face : actif. 

    • Augmentation du fer : dévalorisation de soi dans le fait de ne pouvoir régénérer la filiation : hémochromatose. 


la rate : 





La rate est le plus gros ganglion lymphatique de l'organisme. Elle est située dans l'hypocondre gauche juste en dessous du diaphragme. Chez le fœtus, elle participe à l’élaboration des éléments de la formule sanguine puis elle sera le réservoir de cellules sanguines. La pulpe blanche contient les lymphocytes et les macrophages. La pulpe rouge stocke en plus des plasmocytes et des érythrocytes. La rate permet l'élimination des cellules du sang usées, l’emmagasinement des thrombocytes. Cela permet en cas d'hémorragie de libérer des plaquettes pour faciliter une cicatrisation rapide. Elle peut donc se contracter en cas d'hémorragie ou de poussée d’adrénaline. La rate possède la capacité de se contracter après un effort afin de permettre la capacité de maintenir le combat. Ne dit-on pas courir comme un dératé ? 

Elle fonctionne de paire avec le sang et les os .


Le conflit :

Il s'agit d'une impuissance dans les liens de sang ou dans une notion de perte de sang, ressenti comme grave. On retrouve alors dans le réel toutes les hémorragies et les fortes pertes de sang. Dans le virtuel, nous parlerons plutôt de se sentir fortement blessé. Nous retrouverons alors les phrases comme : 

  • je me sens blessé,

  • mon cœur saigne,.

Le cerveau ne fait pas la différence entre une perte de sang ou un apport de sang. Nous pouvons donc avoir un conflit sur une transfusion. 

Dans les exemples que nous pouvons trouver fréquemment, nous citerons : 

  • les premières règles vécues comme une énorme peur,

  • une personne qui saigne et qui se vide de son sang, 

  • une grave hémorragie sur les naissances. 

  • Une blessure virtuelle. 


Le FH : 

Il se situe dans la substance blanche dans l'hémicortex droit en regard des thoraciques basses.


En phase active : 

Il y a formation de nécrose avec une chute de plaquettes nommée thrombopénie. La rate capte et met en réserve les thrombocytes afin d'éviter de les perdre dans le saignement. Une fois le saignement diminué, elle les restitue dans le sang pour pouvoir au mieux cicatriser lorsque les premiers dépôts de fibrine sont apparus.


En Pcl : 

Dès les premiers mécanismes de réparation de la plaie apparus, les spasmes de vaisseaux sanguins ainsi que les plaquettes vont rapidement remonter dans le sang pour colmater la brèche.

En cas de récidive, une réparation luxuriante de la rate peut se faire remarquer. Cette splénomégalie peut rester. Le but biologique est de garder plus de sang au cas où une nouvelle attaque arriverait.