samedi 13 février 2021

la cinquième et la dernière loi de la lecture biologique

 Cinquième loi : la quintessence 


La quintessence signifie « ce en quoi se résume l'essentiel et le plus pur de quelque chose ». La quintessence est l'aboutissement ultime de la mutation. Quintessence, l'essence des cinq, la perception globale de nos sens ou bien pour certains, la perception au-delà de nos cinq sens. Comme dit Patrick Burensteinas : « persévérer, percez et vous verrez ». En effet, la 5ème loi s'approche de la recherche de la pierre philosophale de l'alchimiste. Pour ainsi dire, j'aime l'appeler la quête de sens.Trouver un sens à la maladie, comprendre un sens logique au-delà du voile du pathologique. A travers cette loi, Hamer nous invite à changer nos paradigmes du rapport à la maladie et tente de nous apporter une corrélation logique entre nos symptômes, nos ressentis et notre psychisme. 


Cette loi nous ouvre, en effet, sur une nouvelle compréhension de la maladie et du monde du vivant. Cette dernière loi apparaît plus tardivement dans les écrits de Hamer, même si bien qu'informelle, elle fut en arrière plan de tous ses travaux. L'idée que pratiquement toutes les maladies, ne sont pas dues au hasard, mais l'expression de l'effet d'un programme ordinateur bien spécifique est déjà inscrite dans la thèse présentée en 1981. Il faudra cependant attendre 1994 pour que Hamer publie un ouvrage sur cette cinquième loi.

Pour lui, il s'agit de la clef de voute de toute sa thèse. Elle est l'articulation logique des quatre lois précédentes. Cette cinquième loi nous amène à devoir regarder la maladie sous un angle nouveau, logique, et sans état d’âme. L'approche n'est donc ni psychologique, ni émotionnelle, ni symbolique. Ne cherchons pas non plus, dans le symptôme, un quelconque sens moral, punitif ou autre. Il nous faut redescendre des sphères intellectuelles, religieuses et culturelles et être le plus très terre à terre possible. La Nature n'a pas d'état d’âme, Si la Vie a toujours pu s'adapter, il ne semblerait pas que le hasard y soit pour quelque chose. Elle s'articule par des phénomènes de causes et d'effets. La maladie n'échappe ainsi pas à cette règle. Ainsi, s'il faut sacrifier un membre du clan pour que la tribu survive, pour la Nature cela est tout à fait juste et justifié. De même, un symptôme peut permettre de la mise en sécurité d'une personne. Nous parlerons de bénéfices secondaires. Si la paraplégie protège un individu, alors cela est nécessaire. 



Hamer formule sa cinquième loi ainsi : 

« Toute maladie doit se comprendre comme étant une partie d'un programme spécial de survie, soit un gain de temps, plein de sens, et mis en place par la nature tout au long de l'Evolution ». 



Hamer rajoutera que « cette loi est en quelque sorte la quintessence des quatre précédentes, elle nous ouvre aussi une nouvelle dimension dans notre compréhension de la maladie, nous reliant à l'ensemble du monde vivant dont nous participons.»


L'idée de cette cinquième loi est que pratiquement toutes les maladies, et pas seulement cancéreuses, ne sont ni fortuites, ni accidentelles. Elles sont l'expression de l'effet d'un programme ordinateur en réponse un sur-stress. Il n'y a plus de fatalité, et les programmes peuvent être stopper ou supprimer du moment que le conflit ait trouvé une résolution. 

Cette loi ne peut que nous amener à rechercher le sens biologique intelligent, au delà des apparences, des symptômes inhérents à chaque maladie. La maladie sera donc divisée en deux phases avec pour chacune des programmes spécifiques, tissu par tissu. Elle permet de mettre en relation avec eux des nombreuses pathologies qui en sont autant d'expression de programmes archaïques de survie, selon la phase considérée. Nous devrons alors rechercher l'avantage que provoque le symptôme en prenant en compte sa fonction, dans un contexte large de survie. Ainsi, par exemple, une douleur durable, nous empêchera de maintenir un combat trop épuisant. Nous chercherons toujours ce que l'invariant biologique apporte comme avantage momentané. Rappelons nous que l'a plus part du temps, l'avantage sera dans la phase active. La plus part des douleurs forcerons seulement le repos pour récupérer plus vite. Une diarrhée n'a pas d'avantage en soit, il s'agit d'une libération après avoir tenu le coup. Le programme est mis en place par notre inconscient au moment du DHS, commun avec tous les êtres vivants en fonction d'une perception.

Cette théorie sera appuyée en 1999 par le professeur Israel, lorsqu'il évoque qu'il est convaincu que le cancer ne serait pas une pathologie en soit, mais plutôt un processus biologique inextricable à l'apparition de la vie sur terre, un programme génétique hérité des premières bactéries apparues à la surface du monde. Le cancer est un programme SOS, un mode turbo de divisions cellulaires pour s'adapter à l’environnement. Le cancer ne serait qu'un programme de survie, un mode turbo pour trouver une solution logique à un problème environnemental. Les symptômes sont donc des invariants biologiques en rapport direct et constant entre le ressenti archaïque du patient ou de l'animal et l'expression du programme biologique archaïque correspondant au tissu de l'organe qui l'exprime. L'une des questions à se poser pour comprendre l'invariant biologique est de déterminer quel avantage momentané en terme de survie, le fonctionnement de la pathologie apporte à l'organisme.

La prise de conscience par le patient du fonctionnement de ces programmes biologiques en rapport avec la maladie est un élément important pour sa guérison. Son adhésion à l'évidence de ces liens aux niveaux psychique-cerveau-organe, bien au-delà de la simple compréhension intellectuelle l'aidera à oser vivre autrement que dans l'impuissance la plus totale face à sa maladie. La pathologie ne sera plus vécue comme une malédiction fataliste. Et il pourra reprendre le contrôle des peurs liées à cette dernière. Pour cela, le malade devra alors changer ses croyances, son rapport au monde afin que son organisme ne soit plus obliger de s'adapter à une réalité vécue comme hostile. 



En résumé : 

le cancer et toutes tuméfactions ne seraient que l'expression de programme de survie, un mode turbo, pour trouver une solution logique à un problème environnemental appelé sur-stress. Par rapport à une même pathologie (modification du fonctionnement d'un organe), ce sont toujours les mêmes zones du cerveau qui sont impliquées par un même ressenti : c'est que l'on appelle un invariant biologique. La maladie évolue alors de manière pré-programmer suivant deux phases décrite par la seconde loi. En fonction de la classification des tissus nous pouvons comprendre l'évolution du tissu concerné en fonction de la troisième loi. Enfin la quatrième loi nous propose une autre vision du monde microbien, sort de symbiose synergique à la réparation de l'organisme. 



jeudi 11 février 2021

éthique thérapeutique

 L'Ethique thérapeutique


Un jour un de mes maitres m'a dit : « arrête de faire un soin. Sois le soin. »


Bonjour, je vous propose une dissertation de deux heures, et de deux copies doubles sur ces quelques mots. Il m'a fallu quelques heures, quelques jours ou en réalité plusieurs mois ou années pour comprendre ces quelques mots qui ont souvent raisonnés dans ma tête. C'est quoi le mode d'emploi ? Comment peut-on être quelque chose que l'on est censé réaliser... commettre être et ne pas faire ? Suis-je « censé » ou bien « sensé » ou bien « sans ai » ou encore « sens est » être le soin ?

On repart sur 4 heures de dissertations et autant de pages. Oui, mais si je suis,qui fait ? Cela vient d'où ? Mais alors il y a un truc plus grand ? On ne voit pas les petits cailloux laisser sur le sentier comme un post qui dit : « le thérapeute ne guérit pas, il « prend soin ». c'est le vivant qui guérit. Le thérapeute n'est là que pour mettre le patient dans les meilleures conditions possibles pour que le vivant agisse et que la guérison advienne »

Trois années et et quatre mois et d'innombrables questions intermédiaires, aucune réponse ne semblait germer...Voilà ce qu'est le chemin de l'initiation... une phrase, une ouverture, le néant, et tu te démerdes. « Vincent quand tu penses, tu n'es pas... tu refroidis » mais Merde putain ! T'es chiant à la fin ! ça veut dire quoi ça encore ???! Alors on cherche... et plus on cherche, plus on se pose des questions, plus on peur et plus.... non non on n'avance pas. Alors on réfute. On oublie ou du moins on veut oublier. Et un jour, alors que la phrase est perdue dans la tête, elle revient mais d'une autre manière. Elle ne fait pas évidence... Elle est l'Evidence. Ne fais pas un soin, sois un soin . « Sois un soi Un ». Merci, mes recherches diverses qui ne semblent pas faire de sens de Spinoza à Tolle, en passant par Dispenza et Matthieu Ricard avec un détour par Patrick Burensteinas. Ces auteurs n'ont rien à voir, en parfois. Et puis, j'oublie ce qu'ils m'ont enseigné. Et un jour, alors que je peins, que je cours en forêt,que je suis simplement à ce que je fais, née l'Evidence. Soin = Sois un. Sois un avec quoi ? Sois Un avec ton patient ? Alors j'ai essayé mais comment faire quand il était volatil... la langue des oiseaux ne suffit pas alors. Peut-être que faire Un c'est avec moi même... quelques années pour unir les parties de moi semble facile dans le milieu professionnel. Cela ne suffit pas pour autant. L'Ego, le Mental est encore là. Je veux encore bien faire. Je veux encore faire pour être et je ne comprends toujours pas comment Etre pour faire. Sois Un, merci Don Miguel Ruiz, Annick de Suzenelle pour l'enseignement dont je n'ai pas été assidu. Sois Un avec la Vie. Sois Un avec la Lumière (merci Lucile). J'ai eu du mal à comprendre que la Lumière, la Vie, Dieu c'est l'Amour.... Merde encore un grand concept. L'Amour de moi, de l'Autre, de la Vie. Sois Un c'est ne plus être là et Etre dans Tout. C'est écrouler l'Ego, ne plus vouloir, ni pour moi, ni pour l'autre et gouter à la Sagesse de la Vie, à sa Justesse. Comment savons-nous que nous sommes dans l'Amour ? Uniquement lorsque nous n'avons plus de jugement. Le jugement nous sépare, le Juge-ment tout le temps car il vient de notre mental. Il nous individualise. C'est normal, le jugement vient de l'Ego. L'Ego c'est notre mental, nos conditionnements, nos enfermements, ce que nous pensons de nous et du monde avec des oeillères. L'Ego nous divise et on en oublie que nous appartenons tous à un grand tout, que nous avons toujours été connectés. L'Ego c'est le « Moi je suis mieux ». Et j'en oublie que j'ai les mêmes besoins que mon voisin car je suis... pareil. En réalité, je suis lui. Je ne fais qu'un. Si chaque atome garde la trace, la liaison de tous ses contacts, et que nous venons tous de cette incroyable explosion de la création de l'univers... le Big bang... ba alors je suis relié par tous mes atomes, à tous les atomes de mon voisins et de l'Univers. Je ne suis pas séparé. je suis connecté à lui... et si j'appartiens à une grande matrice comme veut nous le faire croire la physique quantique alors je suis lui. Je vibre avec lui, je danse avec lui. Comme je l'ai déjà verbalisé, je suis une cellule du monde comme un hépatocyte de mon foie, et bien qu’éloigné d'une cellule musculaire du pied, je fais partie d'un même ensemble. Alors si je ne pense qu'à ma fonction de stoker du sucre sans penser au besoin de la cellule musculaire à l'autre bout de l’organisme, je fais bugger le système... Si je ne pense qu'à moi alors le système du voisinage, ou de l'humanité, ou de l'écosystème terrestre, risque de dysfonctionner... être le « soi un », c'est donc taire mon Ego, le mettre à bas. Mon avis, mon identité, mes enjeux s’effondrent... nous rentrons dans une autre dimension, améliorer l'humanité... en toute modestie, certes, mais cela nécessite de prendre part à des jeux plus grands que nous, au delà de moi, de mon patient. L’impact est plus large... Matthieu Ricard appelle cela l'Amour Altruiste.

Le Soi Un nécessite aussi de contacter les fores de Vie, celles qui ont toujours su s'adapter, évoluer et trouver toujours plus de ressource. Alors non, je ne fais rien quand je pratique. Maintenant je l'avoue, je suis un ; Un avec la personne en fasse, Un avec son bourreau, Un avec contexte sociétal, l'environnement familiale de chacun, Un avec la Nature qui me recharge, Un avec le Vie. Merci Amaho, j'ai détesté ton livre... du moins au départ. Je ne suis ni bon, ni mauvais, ni intelligent ni bête, ni joyeux, ni triste, je suis la Vie. Je me laisse juste transpercer par Elle. Cela vous paraît bizarre ? Génial à moi aussi au départ. Cela attisera votre curiosité comme la mienne a pu être piquée. Il ne faut pas le mentaliser, L'Ego n'aime pas ces principes. Il faut le vivre. 

Il y a peu, j'ai assisté à la cérémonie de crémation de ma Maman bis, ma collègue. Son gendre m'a appris ce qu'est un « Soi Un » dans un moment de douleur. Son gendre est chanteur. Il arrive devant le cercueil de sa belle Maman, et quand il ouvre la bouche pour chanter, il rentre dans une transe. Il est Un avec la musique, l'art, sa belle Maman et la douleur de tout le monde. Il est là, en étant ailleurs. Il transcende ce qu'il vit en se connectant à la Vie. Il transe-cendre (au delà des cendre) Alors il danse, il chante, il tape dans les mains. Que c'est beau, émouvant. Ce n'est plus lui... c'est la Vie qui le traverse. Il est « Soi Un » avec Elle.... Puis la musique s'arrête. Et il regarde le cercueil. L'Ego revient, la douleur, la souffrance aussi. Alors, il pleure...

Soi Un avec la Vie pour te Gai Rire. Connecte toi à la vie pour sentir la Vie. Alors comment on fait pour se soigner. Ba encore une fois la langue des oiseaux a tout prévu. Pour Gai Rire, il faut se Soi Nier. Oublie qui tu es, comment tu te définis. Tu n'es pas tes croyances, pas ce qu'on t'a dit, tu n'es pas ton boulot, ton rôle social ou ton identité familiale. Tu n'es rien en soit, même pas un minuscule gain de sable au milieu d'une plage. Effondre ton Ego, tes enjeux (jeu – en, le Je à l'intérieur de moi, si c'est pas l'Ego ça!!!). Alors seulement tu seras la plage, l'Océan le Ciel et tout le reste. Et tu verras, la Vie est simple. Ainsi tu pourras revenir sur le présent et rire ni de ton passé, ni de ton futur seulement de ton présent. La Vie est (un) Présent. Le Soi Nier ce n'est pas s'oublier complément. Il s'agit de prendre conscience que nous appartenons à un Grand Tout. C'est se connecter aux autres. C'est s'ouvrir au changement et changer. C'est s'offrir à l'Inconnu. Soi nier c'est faire les choses avec le Coeur dans l'interêt des autres et d'expérimenter que le don nous permet de récupérer au centuple (C'était marqué dans la Bible). L'effondrement de l'Ego permet de souhaiter le meilleur à notre ennemi. L'Amour altruiste bouddhiste nous invite à souhaiter que tout le monde trouve son antidote à sa souffrance dans l’intérêt que l’humanité. C'est ainsi que je vois l'action de Soi nier. Mon avis n'importe pas, il faut que chacun trouve son antidote à sa douleur.... c'est le renoncement de l’imposition. C'est une proposition, un don de la Vie par soi... sans volonté. 

Lorsque le patient sort de son tumulte et sort de son Ego et qu'il peut de connecter à la Vie alors on sent un changement énorme. Il n'est plus lui, il est juste « ni est ». Alors il renait avec la conscience que ce qu'il a vécu est connecté à plus grand que lui. Son égo s'effondre aussi. Un sens jailli. Alors souvent il « sous ri » - le rire du dessous. Il ne manque alors pas grand chose pour gai rire. Il faut juste le gonfler, trouver du positif à tout cela. Et comme dit Coluche, on peut rire de tout mais... on peut rire de tout quand la Vie danse avec nous.


Pour revenir, l'Ego nous fait penser qu'il faut faire. Que c'est moi et le moi qui doit « fer » fini en prison des fers. L'égo nous « en- fer-me ». L'égo me ferme à l’intérieur de moi. Je suis alors brancher sur la souffrance de mon égo. Je l’alimente en permanence, le nourrir et lui donne raison. Tout l'art de notre « guerre is on » et de faire la guerre à ce dernier. La guerre unissons. Il faut alors sortir de la dualité à l'unité rentrer dans le divin, le Di qui devient Un. La personne qui me fait du mal à la même violence que j'ai en moi. L'un en mode positif : vers l’extérieur, l'autre en mode négatif : vers l’intérieur. Alors elles se confrontent et se confortent mutuellement (une lettre change fortement le sens). Et cela fait mal. Je reproche alors à l'autre la violence que je m'inflige. Quand nous arrivons à reconnaître que nous portons la même souffrance alors un point d'union se crée. 

L'analyse des interactions comportementales nous permet alors de comprendre les comportements qui engendrent ces interactions pour en prendre une responsabilité et ainsi, il n'y a plus de dualité. Juste un lien de causalité . On rentre dans l'union même avec notre bourreau. (je sais que cela peut être difficile à entendre, cf chapitre sur le Pardon). C'est ce moment d'union qui permet le pardon... uniquement celui là. Et ainsi, si nous le voulons chacun reprend sa part - sa part de responsabilité, de fierté ou de honte, s'il le souhaite. 

Se Soi nier, c'est aussi considérer que ma petite souffrance à surement déjà été visitée et dépassée par d'autres avant moi. Je pourrai alors m'unir à eux pour obtenir le consulatum – seul dans la solitude, et en trouvant mon antitode. Si certains en ont trouver la force de dépasser alors pourquoi pas moi ? 


Pour moi, un soin passe par la prise en compte de l'individualité, celle ci met en avant une douleur, une souffrance et des larmes. Il nous faudra alors recueillir cette pluie de larmes, pour arroser le composte de nos vie et planter de nouvelles graines. La Vie fera le reste et de jolies fleurs jaillir bientôt. Nous prendrons alors conscience que tout est Juste. Guérir c'est à dire être heureux et rire avec le cœur de ce que nous avons vécu, participe à l'améliorer de ma vie, de mon avenir, de ma progéniture, et de l'humanité (si si, un petit peu) car si je parvient à accepter mon offenseur avec l'amour, la vibration de l'humanité augmente. Si je continue à lui en vouloir, j'entretiens la colère en moi, qui rejaillira sur mes proche (cf article sur pardon). Guérir est alors un acte altruiste. 


Maintenant vous savez pourquoi quand vous me dites  « Merci pour ce que vous avez fait », je vous réponds « moi ? J'ai rien fait, merci ». Car ce n'est ni moi, ni vous qui avons fait quoi que ce soit. Nous avons mis juste les conditions nécessaires pour observer les miracles de la Vie, l'Amour, la Lumière. Mon rôle est juste de vous montrer la fenêtre, le votre de l'ouvrir... Le reste se fait tout seul... Là et le miracle