Pourquoi une douleur peut se réveiller
plusieurs mois ou année d'un incident ?
En
microkiné, nous concidérons qu'un choc émotionnel peut entrainer
une douleur à distance, dans le temps de cet évenement. Cela
peut paraitre étonnant. Poutant, pour beaucoup, c'est quand nous
allons mieux qu'apparait la plus part des symptomes. Il s'agit de ce
fameux lumbago du premier jour des vacances par exemple. Nous parlons
de symptomes de phase de réparation.
Imaginez
un choc émotionnel comme un combat de boxe. lorsque vous rentrez sur
le ring, votre cerveau va stimuler votre système symptathique pour
s'adatper à l'effort. il va y avoir une augmentation du rythme
cardiaque, une constriction des vaisceaux sanguins, une augmentation
de votre état d'alerte, des décharges d'adrénaline. Vos muscles
vont se tendrent pour préparer les coups à donner et anticiper les
attaques du partenaire. Votre thyroide va s'activer pour pouvoir
permettre à votre organisme d'etre plus prompte. Dans cette phase
là, nous n'allons présenter que peu de symptomes : une douleur au
premier coup, une oppression, de la tachycardie, une perte d'appetit.
Il n'y aura pas beaucoup plus de manifestation car sinon je ne
pourrai pas m'adapter au combat.
Une
fois le combat terminé, il va bien falloir cicatriser et réparer
votre organisme. Alors, nous allons avoir besoin de pièces de
réparation, amenées par le sang (plaquette etc.) qui entrainera une
vasodilation, une inflammatoin qui vont se traduire des douleurs
chaudes et lancinantes, un aspect rougeatre et un oedeme. c'est à ce
moment que nous allons retrouver la plus part des symptomes ; en
cicatrisant.
Pour
n'importe quel sportif, nous savons que les douleurs musculaires
arrivent le lendemain d'un effort. Ceux sont les fameuses
courbatures. Elles sont dues à des microdéchirures des fibres
musculaires. Ces déchirures ont lieu pendant l'exercice, et non
après. Cependant, si j'ai mal à la première déchirure, je
m'arrêterais immédiatement. C'est bien en cicatrisant que les
douleurs apparaissent.
Très
souvent dans nos vies, nous parlons de nos conflits de la sorte : je
me bats pour, j'ai eu une peur bleue, je porte à bout de bras, j'en
ai plein le dos ou pleins le etc.... Prenez le temps d'observer nos
expressions ou les réactions de votre corps. Je me supprends
toujours en voiture de rentrer la tête dans les épaules quand je
vois quelqu'un qui arrive trop vite dans mon rétroviseur. N'ayant
peur que de ce que je connais, vous pouvez en déduire que je me suis
déjà fait refaire l'arrière train de ma voiture. C'est en
relachant que la douleur s'installe. Dans un cadre plus virtuel, il
peut en être de même de la mauvaise nouvelle que je n'ai pas vu
venir qui me tombe au coin du nez. Mon corps aura la meme réaction.
En
résumé, nous pouvons donc décrire deux types de symptomatologies :
la première correspond à des conflits actifs. Nous retrouverons des
symptomes courrament imputés au stress : constipation, aigreur
d'estomac, trouble du sommeil, HTA, certains maux de tete, douleur du
périoste (coup), les carries.
Je me
suis souvent interrogé. Si le stress pouvait entrainé des douleurs
gastriques pourquoi ne pourrait il pas entrainer des douleurs
musculaires ou articulaires? La microkiné m'a appris que ces
douleurs arrivent quand on lache un stress, ou quand le cerveau
identifie à un geste donné à un evenement vécu comme tragique.
c'est l'histoire du "faux mouvement".