samedi 25 avril 2020

la vessie en lecture biologique

Le système vésical

La vessie appartient au système des voies urinaires, lequel débute à la sortie des reins et se termine au méat urinaire. Les voies urinaires sont composées : 
  • D'un segment supra-vésicalcomprenant les calices, les bassinets et les uretères.
  • D'un segment vésical, autrement dit la vessie elle même.
  • D'un segment sous vésical qui est l'urètre qui se termine par le méat urinaire.
Bien que l'embryologie, nous enseigne que le système vésical dérive du mésoderme, la composition de la muqueuse (épithélium paviementueux pluristratifié) rappelle celle de l'épiderme. D'après ses études para-cliniques, Hamer le classera dans l'ectoderme.

Les conflits concernent toujours des problématiques de territoire. On distingue deux types de territoires : 

  • le territoire féminin : biologiquement le territoire féminin est le nid et ses alentours proches. La femelle urine au milieu de son territoire pour marquer son appartenance au territoire. Pour l'espèce humaine, il s'agit de la maison, de son espace personnel. De manière plus large c'est l'appartenance au clan, l'opinion que j'ai de moi. Il concerne la personnalité, l'intimité.
  • le territoire masculin, le mâle quant à lui urine au limite du territoire de chasse. Il concerne l'ensemble du territoire, le nid compris. Pour l'espèce humaine c'est tous ce que tu as acquis. Il concerne donc la maison, les frontières avec les voisin, l’aspect social, le travail etc. On parlera de ne pas pouvoir poser des limites dans mon territoire, dans une notion d'intrusion. 

A. Le segment supra-vésical


1. Les Calices et le bassinet :

L'ensemble calices et bassinet est aussi nommé pyélon. 
Les calices sont de petits conduits qui font suite à chaque papille rénale. Au départ environ 12 petits calices se regroupent pour former trois grands calices. Ces trois grands calices se réunissent à leurs tours pour donner naissance au bassinet. Les calices ont pour fonction de recevoir l'urine former par le néphron. L'urine est ensuite acheminée dans le bassinet, puis vers l'uretère. 
Le pyélon appartient à l'ectoderme dans le système de Hamer, comme pour la majeure partie de la vessie. Les conflits du pyélon et de l'uretère sont assez proches de ceux de la vessie qui sont le marquage de territoire. Hamer distingue une partie droite : appelée vessie féminine. Le conflit associée renvoie au territoire intime (maison, corps, famille). La partie gauche de la vessie est appelée vessie masculine qui évoque l'impuissance à poser des limites. 

Le conflit
Le conflit est encore un conflit de marquage de territoire avec quelques particularités : 
  • A droite : il s'agit d'une problématique de marquage de territoire intérieur par rapport à soi-même. Il est très proche du conflit d'identité . Ne pas savoir à quel opinion s'attacher. 
  • À gauche : le conflit est de ne pas pouvoir poser des limites dans son territoire par rapport à soi même : autrement dit ne pas savoir quelle opinion avoir de soi même.
Il faudra souvent associer le conflit des canaux collecteur des reins. 
L'évolution est rigoureusement identique à celle des uretères. 



2 .L'uretère :

Chacune des deux uretères transporte l'urine du bassinet du rein jusqu'à la vessie. Les uretères mesurent 25 à 30 cm de long. Ce sont des tubes étroits aux parois épaisses. 
Bien que l'embryologie nous enseigne que les uretères dérivent du mésoderme, cependant histologiquement, les uretères sont proches de la vessie. Hamer les classe donc dans l'ectoderme. 

Le conflit :

Le conflit pour l’uretère droit exprime un conflit de marquage féminin de territoire.
Le conflit de l’urètre gauche exprime un conflit de marquage masculin de territoire identique à la moitié de la vessie gauche. 

En Phase active :
Il se produit des ulcérations indolores de la muqueuse de l'uretère. 

Le sens biologique :
Il est de permettre l'écoulement d'une quantité accrue d'urine pour marquer plus efficacement le territoire. 

En PCL :
Il y a une tuméfaction inflammatoire de la muqueuse urétrale avec pertes de sang fréquentes. Elle est accompagnée d'une hyperesthésie douloureuse.

Les pathologies associées :

  • La colique néphrétique : Dans la crise épileptoïde, l'uretère peut être sténosée : c'est la colique néphrétique. Cependant la formation de lithiases ou calculs, proviennent des canaux collecteurs des reins. Il est important de rappeler que les conflits portant sur ces tissus sont souvent associés.
  • La pyélonéphrite : infection du pyélon : il s'agit d'une PCL sur un conflit de ne pas avoir pu marquer son territoire. 


B. Vessie 

Anatomie :

La vessie est un organe musculaire creux et extensible situé sous la cavité pelvienne derrière la symphyse pelvienne. Lorsque la vessie se distend par accumulation d'urine elle devient sphérique. Lorsqu'elle se vide elle s’affaisse. La capacité moyenne de la vessie est d'environ 750mL d'urine. 
La vessie n'a pas seulement une fonction de stockage de l'urine. En effet, dans la vessie on constate aussi des échanges d'électrolytes, une réabsorption d'eau. Cela permet de modifier la composition de l'urine, changeant ainsi son odeur. En éthologie animale, l'urine permet de marquer le territoire, de laisser une sorte de CV. 

La vessie se compose de trois couches : 
  • La muqueuse de la vessie : toute la muqueuse vésicale est constituée d'un épithélium pavimenteux pluristratifié qui rappelle l'épiderme donc ectoderme. Hamer divise la vessie en deux parties : Toute la vessie est ectodermique et le trigone de la vessie qui pour lui est endodermique. 
  • Le détrusorqui est une musculeuse composé de trois couches de muscles lisses
  • L'adventiceest un feuillet superficiel composé de tissu conjonctif. 


1. La muqueuse de la vessie ectodermique

Hamer divise la vessie ectodermique en deux : 
  • La vessie masculine à gauche.
  • La vessie féminine à droite. 

Le conflit :
  • A droite : le conflit de la vessie féminine est de ne pas pouvoir mettre de limite par rapport à une intrusion qui vient de l’extérieur. 
    On retrouve beaucoup plus de vessie féminine chez les enfants et les vieillards. Se sentir menacé par une autre personne sur son territoire, ne pas pouvoir mettre de limites dans le nid, la famille. Nous pouvons aussi le verbaliser à ne pas pouvoir déterminer sa position. 
    Guinée préféra parler du conflit « de ne plus savoir à quel territoire j'appartiens »
  • A gauche : il s'agit de ne pas pouvoir délimiter les frontières de mon territoire, autrement dit ne pas pouvoir mettre de limites à l’extérieur du nid, à une personne qui vient de l’extérieur.
En phase active :
Il y a des modifications des odeurs des urines. Les urines plus forte sont à cause de la nécrose indolore de l'épithélium. L'envie d'uriner devient plus régulière. L'urine est un peu plus puissante.

En PCL:
On retrouve une tuméfaction avec douleurs vives, types brulures soit au niveau de la vessie, de l'urètre. Une prolifération cellulaire accompagne cette tuméfaction. 
Les douleurs sont toujours en phase de vagotonie. 
Si c'est la partie supra vésicale qui est touchée alors c'est une crise épileptoïde, on aura les coliques néphrétiques associées bien sûr aux canaux collecteurs des reins. Les calculs viennent des canaux collecteurs. On a une problématique de liquide associé au marquage de territoire. 

Si l'on a des brûlures après l'acte sexuel  c'est qu'on lâche la peur d’être trompé, ou de ne pas pouvoir mettre de limites dans sa sexualité, ou de se sentir partagé dans son territoire. 

2.La vessie : le trigone

Le trigone est la zone d'abouchement des deux uretères dans la vessie et du départ de l'urètre dans le méat urinaire. Hamer a constaté dans son système ontogénétique que seul le trigone répond essentiellement comme un tissu endodermique. Il classera alors le reste des voies urinaires dans l'ectoderme à savoir : les calices et les bassinets, et l'ensemble du méat urinaire. 

Le conflit :
Il s'agit d'un conflit où je ne peux pas éliminer quelque chose de moche, de sale dans un contexte de marquage de territoire. 

En phase active :
La phase active se caractérise le plus souvent par le développement de tumeurs polyploïdes de types sécrétoires à base étroite. Cependant comme pour le tube digestif, il peut se former des tumeurs sessiles à fonction absorbante. 

Le sens biologique :
Le sens biologique de la tumeur polyploïde est de « sur digérer la crasse à éliminer » dans un contexte de marquage de territoire. La tumeur en nappe aurait pour but de réabsorber certaines substances pour modifier la composition de l'urine dans un contexte de marquage de territoire. 

En PCL :
Il y a apparition d'une nécrose caséifiante par les champignons et les mycobactéries. Des cellules intestinales peuvent intervenir. Nous parlerons alors de cystite purulente accompagnée de fièvre. 

3.La vessie : Le détrusor

C'est le muscle qui permet de pousser l'urine à extérieur. En latin detrudere signifie pousser violemment. La musculeuse est composée de trois couches de myocytes lisses. 

Le conflit :
C'est de ne pas pouvoir uriner au bon moment, au bon endroit. 

En phase active :
En balance, il y a diminution de la force du détrusor et une diminution de la puissance du jet. 

4. le sphincter de la vessie 

Le sphincter de la vessie est un muscle lisse dont la commande est régit par le système nerveux parasympathique et d'une commande volontaire.
Situé autour de l'ostium de l'urètre, il permet la fermeture de l'orifice distal quand il est relâché permettant de retenir l'urine dans la vessie. Lorsqu'il se contracte, l'urine s'écoule par l'urètre.
On retrouvera une partie dans le mésoderme nouveau (la partie involontaire) et une partie ectodermique (partie volontaire). 
L'incontinence urinaire s'inscrit dans un conflit de séparation centrale. Nous rappelons qu'il s'agit d'un conflit avec des gens très intimes ou agression dans mon intimité. 
Ce conflit touche le cortex moteur où on retrouve les sphincters. Il y a alors une grande perte de force voir une incontinence totale par paralysie. Comme dans toutes les ptoses urinaire ,rectale et autres il faut chercher un conflit de séparation centrale.
Ce sont des peurs énormes par rapport à des personnes proches. Comme l'incontinence à l'effort survenant après un décès, une naissance, etc... 
La différence entre énurésie et incontinence c'est que dans l'incontinence, le patient sent les fuites. L’énurésie est un constellation schizophrénique sur les deux vessies en sympathicotonie : difficulté de marquage de territoire dans le nid, et à l’extérieur. Un conflit de séparation centrale est souvent concomitant. Les énurésies impliquent toujours des problématiques familiales très proches. Les énurétiques font souvent des cauchemars avec des grandes peurs. 



C. L'urètre

L'urètre est un petit conduit qui prend naissance à l'ostium interne de l'urètre dans le plancher de la vessie. Il débouche à l'extérieur du corps : c'est le méat urinaire. 
En cas d'infection de l'urètre, Guinée préconise de distinguer la partie droite et la partie gauche. Chez l'homme, l'urètre traverse la prostate. Il sera de bon sens d'associer le conflit de la prostate : « ne pas pouvoir éliminer quelque chose de crasseux, de vilain, comme hors normes dans la génitalité ou dans la sexualité large ainsi que dans la notion de territoire. »
Les exemples que nous pouvons donner son : un petit fils en difficulté avec le gendre, ma femme qui me trompe pour un plus jeune.

Pathologies associées : 

  • L'hyperactivité vésicale : L'envie impérieuse d'uriner, qui renverrait à une crise épileptoïde sur la commande motrice du détrusor corrélée à une problématique de marquage de territoire. On retrouve souvent le conflit de ne pas pouvoir uriner au bon endroit au bon moment. 
  • Le cancer de la vessie : Il provient majoritairement du trigone de la vessie en phase active.Il s'agit d'un conflit de ne pas pouvoir éliminer quelque chose de sale, de moche, dans une teinte de marquage de territoire. 
  • L'infection urinaire ou cystite : si elle est virale : la partie touchée est ectodermique. Si la personne présente de la fièvre, pour Hamer, c'est la partie endodermique qui est touchée. Il y a aura alors participation de mycobactéries comme E. Coli.
  • L'énurésie : il s'agit d'une constellation schizophrénique c'est à dire deux conflits simultanés sur les deux vessies ectodermiques en sympathicotonie. On retrouvera ne pas avoir pu poser des limites dans son territoire et ne plus savoir à quel territoire on appartient. Très souvent un conflit de séparation centrale est concomitant. C'est à dire une forte séparation avec quelqu'un d'intime, ou une forte séparation vécue dans l'impuissance dans son intimité. 
  • L'incontinence urinaire : elle est concernée par le sphincter de la vessie. On retrouve aussi un conflit de séparation centrale en sympathicotonie. 
  • La rétention urinaire : on retrouvera les glomérules rénaux et les canaux collecteurs de bloquer. Il faut à tout prix retenir les liquides et pourquoi pas associé une nécessité à ne pas marquer mon territoire.

    avec mes remerciement à Lulu pour ses corrections avisées

jeudi 23 avril 2020

objectif Le 11 mai ?



Objectif le 11 mai? 

Si pour le moment, nous n’avons pas encore beaucoup d’informations concernant le déconfinement, il semblerait cependant raisonnable d’imaginer une éventuel réouverture des cabinets pour le 11 mai.
Cette réouverture se fera probablement sous certaines conditions :
- respect des gestes barrières
- suppression de la salle d’attente
- port d’un masque ?
- un bon sens civique si présence de symptômes



Nous sommes donc dans l’attente de plus d’informations de notre très cher ministère de la santé et de notre ordre.

En espérant vous savoir au mieux


Vincent


mardi 7 avril 2020

la chloroquine et la france

loin de moi l'idée de faire de la politique mais au moins dans mon rôle de thérapeute d'informer :

https://blogs.mediapart.fr/delhery/blog/030420/pourquoi-la-france-cache-un-remede-contre-le-virus-teste-et-peu-couteux?fbclid=IwAR0yXgN4uFPl6xHnx2o3afZ0IF53oMB2W0Ez05CfVRzVFq1f2PX2tTDAXVc

mardi 31 mars 2020

l'oeil et la vision en lecture biologique

L’œil


Classification des différents tissus :


Le globe oculaire a un diamètre de 2,5 cm. Seulement 1/6 de de la surface est apparente. Le reste est caché dans l'orbite. Sur le plan anatomique, on décrit l’œil en 3 parties : 
  • La tunique fibreuse : enveloppe superficielle. Elle est composée par la cornée.
  • La tunique vasculaire : elle se compose de la choroïde, du corps ciliaire et de l'iris.
  • La rétine. 
Un ensemble de structures annexes viennent compléter le système de la vision : 
  • Les glandes lacrymales et leurs canaux
  • La paupière 
  • Les muscles intrinsèques de l’œil. 



Dans les systèmes du docteur Hamer, ces tissus sont classés ainsi : 

  • Dans l'endoderme, il y place  :
  • La chambre archaïque de l’œil
  • L'iris
  • Les glandes lacrymales
  • Dans l'ectoderme , on y retrouve :
  • La cornée
  • Le corps vitré
  • La paupière est associée à l'épiderme
  • Les canaux lacrymaux
  • La rétine 

  • Dans le mésoderme nouveau :
    • Les muscles intrinsèques et extrinsèques de l’œil


Nous allons décrire successivement les organes un par un :

Dans les structures de l'endoderme :

  1. Les glandes lacrymales :

Anatomie :

Les glandes lacrymales sont situées sur la partie supéro-latérale des orbites. Elles ont la taille et la forme d'une amande. Elles produisent les larmes. Les larmes sont une solution aqueuse et saline contenant un peu de mucus et du lysozyme, une enzyme bactéricide. Une fois libérée, la sécrétion lacrymale se répand à la surface de l’œil puis s'évacue par clignement des paupières vers le nez. 
Les larmes permettent de rendre les yeux plus brillants. 

Le conflit :

Pour l’œil droit, le sens biologique du conflit est de voir plus facilement quelque chose que l'on aurait voulu voir. Tout cela avec une intention de rendre plus absorbable le morceau qui n'a pas été capté par l’œil. 
Pour l’œil gauche, le conflit est de ne pas pouvoir se débarrasser de quelque chose qui n'a pas été vu au moment opportun.
Nous pouvons reprendre l'exemple de Guinée pour illustrer le conflit : « J'aurai du voir cette information et je ne supporte plus voir ça : j'aurai dû voir mon fils se droguer et je ne supporte plus le voir ainsi. »

Emmanuel Corbeel nous rappelle que les yeux brillants augmentent le « sex appeal ». C'est une manifestation archaïque. Cela permet d'attirer le regard, un peu comme un joli papillon. En effet, dans la nature, quand une femelle perd son petit, ses yeux deviendront plus brillant pour attirer le mâle. 
Le conflit de conjonction d'une femme ayant les yeux brillants, tout en s'habillant avec des vêtements sombres, peut signer un reliquat avec un mari jaloux. Par exemple : « soit belle mais pas trop . » Elle ne veut pas être trop attirante pour les hommes car il y a un ressenti de se sentir menacée en lien avec des hommes. Il n'en reste pas moins ce besoin d'être vu quand même. Cette personne est alors complètement écartelée dans ce qu'elle souhaite. 

En phase active :

Il y a une prolifération cellulaire.

En PCL :

On observe une nécrose de la masse formée. En cas de récidive trop fréquente du conflit, on peut observer une destruction de la glande.

  1. L'iris

Anatomie :

L'iris appartient à la tunique vasculaire. C'est la partie colorée du globe oculaire à la forme d'un beignet aplati. Elle est suspendue entre la cornée et le cristallin.
L'iris est une membrane circulaire et contractile de la face antérieure de l’œil. Il est composé par des mélanocytes. C'est la quantité de mélanocytes qui détermine la couleur de l’œil. Il est percé en son centre par un orifice appelé pupille. Sa principale fonction est de moduler la quantité de lumière qui entre dans le globe oculaire.

Le conflit :

Le conflit pour l'iris de l’œil droit est de ne pas pouvoir attraper le morceau de lumière visuelle convoité. Pour l’œil gauche, c'est de ne pas pouvoir recracher le morceau de visuel. Cela peut être l'attente du retour d'un être cher, pour l'iris droit, le dernier adieu pour l’œil gauche, ou un sale texto. 

En phase active :

La prolifération cellulaire forme ainsi un adénocarcinome de l'iris qui renforce la musculature lisse de l'iris. Cette contraction du sphincter provoque une mydriase. 

  1. La chambre archaïque de l’œil : la choroïde

Anatomie :

La choroïde constitue la partie postérieure de la tunique vasculaire. Elle est fortement vascularisée. Ces nombreux vaisseaux sanguins fournissent les nutriments à la face postérieure de la rétine. La choroïde renferme également des mélanocytes. La fonction est d'absorber les différents rayons lumineux permettant ainsi une bonne définition de l'image projetée. Dans la partie antérieure, se situent les corps ciliaires qui sécrètent l'humeur aqueuse de l’œil. 

Le conflit :

Le morceau de lumière a déjà passé la cornée. On ne peut plus s'en séparer (cornée : être séparé, vouloir être séparé d'une information visuelle.). Le conflit touchera une information visuelle que l'on a pas vue ou que l'on aurait pas voulu voir dans un contexte de drame ou d'horreur qu'on ne parvient pas à éliminer.

En PCL :

Le processus inflammatoire peut amener un glaucome (augmentation de la pression oculaire).



Dans les structures de l'ectoderme :

  1. les voies lacrymales

Anatomie :

Nous allons distinguer les voies lacrymales supérieures des voies lacrymales inférieures. Les voies lacrymales supérieures sont composées de 6 à 12 ductules excréteurs. Elles amènent les larmes des glandes lacrymales à l’œil. Ensuite, les larmes s’écoulent de l’œil dans les canalicules lacrymaux puis le sac lacrymal. Enfin elles rentrent dans le conduit lacrymal et se déversent dans le nez. 
Les voies lacrymales permettent :
  • Soit d’amener les larmes aux yeux, et rendre ainsi les yeux brillants.
  • Soit de permettre d'évacuer les larmes et rendre ainsi les yeux plus ternes. 


Le conflit :

Le conflit est soit celui de vouloir être vu si les yeux sont brillants ou soit au contraire ne pas vouloir être vu si les yeux sont ternes.
On parle ici de la peur du regard des autres avec une consonance de jugement. Autrement dit, on peut aussi le formuler ainsi : ne pas se situer dans le regard de l'autre et celadans un grand sentiment d'insécurité.
  1. L'épithélium de la paupière et la conjonctive. 

Anatomie :

La conjonctive se compose de 2 feuillets :
  • Une conjonctive bulbaire
  • Une palpébrale 
Elle est richement innervée.

Le conflit :

Le conflit concerne une séparation d'ordre visuel. On parle ici de choses insupportables ou alors la perte de vue d'un objet, d'un être cher. On peut penser à un fauteuil vide, l'absence de quelqu'un. Dans une thématique de vision cela peut être un message reçu par mail, Sms etc. de nos jours, nos yeux sont de plus en plus sollicités.

En phase active :

En phase active, l'apparition de squames accompagne une ulcération indolore de la conjonctive ou de la paupière. On constate une perte de sensibilité et une amnésie des faits. 

En PCL:

La phase PCL se caractérise par une inflammation de la conjonctive de la paupière ou du bord libre de la paupière. Cette rougeur peut être de nature inflammatoire, infectieuse ou allergique. Lors de la crise épileptoïde, il y a apparition de trouble de la sensibilité – hyperesthésie.
L'inconfort vécu souvent comme une brûlure, une douleur, peut être vécu comme la sensation de corps étranger. 

  1. La cornée

Anatomie :

La cornée appartient à la tunique fibreuse. La cornée est une membrane transparente qui laisse passer la lumière. Grâce à sa forme incurvée, elle contribue à focaliser la lumière sur la rétine. 
La cornée est le premier élément réfractant de l’œil. 
La cornée est la partie antérieure, transparente du globe oculaire en forme de calotte sphérique.
l'innervation est assurée par la branche ophtalmique du trijumeau. 

Le conflit :

Le conflit renvoie encore une fois à une perte de contact visuel ou à vouloir me séparer d'une information visuelle. On a perdu quelqu'un de vue. On ne supporte plus de voir quelqu'un ou quelque chose.
Il s'agit d'un fort conflit de séparation.

En phase active :

On remarque l’apparition de micro-ulcérations et une accélération de la desquamation antérieure de la cornée. Le phénomène s'accompagne d'une perte de mémoire des événements concernés. 

Le sens biologique :

Il permet plus facilement l'oubli de la personne, de la situation, que l'on a vu en détruisant la cornée. 

En PCL:

Il y a une inflammation au niveau de la cornée. Un œdème inflammatoire, un trouble la vision 
La deuxième partie de la PCL aboutie, le plus souvent, à la restitution dans l’intégrité de la transparence de la cornée. 
Si la masse de conflit est trop importante, il peut y rester une taie.

  1. Le cristallin

Anatomie :

Le cristallin est la deuxième lentille convergente de l’œil après la cornée. Cette membrane est biconvexe liée avec des muscles ciliaires. Le muscle ciliaire est un anneau de myocytes dont la contraction et le relâchement modifie la rigidité du cristallin.
Il permet le phénomène d’accommodation. Il va y avoir une modification de la courbure du cristallin pour permettre la mise au point de l'image nette au niveau de la rétine.

Le conflit :
Encore une fois, il s'agit d'un conflit de séparation faisant intervenir la vue. L’information est plus profonde que pour la cornée.
Pour Kromer, le conflit est de ne pas vouloir voir, ne plus voir, ou de ne plus vouloir être vu. « ne pas pénétrer dans mon regard, dans mon âme »

En Phase active :

Pour Hamer, il y a nécrose du cristallin.
Pour Kromer, le cristallin s’opacifie, et il se forme une cataracte en phase active. Elle le justifie par le fait que les corticoïdes augmentent la cataracte. Il s'agirait donc d'une phase active (cf. l'action sympathicotonie des corticoïdes).

En PCL :

Pour Hamer, il y a une tuméfaction inflammatoire. En fin de PCL, l’opacification du cristallin peut provoquer une cataracte.
Pour Kromer et Guinée, le retour de la transparence initiale est possible. 
En cas de récidive trop régulière, il peut y avoir une perte de plasticité du cristallin.

  1. Le corps vitré :

Anatomie :

Le corps vitré est une substance aqueuse, gélatineuse situé derrière le cristallin. Il permet de maintenir la rétine contre la choroïde. Il contient des phagocytes pour éliminer les déchets afin que rien n’obstrue la vision. Il peut arriver que des accumulations de débris projettent une ombre sur la rétine et fassent apparaître des taches. 


Le conflit :

Le conflit est d'être poursuivi par quelque chose de vivant, archaïquement un prédateur. C'est la sensation d'avoir toujours quelqu'un derrière soi.
On retrouve dans les conflits : 
  • Être frappé par derrière
  • Être impacté par une voiture derrière 
  • Toutes les notions de me faire poursuivre virtuellement : diagnostic, mort, URSSAF,... 
  • Piqûre

On peut retrouver les programmants, premiers conflits, chez les enfants opérés, les violences à la maison,...
Toutes les phobies des animaux sont sur le corps vitré.

Phase active :

En phase active, le rétrécissement du champ visuel mime le fait de mettre des œillères pour aller droit devant.
Les proies dans la nature ont des yeux périphériques pour voir d'où vient le danger. Les prédateurs quant à eux, ont le regard frontal pour avoir une vision 3D et une meilleure estimation des distances.

En PCL:

En phase PCL, il y a une inflammation du corps vitré. 
Si l’œdème pousse vers l'arrière sur la rétine, les troubles visuels sont importants. Vers l'avant, il y a formation d'un glaucome. 

  1. La rétine

Anatomie :

La rétine est l'enveloppe la plus interne de l’œil. Elle tapisse les trois quarts postérieurs du globe oculaire. La rétine est formée :
  • D'une partie pigmentaire qui permet de filtrer, comme la choroïde, la lumière diffuse.
  • D'une partie nerveuse qui traite les données visuelles avant de les transmettre par influx nerveux au nerf optique. 
    Elle se compose de 3 couches : les photorécepteurs, les neurones bipolaires et les cellules ganglionnaires. 
      Les photorécepteurs permettent la conversion de la lumière en influx électriques. Ils se divisent en deux types : les cônes et les bâtonnets. Les 120 millions de bâtonnets permettent de voir dans la pénombre. Les 6 millions de cônes sont responsables de la vision colorée.
La rétine agit comme le film de la caméra.

Le conflit :

Il s'agit d'une peur dans la nuque. C'est à dire quelque chose que tu n'as pas vu venir, qui était hors chez de la vision. Autrement dit, il s'agit d'une grande insécurité par rapport à des choses qui te tombent dessus :
  • Une branche d'arbre
  • Un accident de vélo 
  • Une claque en pleine gueule que tu n'as pas vu venir 
  • Vision insupportable d'autant plus pour la macula et la fovéa. Elles renvoient très souvent à une thématique de jugements très forts. Rappelons que les animaux se toisent par le regard.

Dans ce conflit, on retrouve souvent les gens qui se comportent comme des victimes. 

En phase active :

Il va y avoir apparition de taches sombres appelées scotomes. Les scotomes vont entraîner des déformation de la vue. Très souvent, un conflit de conjonction est associé celui de la nuque qui oriente le regard.

En PCL :

Il y a formation d'un œdème qui peut amener à la décollement de la rétine. Si l’œdème est à l'arrière, alors la vision chute brutalement. il va y avoir une diplopie et parfois un strabisme. 
Une douleur de névrite optique à « se taper la tête contre les murs » peut être associée.
La crise épileptoïde se manifeste par l'apparition de scotomes brillants.

Si le conflit est récidivant, un rétrécissement soit antéro-postérieur, soit latéro-latéral survient entraînant des troubles de la vision..


Formation des images

A certains égards, l’œil est semblable à un appareil photographique, quoi qu'en réalité ce soit plutôt l'inverse... L'ensemble des éléments de l’œil permettent de focaliser l'image d'un objet sur une « pellicule », la rétine. L'exposition lumineuse est quant à elle assurée par les muscles de la pupille. La mise au point se fait par la cornée et le cristallin. Pour comprendre la manière dont l’œil forme une image nette, il faut étudier trois processus : 

  1. la réfraction des rayons lumineux :

La réfraction est le processus de changement de direction des rayons lumineux lorsqu'ils passent d'un milieu transparent comme l'air à un autre milieu transparent comme l'eau. Les rayons lumineux qui pénètrent dans l’œil sont réfractés sur les deux surfaces de la cornée, puis les deux faces du cristallin, de sorte qu'ils se focalisent précisément sur la rétine. Nous rappellerons que l'image est inversée sur la rétine. Notre cerveau apprend à convertir l'image dès nos premiers mois de vie pour ne pas voir le monde s'en dessus dessous. La cornée assure 75 % de la réfraction, le cristallin les 25 % restants.

  1. l’accommodation

L’accommodation permet d'assurer la netteté des images pour des distances différentes. Afin d'avoir une image nette pour des objets rapprochés, le cristallin va augmenter sa courbure. Il augmente ainsi son pouvoir de réfraction. Cela est rendu possible par les deux faces convexes, c'est à dire bombées sur l’extérieur, du cristallin. La courbure du cristallin se fait sous l'influence des muscles ciliaires.

  1. la constriction de la pupille

La constriction de la pupille est le rétrécissement du diamètre de l'orifice par lequel la lumière pénètre dans l’œil. Elle se fait sous la contraction du muscle sphincter de la pupille. Il s'agit d'un réflexe autonome et permet de limiter la quantité de lumière qui arrive à la rétine. Sans ce mécanisme les rayons entreraient par l’œil aussi par la périphérie du cristallin. Ils ne pourraient pas se focaliser sur la rétine et l'image serait floue. 
Les défauts de la vision 

Pour Hamer les troubles de la vision arrivent en PCL.

  • La myopie : La myopie apparaît lorsque le globe oculaire est trop long relativement à la capacité de focalisation de l’œil. Le cristallinest plus épais qu'il ne devrait l'être ce qui fait que la convergence des rayons se fait devant la rétine. L'image va se faire devant la rétine. Le sens biologique permet de voir très bien de près : l'avantage est de pouvoir voir ce qui va arriver proche de moi. Le ressenti du conflit correspond à des situations qui te tombent dessus de coté, à des informations qui arrivent de coté. 
    Les conflits assez fréquents dans la myopie sont, par exemple : les professeurs qui circulent, les claques, les difficultés d'apprentissage, les attaques médicales,etc...

  • l'hypermétropie : L’hypermétropie apparaît lorsque le longueur du globe oculaire est trop faible relativement à la puissance de focalisation de la cornée et du cristallin. Le cristallinest plus mince que ce qu'il devrait être normalement. L'image converge alors derrière la rétine. La vision de loin reste conservée. Le sens biologique est de favoriser la vision au loin. On retrouve comme conflit la peur du jugement, les anticipations excessives, je regarde au loin le danger.

  • l’astigmatisme : Il s'agit d'une irrégularité de la courbure soit de la cornée,soit du cristallin. Elle se traduit par une vision floue, brouillée ou déformée. Le conflit associé est donc une notion de séparation d'ordre visuel. Exemple : La mort du petit chat écrasé sur la route, le décès de papy, papa et maman qui se disputent devant moi, etc,... peuvent être autant d'exemples de conflits. Le sens biologique est de diminuer la netteté d'une image trop forte pour moi. 

  • La presbytie : elle est autrement appelée la maladie des bras trop court. Il s'agit d'une perte d'élasticité du cristallin. De ce fait, l’œil perd sa capacité d’accommodation des objets rapprochés. Elle fait appelle à des situations où tu perds des gens proches. Tu peux commencer à avoir des difficultés à devoir allonger les bras. Elle apparaît vers 40- 45 ans, c'est l'âge où on retrouve les premières grosses fortes séparations par la mort. Parfois les images restent gravées et reviennent en rêves. 



Autres pathologies du système oculaire :

  • La mucoviscidose des glandes lacrymales : c'est la destruction des glandes lacrymalesque l'on retrouve dans Syndrome de Gougerot-Sjögren. Il s'agit d'une PCL en balance. Le conflit s’énonce alors de la manière suivante : «  je ne pleurerai plus jamais comme cela car pleurer est inutile ou finit par aggraver la situation. ». un type de conflit prend souvent source dans l'enfance : « si tu ne sais pas pourquoi tu pleures, la gifle te donnera une bonne raison ».
  • la sécheresse oculaire : on peut y voir deux conflits soit une PCL sur les glandes lacrymales, soit une PCL sur les canaux lacrymaux. Les conflits sont de ne pas avoir vu quelque chose, ou devoir cacher mon regard, mon âme des jugements. 
  • Le larmoiement : il s'agit d'une PCL sur les voies lacrymales. Le sens biologique est d'attirer le regard. Il faut du coup être vu.
  • lespleurs : les pleurs font parties des résolutions. On les couplera aux conflits des canaux collecteurs des reins (tout s'écroule autour de moi). Le ressenti est de devoir évacuer quelques chose de visuel dans un contexte d'écroulement d'existence. Les larmes apparaissent quand on commence à digérer un événement compliqué.
Les pathologie de lapaupière :la thématique du ressenti est toujours une séparation visuelle : avoir perdu devue, neplus vouloir voir. Toutes les pathologies suivantes sont en phase de résolution :

  • L'eczéma palpébral :

  • La conjonctivite :

  • La blépharite :il s'agit d'une infection du revêtement cutané.Il s'agit d'une phase PCL lorsque l'on résout une problématique de séparation visuelle.

  • L'orgelet :ilse situe entre la peau et la conjonctive. Il concerne les glandes de Meibomius qui sont des glandes sébacées. Le conflit est l'atteinte àintégritédans une consonance de souillure par rapport à quelque chose de visuel. Le sens biologique est de laver l’œil de ce qui à porté atteinte à intégrité et souillé dans ce qui a été vu. 

  • Les taches de sang :dans la conjonctive ce sont des crises épileptoïdes dans des choses visuelles et des combats dans les liens de sang. 
Les pathologies de la cornée :

  • La kératite de la cornée :elleestcaractérisée par un larmoiement, une photophobie et des spasmes de la paupière.Il s'agit d'une phase PCL, sur un ressenti de forte perte de vue de quelqu'un ou de quelque chose. 

  • Le kératocône :en PCL, c'est la formation d'un cône qui réduit symboliquement au minimum ce que les autres peuvent voir à l'intérieur de moi même, dans mon intimité la plus secrète.

Pathologie du cristallin : 

  • La cataracte :il s'agit d'une opacification ducristallin. Les auteurs ne sont pas tous d'accord pour la situer dans la seconde loi. 
    En effet, Hamer pense que la cataracte est une phase de PCL en lien avec la théorie.
    Pour Guinée et Kromer, la cataracte serait une phase active, car en pratique, les corticoïdes ont une action sur la cataracte.
    Quoiqu'il en soit, il s'agit toujours de conflit de séparation visuelle répétée et plus profonde que pour le conflit de la cornée. Les rails de conflit peuvent être la lecture, l'écran d'ordinateur,etc...

Pathologies de la rétine :

  • Le glaucome :le glaucome est principalement une phase de résolution sur le corps vitré. Cependant il peut s'agir d'un conflit touchant le choroïde de l’œil. Il s'agit d'une inflammation qui empêchera l'humeur acquise de s’évacuer provoquant une hypertension intra-oculaire. Le glaucome intervient après une forte peur d'avoir été poursuivi. 
  • Les scotomes :les scotomes sont des taches sombres dans la vision. Ils apparaissent en phase active sur la rétine. Il s'agit donc de forte insécurité par rapport à quelques choses qui nous tombe dessus. 
  • Larétinitepigmentaire :il s'agit d'une destruction des cônes et des bâtonnets. Au vue des lois, il s'agit d'une phase active sur des choses insupportables, insoutenables que je ne veux plus voir. 
S'il y a deux conflits en sympathicotonie, c'est à dire en phase active, soit sur la rétine ou soit sur le corps vitré à droite et à gauche, le cerveau entre en paranoïa. Le sens biologique est la pré-vision voir avant. Cette Constellation schizophrénique entraîne l'apparition de flash, de rêves prémonitoires, d'impressions de déjà vu.

  • La dégénérescence maculaire de l’œil (DLMA) : est une affection dégénérative de la rétineque l'on observe chez les personne de plus de 50 ans. Il s'agit d'une destruction de la macula où normalement l’acuité est maximale. La vision centrale diminue graduellement. Il s'agit donc d'une phase active d'un conflit sur la rétine. Le ressenti est une forte insécurité visuelle, des situations insupportables à voir qui te tombent dessus. Les exemples que nous pouvons évoquer sont de devoir enterrer son enfant, voir son conjoint grabataire, etc...
  • La cécité : elle renvoie au même type de conflit en phase active que la DLMA. 

  • Le daltonisme ou dyschromatopsie : c'est une anomalie de la vision affectant la perception des couleurs. L’origine est généralement génétique. Elle est due à une déficience d'un ou de plusieurs types de cônes de larétine. Nous irons chercher une origine transgénérationnelle concernant des visions insupportables en lien avec la couleur disparue. Si la couleurs rouge est affectée nous pourrions penser à des problématiques sur le sang par exemple : meurtre, guerre, accident, hémorragie, etc...